Login
Menu et informations
BALAND, Jean-Baptiste [Zacharie] (1757-1826)

BALAND, Jean-Baptiste [Zacharie] (1757-1826)

État civil
NOM : BALAND     Prénom(s) : Jean-Baptiste [Zacharie]     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : Jean
BALLAND
BALLANT
BALANT
BÂLAND
BALLAN
BALAN
BALAUD
Date(s) : 1757-5-10   / 1826-3-31 
Notes biographiques

Fils et père d'organistes, Jean-Baptiste BALAND – qui vers la fin de sa vie se fait aussi appeler Zacharie – est le représentant brillant d'une dynastie de musiciens professionnels du clavier à Bourges. Il s'est employé à jouer l'orgue suivant les exigences des régimes politiques successifs, sauvant peut-être l'instrument de la cathédrale de la destruction, tout en pratiquant la composition. C'est une partition à la main qu'il se fait représenter sur un médaillon aujourd'hui conservé au musée du Berry à Bourges [Isabey ?]. Une inscription, placée dans l'orgue en décembre 1883, rend hommage à "Zacharias Baland", indiquant qu'il aurait occupé la tribune de la cathédrale de 1785 à 1793 et de 1805 à 1819 : ces dates ne sont peut-être pas tout à fait exactes...

• 10 mai 1757, Bourges : Jean-Baptiste BALAND est né paroisse Saint-Ursin. Il est fils de François BALAND, organiste de la collégiale Saint-Ursin, – ainsi que de l'abbaye mauriste Saint-Sulpice, et occasionnellement d'autres orgues…– et de Louise Lagraterie / Degrattery / de Gatterey, sa seconde épouse. Son parrain est Jean-Baptiste Desbruerres, peintre, qui avait été témoin au mariage de ses parents le 28 janvier 1755.

• [1764-1774 environ] : Jean-Baptiste BALAND a-t-il été enfant de chœur dans une maîtrise ? À Bourges ? Ou bien sa formation musicale s'est-elle déroulée exclusivement dans le cadre familial ? Cette seconde hypothèse semble peu probable étant donné le niveau qu'il a atteint dans le domaine de la composition. La recherche reste à mener sur ce point.

• 4 mars 1773, Bourges : Son père, François BALAND, "organiste de cette église" de Saint-Ursin, décède, "âgé de 58 ans environ". On ignore qui lui succède alors à la tribune de Saint-Ursin. Jean-Baptiste a 16 ans. S'il est enfant de chœur dans une maîtrise, il n'est théoriquement pas encore tout à fait "sorti des aubes"
En janvier 1776, le titulaire de Saint-Ursin pourrait être – sous toutes réserves – Antoine FABRE, alors organiste de la cathédrale, car le chapitre prend en charge des frais d'acquisition (262 livres) d'une maison situé dans la paroisse Saint-Ursin.

• 15 janvier 1780, Bourges : Le nom de Jean-Baptiste BALAND apparaît pour la première fois dans les registres du chapitre de Saint-Ursin comme organiste de Saint-Ursin en janvier 1780, aux gages de 200 livres. Il s'agit d'une augmentation de gages, ce qui indique qu'il est en poste depuis déjà un certain temps, a minima plusieurs mois, peut-être plusieurs années. Le chapitre lui accorde 40 livres annuelles supplémentaires à compter du 1er janvier 1780, soit 60 livres par quartier. La date à laquelle il avait pris possession de la tribune, entre 1773 et 1779 reste à retrouver.

• 1er février 1783, Bourges : Sigismond Louis MAKER, musicien, et Catherine-Angelle Regibier signent un acte de la paroisse Notre-Dame-du-Fourchaud. Or Regibier est le nom de la future épouse de J.-B. Baland.

• 1784, Bourges : BALAND reçoit 24 livres pour ses honoraires d'une année comme organiste du collège.

• 7 février 1786, Bourges : Jean BALAND, "organiste de Saint-Ursin", épouse Solange Regibier, paroisse Saint-Outrillet. Parmi les témoins, on relève le nom de S. MACKER.

