Login
Menu et informations
CHAPOTIN, Edme (1725-1802)
État civil
NOM : CHAPOTIN     Prénom(s) : Edme      Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : CHAPOTTIN
CHAPPOTIN
CHAPPOTTIN
Date(s) : 1725-8-14  / 1802-10-6 
Notes biographiques

De son enfance à la Révolution, Edme CHAPOTIN est resté au service de la cathédrale d'Auxerre : après y avoir été enfant de chœur puis sous-maître, il en devient à vingt ans maître de musique... et le restera plus de quarante cinq ans. Il déploie une active sociabilité au sein du milieu musical auxerrois et rayonne au-delà de la ville.

• 14 août 1725, Courgis [Yonne] : Dans ce village d'environ 970 habitants (en 1720), situé à 16 km à l'est d'Auxerre, naît Edme CHAPOTIN, fils d’Honoré Chapotin vigneron, et de Marie Lapierre.

• Avril 1734, Auxerre : Edme CHAPOTIN devient enfant de chœur du chapitre de la cathédrale Saint-Étienne. Il a 8 ans et 8 mois, ce qui est un âge relativement tardif pour la réception d'un enfant de chœur, mais il habituel à la cathédrale d'Auxerre.

• 1741, Auxerre : L'enfant de chœur devient sous-maître à la cathédrale Saint-Étienne. Il a 16 ans. Le maître de musique est alors Louis-Jacques AUBERT.

• 9 juin 1745, Auxerre : Son maître, Louis AUBERT, décède, âgé d'environ 55 ans. Il est inhumé le lendemain dans l'une des chapelles de la cathédrale. On peut supposer que le jeune homme prend aussitôt concrètement le relais auprès des enfants de chœur, et qu'il l'avait déjà peut-être déjà pris antérieurement si le décès est consécutif à une maladie.
• 6 août 1745, Auxerre : Edme CHAPOTIN est reçu maître de musique et de psallette à la cathédrale Saint-Étienne. Il a vingt ans. Il va occuper ce double poste jusqu'à la Révolution.

• 20 janvier 1746 : "Chapotin Maitre de Musique" signe ès qualité l'acte de sépulture, inscrit dans le registre spécifique du chapitre, du jeune Thomas HUET, enfant de chœur, mort la veille à l'Hôtel-Dieu, âgé d'environ 13 ans. Deux musiciens sont aussi présents à la cérémonie, Amâtre CHEVRILLON et Antoine POUPIN.

• Le 8 novembre 1748, "le sieur Edme CHAPOTIN, Maître de Musique de la cathédrale d’Auxerre" est présent à Courgis, son village natal, et tient sur les fonts baptismaux une fille d’Hubert Pinon le jeune, vigneron, et de Marianne Chapotin : la baptisée est une sœur aînée d'Hubert PINON, lequel naîtra trois ans plus tard et deviendra ultérieurement enfant de chœur puis musicien à la cathédrale.

• Avril 1759, Auxerre: Un registre capitulaire isolé ayant été conservé livre la composition du bas chœur enregistrée à l'occasion du chapitre général. Outre trois semi-prébendés et deux chapelains, cette liste mentionne le maître CHAPOTIN, l'organiste PALLAIS, et cinq commis musiciens donnés dans l'ordre suivant : CHEVRILLON, POITOU, BOURCELET, PRUNEL, BONNOTTE, ordre qui correspond à l'ancienneté. Sont aussi mentionnés deux sacristains, "les enfants de chœur" (dont les noms ne sont pas relevés), les trois bâtonniers, le suisse et le sonneur.
• 15 août 1759 : "Monsieur Edme Chapotin, maître de musique de la cathédrale de cette ville" est parrain d'Anne-Cécile Griffe, fille d'un vigneron, paroisse Saint-Pierre-en-Château. La marraine est Cécile Pallais, fille de l'organiste. Le 27 juillet 1760, lorsque, à l'âge d'un an, meurt sa filleule, le parrain signe en toutes lettres l'acte de décès : "Edme Chapotin maître de musique de l'église d'Auxerre".

