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Pour citer Muséfrem
AUBRY, Louis François (1783 av.-1785 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : AUBRI
Date(s) : 1783 av. / 1785 ap.
Louis-François AUBRY est aperçu comme "musicien", sans plus de précision, à Besançon, au début des années 1780. Avant et après, que devient-il ?
• 8 décembre 1783, Besançon : Le Journal de la Franche-Comté publie un article relatif à la Ste-Cécile de 1783, fête orchestrée par Louis-Nicolas DOLLÉ (le nouveau maître qui vient d'arriver à la cathédrale). L'auteur de ce texte, qui signe "L.C.D.X." et reste à identifier, mentionne "les sieurs ARNOUX & AUBRI, dont le premier s’est déjà fait connoître par l’agrément de sa composition dans l’opéra du Bucheron" – ce qui semble correspondre à Jean-Philippe ARNAUD, avec une déformation de son patronyme (ARNOUX au lieu de ARNAUD), soit déformation par l'auteur lui-même, soit par le typographe du Journal... Le second est vraisemblablement Louis-François AUBRY. L'auteur dit que ces "Artistes font honneur à notre patrie", ce qui laisse penser qu'ils en sont tous deux natifs – ce qui est en effet le cas de Jean-Philippe ARNAUD – contrairement aux autres musiciens cités dans le même article, HISPACH (cor), NOEL (flûte), BROEMER ("clairinette"), MICHAUX (violon), vraisemblablement venus d'ailleurs – ce qui est en effet le cas d'ISPACH.
• 4 mars 1785, Besançon : Louis-François AUBRY, "musicien", sans précision de son cadre d'exercice, est le parrain de Louis-François, né la veille sur la paroisse Saint-Jean-Baptiste, fils de Jean-Philippe ARNAUD, lui aussi "musicien", et de Jeanne-Françoise Lapret. La marraine est la femme d'un maître-tailleur. Le parrain signe "Louis françois Aubry", avec paraphe. Sa signature est nettement distincte de celle de Jean-François AUBRY en 1778 (le f de François, le A de Aubry…) : il s’agit de deux musiciens différents.
Ce qui n'exclue pas qu'ils aient un lien de famille...
Mise à jour : 27 décembre 2021