• 15 septembre 1788 : Le facteur parisien ÉRARD vend un piano à M. BALAND (no1452). C'est le premier exemplaire d'une longue série d'instruments commandés par le musicien (dont on peut supposer qu'il ne les gardait pas tous pour lui-même, mais en faisait commerce).

• 1er mars 1789, Bourges : Dans la liste des habitants composant le Tiers état de la ville de Bourges et ne se trouvant compris dans aucun corps, on relève les noms de Sigismond-Louis MAKER, maître de musique, Jean-Baptiste BALAND, maître de musique, et Raymond GERVAISE, maître de musique.
• Octobre 1789 : BALAND achète un nouveau piano Érard (no1887). Peut-être a-t-il aussi acheté le piano no1874 commandé initialement par un client de Bordeaux.

1790, Bourges : Au début de l'année 1790, Jean-Baptiste BALAND est toujours l'organiste de la collégiale Saint-Ursin, tout en étant maître de musique en ville, et selon toute vraisemblance toujours titulaire de l'orgue du collège (voire d'autres tribunes…). Sur l'année 1790, il reçoit 240 livres d'honoraires pour avoir tenu l'orgue de Saint-Ursin.
À une date qui reste à préciser, dans le courant de l'année, Pierre DOIN lui succède à Saint-Ursin, parce que lui-même est parti à la cathédrale pour remplacer Pierre VAUCORET, décédé le 9 avril 1790. Lorsque le chapitre cathédral déclare l'état de ses dépenses depuis le 1er janvier 1790, on y relève que les Srs VAUCORET et BALAND ont reçu 500 livres à eux deux, en qualité d'organistes gagistes. Comme BALAND déclare 600 livres de revenus en 1790 (requête de 1793), et que l'on connait la somme reçue de Saint-Ursin, on peut en déduire qu'il avait reçu 360 livres de la cathédrale, ce qui correspond à huit mois et demi de gages. Il avait donc pris le relais de VAUCORET très rapidement, dès le milieu du mois d'avril.
• 27 janvier 1790, Bourges : Jean-Baptiste BALAND est parrain d'un fils du tailleur d'habits François Pallet, baptisé à Notre-Dame-du-Fourchaud. Il est dit "cousin maternel de l'enfant" et signe "BALAND org.".
• 3 juillet 1790 : Solange Regibier, "épouse de Maitre Jean BALAN organiste", est la marraine d'un enfant baptisé paroisse Saint-Outrillet. L'époux signe. Son lieu d'exercice n'est pas précisé.

• 4 février 1791 : BALAND se renseigne pour acheter un "piano organisé" auprès de la fabrique Erard.
• En 1791, C'est J.-B. BALAND qui pourrait être à l'initiative de la société philharmonique qui s'établit à Bourges sous sa direction, les réunions ayant lieu dans sa maison.
• 11 juin 1791, Bourges : BALAND est recruté officiellement comme organiste de la cathédrale constitutionnelle. Conformément à la délibération du chapitre l'année précédente, reprise par le directoire du Cher, il est convenu qu'il doit verser à la veuve Vaucoret une pension (200 livres par an), ce qui ampute d'un quart son traitement annuel, fixé à 800 livres. On devine qu'il a d'autres revenus à côté (leçons de piano…).

• 3 août [1792] : BALAND, "organiste de la Métropole de Bourges", s'adresse au facteur de pianoforte Érard à Paris pour commander deux pianos qui lui sont expédiés le 16 décembre 1792.

• 15 février 1793, Bourges : BALAND, organiste, estime avoir droit à une pension en qualité d’organiste du ci-devant chapitre de Saint-Ursin de Bourges, suivant la loi du 1er juillet dernier. Le 11 mars 1793, un avis de l'administration estime qu'il faut lui accorder une année et demie de ses gages à titre de gratification.
• 17 août 1793 : BALAND, organiste de la cathédrale, demande à être payé de ses 400 livres de gages échus le 1er juillet.
• 28 brumaire an II [18 novembre 1793], Bourges : Jean-Baptiste BALAND, "ci-devant organiste de Saint-Étienne et de Saint-Ursin de Bourges", se voit octroyer une gratification de 900 livres, correspondant à une année et demie de ses gages (600 livres). Cela confirme l'avis du 11 mars précédent : il ne remplit pas les conditions pour se voir attribuer une pension.

