Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
BAILLY, Pierre Honoré (1758-1793 ap.)
Date(s) : 1758-2-27 / 1793-12-21 ap.
Pierre Honoré BAILLY, né dans une famille de vignerons de Chilly-Mazarin, à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Paris, a joué du serpent dans les années 1780 dans l'église de son village natal mais aussi dans celle de la localité voisine de Longjumeau.
• 27 février 1758, Chilly-Mazarin [Essonne]: Pierre Honoré BAILLY vient au monde et il est baptisé paroisse Saint-Étienne. Il est le fils de Pierre, vigneron et de Marie Agnès Millet
• 11 novembre 1782-7 décembre 1788, Chilly-Mazarin : Il est joueur de serpent en l'église paroissiale Saint-Étienne. Il est très probable qu'il soit toujours en fonction dans cette église en 1790 aux côté des quatre chantres et d'un autre serpent mais les noms ne sont pas précisés. Il n'est pas facile de connaître le montant exact de ses gages car les fabricier indiquent la somme totale. On tourne autour de 40 livres pour le personnel en place en 1790 mais existe-il des variations entre les deux serpents, le premier chantre et les trois autres? Il y avait également huit enfants de chœur.
• 25 février 1783, Chilly-Mazarin : Il se marie avec Marie Claude Félicité Millet, la fille d'un vigneron, et a du obtenir une dispense pour raison de consanguinité au troisième degré.
• 11 novembre 1786-11 novembre 1787, Longjumeau [Essonne] : Il joue également du serpent à la paroisse Saint-Martin afin de soutenir les deux chantres Noël BARRÉ et CHARTIER. Les fabriciers lui versent la somme de 72 livres par an, contre 30 livres au premier chantre et 100 livres à MARCHAND, le maître d'école. On ne voit pas apparaître son nom dans les comptes précédents.
• 21 décembre 1793, Chilly-Mazarin : Pierre Honoré BAILLY, vigneron, déclare le décès survenu la veille à leur domicile rue Verte de leur fils Charles Honoré âgé de huit ans; il signe.
Nous perdons ensuite sa trace. Le 2 mars 1844, dans le 12e arrondissement de Paris meurt un Pierre Honoré Bailly, est-ce lui?
Mise à jour : 28 juillet 2018