Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
CAHOREAU, Jean (1756-1820)
Autre(s) forme(s) du nom : CAHORAU
Date(s) : 1756-8-22 / 1820-11-25
• 22 août 1756, Longnes [Sarthe] : naissance et baptême de Jean CAHOREAU. Son père, Étienne, assiste très régulièrement aux inhumations. On peut supposer qu'il est le chantre de la paroisse, ou au minimum, très impliqué à son service (sacristain ?). Au moment du mariage de son fils (1785) il sera dit maitre boulanger.
• 16 janvier 1784, Longnes : mention dans un testament de Jean CAHOREAU, chantre et maître d'école de la paroisse de Longnes (selon A. Robert, « L'instruction au XVIIIe siècle dans les anciennes paroisses de la circonscription d'inspection primaire de Sillé-le-Guillaume (Sarthe) », Revue historique et archéologique du Maine, 1897).
• 11 janvier 1785, Longnes : mariage de Jean CAHOREAU, hôte, avec Marie Legendre, orpheline de 20 ans, nièce de Pierre GUITTET, "sacristain laïc". Ce dernier assiste le curé lors des sépultures, parfois en compagnie de Jean Cahoreau, qui signe irrégulièrement à ses côtés.
• 26 novembre 1785, Longnes : décès de Pierre GUITTET, sacristain laïc, âgé d’environ 48 ans. Jean CAHOREAU prend le relais et assiste alors très régulièrement aux cérémonies du village, surtout les sépultures. Il est à son tour qualifié de sacriste ou de sacristain laïc, régulièrement, jusqu'en 1792.
• 21 mars 1786 et 9 février 1792, Longnes : naissance de son fils Jean puis de sa fille Marie.
Pendant la Révolution, Jean Cahoreau continue d'exercer et devient secrétaire de l'assemblée qui nomme la nouvelle municipalité.
• 5 août 1792 : Madeleine Cahoreau, maîtresse d'école, prête le serment civique. Est-ce sa soeur, sa cousine ?
• 9 septembre 1792 : Jean Cahoreau prête le serment civique exigé des fonctionnaires publics.
• vers la fin de l'année 1792, Longnes : sa qualité d'aubergiste reprend le dessus dans le registre paroissial. Le qualificatif de sacriste est maintenant donné à Joseph GUITTET.
• 14 mai 1812, Longnes : mariage de son fils Jean, avec la fille d'un cultivateur de la paroisse voisine de Brains [-sur-Gée]. Le jeune marié et son père sont tous deux sacristains.
• 25 novembre 1820, Longnes : décès de Jean Cahoreau père. Il est déclaré le lendemain par son fils, Jean, qui est devenu cultivateur. Aucune qualité particulière n'est indiquée pour le défunt.