• 21 nivôse an II [10 janvier 1794], Bourges : Jean-Baptiste BALAND, "professeur de musique", demeurant rue Tricolore, section des Bonnets rouges, est témoin dans l'acte de naissance de Virginie, fille d'Henry PISCADOR.

• 7 mars 1797 : BALAND, "ancien organiste à Bourges", se fait expédier un nouveau piano par le facteur Érard. Celui-ci s'excuse de ne pas avoir pu l'envoyer plutôt "par bien des raisons qui n'ont pas dependu de nous, & nous avons compté sur votre amitié pour vous preter aux circonstances".

• an VI [1798] : Le citoyen BALAND met en musique les Couplets pour la fête de la Souveraineté du peuple. "Non, non, la liberté n'est pas une chimère..." (Bourges, impr. A. Manceron).
• an VII [1798] : Chant pour le 1er vendémiaire, anniversaire de la fondation de la République, paroles du citoyen Malfuson, musique du citoyen J.-B. BALAND. "GrandDieu, protège tes enfans..." (Bourges, impr. Brulass.)

• 9 ventôse an VII [27 février 1799], Bourges : Le nom de BALAND ("musicien") figure dans un projet d’arrêté pour la Fête de la Souveraineté du peuple (30 ventôse an VII) [20 mars 1799].

• 5ème jour complémentaire an VII [20 septembre 1799], Bourges : Lors de la naissance de son fils Charles Étienne, il est dit "propriétaire", époux de Solange Regibier, demeurant "rue Tricolore, section du Bourbounou".

• 5 nivôse an IX [26 décembre 1800], Bourges : À l'issue d'une séance publique de la Société d'agriculture, de commerce et des arts du Cher, on entendit "différens morceaux de musique parfaitement exécutés sous la direction du C. Balland, par les professeurs et les amateurs de musique de la ville de Bourges" (La Décade, no 29).

• 1802, Bourges : À la reprise de la maîtrise de la cathédrale en 1802, BALAND s'occupa de quelques enfants avec l'ancien maître de musique de la collégiale Saint-Ursin. Charles JACQUET, Pierre René NAUDION, Michel PASDELOUP et Sébastien ROSSIGNOL, tous élèves de l'école des frères de la Doctrine chrétienne, sont les quatre enfants de chœur recrutés, FAUQUEUX (depuis 1809) et L. MAKER (à partir de 1810), chantres recrutés à la cathédrale, l'aident en se chargeant, par exemple, des achats de livres.

• 6 floréal an XIII [26 avril 1805], Bourges : Lors de la naissance de son fils Étienne-François (ou Charles-Étienne-François), il est dit "artiste", demeurant rue de Moncenoux.

• 24 octobre 1807, Paris : On peut lire dans le Journal de Paris no 297 du 24 octobre 1807 (p. 2123) : "Annonces et avis divers : Motet à trois voix, en l’honneur de la Vierge, composé par J.-B. Baland, organiste de Bourges, 1 fr 50".

• 1808 : Le nom de BALAND "organiste de la cathédrale de Bourges" figure dans la liste des souscripteurs de l'ouvrage d'A. Choron, Principes de composition des écoles d'Italie : Adoptés par le gouvernement français pour servir à l'instruction des élèves des maîtrises de cathédrales, publié en 1808.

• 15 août 1812, Bourges : M. BALLAND fait donner une messe de GERVAISE, accompagnée d'un Ô Salutaris de sa composition.

• 19 février 1816, Bourges : M. BALAND, "organiste à Bourges", achète un piano Érard (no 9441) pour M. Devaux.

• D'après un dépouillement bibliographique ancien, BALAND a peut-être terminé son service à la cathédrale de Bourges en 1819 (travaux ?, conflit ? les deux hypothèses sont crédibles, voir ci-après).

• 4 juillet 1821, Bourges : Il réceptionne les travaux effectués par Pierre François DALLERY et Louis Paul DALLERY sur l'orgue de la cathédrale.

• 1822, Bourges : BALAND entre violemment en conflit avec les fabriciens de la cathédrale et se voit interdit de tribune. Son fils et celui du facteur d'orgue sont mis en cause. BALAND considéré comme démissionnaire, la fabrique sollicite CHAPUY d'Issoudun, qui refuse le poste. Les choses s'arrangent entre l'organiste à cours d'argent et la fabrique qui ne trouve pas de remplaçant. Il reprend du service le 26 janvier 1823. Il examine les travaux de l'orgue le 12 juin 1823. C'est après cette date qu'il part pour Orléans.

• Selon l'érudit orléanais Victor Pelletier, ce serait en 1821, que "par décision administrative", le buffet d'orgues de l'ancienne abbatiale de St-Benoît-sur-Loire fut transféré à la cathédrale d'Orléans. En 1862, il raconte : "Ce buffet réclamait de sérieuses réparations. Lorsqu'elles furent achevées, on confia le clavier à un organiste des plus capables, M. BALLAND, qu'on fit venir de Bourges". Il ne date pas plus précisément l'entrée en fonction de BALAND à Orléans. On peut toutefois penser que ces "sérieuses réparations" ont pu prendre plusieurs mois…

• 2 août 1823, Orléans : Le nom de BALAND figure comme celui de l'organiste dans un état d'émargement des employés de la cathédrale. Il reçoit 250 francs comme quartier d'un traitement annuel fixe de 1 000 francs. Ce traitement est très élevé et indique un sérieux effort de la part de la fabrique de Sainte-Croix puisque l'organiste précédent, MENONVILLE, ne recevait que 200 francs.
• Fin 1823, Orléans : Jean-Baptiste BALAND réceptionne l'orgue de la cathédrale d'Orléans (et déclare avoir eu un vif succès à cette occasion), se voyant offrir la tribune, avec 1 000 francs de rémunération et l'assurance pour son fils Charles Étienne BALAND d'obtenir le poste après lui. L'évêque de Bourges, ne pouvant renchérir sur cette offre, voit l'organiste quitter définitivement Bourges pour Orléans.

• 1er juillet 1825, Orléans : "L'administration a accordé à l'organiste un supplément de traitement de 200 F par chaque année", somme qu'il perçoit jusqu'au 1er trimestre 1826. C'est M. Rappin qui reçoit pour lui le dernier versement.

• 31 mars 1826, Orléans : "Jean-Baptiste Zacharie BALAND" décède à son domicile, 3 rue du Bœuf Sainte-Croix. Il est dit "professeur de musique et organiste de l'église cathédrale d'Orléans". Le décès est déclaré par un jeune professeur de musique âgé de 27 ans, Jean Jacques Firmin VIMEUX. Son fils Charles-Étienne n'est pas mentionné dans l'acte.
• 25 décembre 1826, Bourges : Charles-Étienne BALAND, "pianiste", âgé de 28 ans, déclare le décès de son frère Charles-Étienne-François, 21 ans, caporal au 2e Régiment d'infanterie de Marine. Il dit que leur père était pianiste.

• 8 décembre 1831, Bourges : Son fils Charles BALAND adresse à P. Érard, à Paris, un lot de compositions (dont un trio intitulé Le Ciel) de son père, "pianiste et compositeur", qu'il a conservées et qu'il souhaiterait voir "mises au jour". Le 3 avril 1832, il relance son correspondant, dont il n'a pas reçu de réponse.

• • • Œuvres de Jean-Baptiste BALAND

Premier recueil d'Airs et romances pour le piano, par M. BALAND, 7 liv. 4 s., Annonce parue dans le Mercure de France, no 13, avril 1786.
• 1798 [an VI], Couplets pour la fête de la Souveraineté du peuple, mis en musique par le citoyen BALAND : "Non, non, la liberté n'est pas une chimère...", Bourges, impr. A. Manceron.
• 1798 [an VII], Chant pour le 1er vendémiaire, anniversaire de la fondation de la République, paroles du citoyen Malfuson, musique du citoyen J.-B. BALAND : "GrandDieu, protège tes enfans... ", Bourges, impr. Brulass.
Ave Regina [s.d. vers 1807 ?], par "BALAND organiste de la cathédrale de Bourges", copie manuscrite conservée dans le fonds musical de la cathédrale du Puy-en-Velay (motet à trois voix, cote 353), s. d. Il pourrait s'agir de l'œuvre annoncée dans le Journal de Paris (motet à trois voix) le 24 octobre 1807.
Ô Salutaris [s.d. vers 1812 ?], donné le 15 août 1812 à Bourges par M. BALAND.
• [1822] : Psaume IV. Cum invocarem..., Jean-Baptiste Z. BALAND, traduction de Mr de Sapinaud de Boishuget, s.d.s.l., Bibliothèque nationale de France. D'après le Journal de Paris, "Balland a eu l'honneur de présenter son ouvrage en audience particulière à S.A.R. Madame, duchesse d'Angoulême, qui a daigné en accepter la dédicace", no 134, 14 mai 1822.
• Trio Le Ciel, s.d., adressé avec un lot de compositions à P. Erard, en 1831, par son fils Charles Baland, pour publication. Sa relance laisse entendre que l'éditeur n'a pas donné suite.

Mise à jour : 27 décembre 2021

Sources
M.-R. Renon, "Promenade liturgique", Cahiers d'Artes, 2007 ; M.-R. Renon, La Maîtrise de la cathédrale Saint-Étienne…, 1982 ; A. de Girardot, La cathédrale de Bourges [...] ; Bulletin du Comité d'histoire et d'archéologie du diocèse de Bourges, 1870 ; D.2009.1.607 et D.2009.1.644 ; F-Ad18/ 1 L 196 ; F-Ad18/ 1 L 197 ; F-Ad18/ 1 L 302 ; F-Ad18/ 1 L 631 ; F-Ad18/ 1 L 632 ; F-Ad18/ 1 L 830 ; F-Ad18/ 14 G 187 ; F-Ad18/ 14 G 45 ; F-Ad18/ 3 E 0068, vue 346-347/385 ; F-Ad18/ 3 E 1168, vue 20/289 ; F-Ad18/ BMS Bourges, Notre-Dame du Fourchaud ; F-Ad18/ BMS Bourges, St-Ursin  ; F-Ad18/ D 363 ; F-Ad18/ GG 72 ; F-Ad18/ NMD Bourges ; F-Ad18/ Q 279 ; F-Ad18/ Q 281 ; F-Ad18/ V 756 - F-Ad18/ V 668 - F-Ad18/ V 749 ; F-Ad18/ série D ; F-Ad45/ 2 E 108, vue 124/560 ; F-Ad45/ 50 J 126 ; F-Ad45/ 50 J 151 ; F-Am Bourges ; F-Archives Erard/ D.2009.1.82 ; F-BnF/ A-34822 < mq. p. 3-4 >  ; F-LPC/ Cathédrale/353 ; Gallica, presse en ligne ; H. Jouin, Musée de portraits d'artistes…, 1888 ; J.-Y. Ribault et D. Kern, Le grand orgue de la cathédrale St-Étienne de Bourges…, 1989 ; Journal de Paris, n.297, p.2123 ; M.-R. Renon, "La maîtrise de la cathédrale au XIXe siècle", CAHB, 1993 ; M.-R. Renon, "Promenade liturgique", Cahiers d'Artes, 2007 ; R. Adelson et alii, The History of the Erard Piano…, 2015 ; V. Pelletier, Essai sur la Maîtrise de la Cathédrale d'Orléans, 1862 ; ark:/12148/bpt6k5744153h ; http://www.sebastienerard.org D.2009.1.1890 ; http://www.sebastienerard.org/ D.2009.1.83

<<<< retour <<<<