• Avril 1760, Auxerre : Son neveu Hubert PINON est reçu enfant de chœur à la cathédrale Saint-Étienne,

• 4 juin 1761, Auxerre : Deux musiciens de la cathédrale Saint-Étienne, Edme CHAPOTIN et Amâtre CHEVRILLON signent l'acte d'inhumation du fils de dix ans que vient perdre leur collègue Noël Jean BOURCELET.

• 19 juillet 1762, Auxerre : Dans l'église paroissiale Saint-Eusèbe, Edme CHAPOTIN signe au mariage de René PRUNELLE, musicien de la cathédrale, avec Anne Bonelle. Parmi les témoins, on remarque Amâtre CHEVRILLON.

• 22 février 1765, Auxerre : Edme CHAPOTIN, maître de musique, est parrain d'une fille de Vincent GARNIER musicien de la cathédrale, paroisse Saint-Pierre-en-Château.
• 11 juin 1766 : Edme Chapotin est présent et signe à l'inhumation de la belle-sœur de Bonaventure BONNOTTE, son chantre-cordonnier.

• 28 août 1769 : L'un des chanoines du chapitre s'apprêtant à aller "prendre les eaux de Bain en Lorraine", le maître de musique "ayant aussi besoin de prendre les mêmes eaux" demande et obtient du chapitre l'autorisation de s'absenter pour ce faire.

• 2 septembre 1771, Avallon : "M. CHAPOTIN maître de la cathédralle d’Auxerre" reçoit 30 livres du chapitre de la collégiale pour être venu participer aux festivités de la Saint-Lazare, aux côtés de son confrère le maître d'Avallon, ROZEROT. Pour cette expédition de quelque 100 km aller et retour, il est accompagné de Charles POITOU qui reçoit, lui, 12 livres. Lors de cette célébration, ils côtoient "un musicien de Tonnerre" dont le nom n'a pas été enregistré dans les comptes.

• 17 février 1772 : Le sieur Edme CHAPOTIN "clerc de ce diocèse" est nommé à la chapelle de St-Lazare, desservie en la cathédrale. Il y est "installé" le vendredi 21 février.

• 30 janvier 1773, Auxerre : Edme CHAPOTIN, "maître de musique", est présent paroisse Saint-Loup et signe au mariage de Jacques Romain CHERTIER musicien de Saint-Étienne, ainsi que Joseph PALLAIS, René PRUNELLE et Jean Jacques MÉRAL.
• 12 janvier 1774 : Edme CHAPOTIN, "clerc tonsuré et maître de musique", est parrain d'Edme-François Turlet, fils d'un marchand, paroisse Saint-Pierre-en-Château.

• 28 août 1775, Auxerre : Le chapitre accorde quinze jours de vacances à son maître de musique. Celui-ci les passe à Paris. Il y fait raccommoder les instruments de la maîtrise pour 84 livres, et le 15 septembre 1775 il demande l'autorisation de ramener "un enfant de chœur de cette ville" avec lui. Plus loin, et en suivant de près l'évolution des effectifs reçus et partis, on s'aperçoit qu'il ne peut s'agir que de DOLLÉ l'aîné.
• 30 novembre 1775, Auxerre : En l'église paroissiale de Saint-Pierre-en-Château, Edme CHAPOTIN, maître de musique de la cathédrale, est témoin au mariage de Jeanne Griffe, fille d'un vigneron et sœur de son ancienne filleule décédée quinze ans plus tôt. Sont aussi présents et signataires : Jacques-Romain CHERTIER, musicien, et Edme Lemaire, facteur.

• 29 août 1777, Auxerre : Le chapitre accorde un mois de vacances à son maître de musique "en l’exhortant toutefois à être absent le moins de temps possible".

• Durant les années suivantes, le maître fait preuve d'une grande activité et rayonne bien au delà du chœur de Saint-Étienne.
Ainsi, le 21 août 1778 il demande (et obtient) la permission de s’absenter pendant huit jours pour aller à Troyes, à 75 km de là (en retour, trois musiciens viennent de Troyes à Auxerre pour la St-Étienne suivante). Fin décembre 1778, il emmène les enfants de chœur à Notre-Dame la d'Hors pour chanter à une messe solennelle en l'honneur de "l’heureuse délivrance de la Reine".

• 13 août 1779 : Edme CHAPOTIN obtient six semaines de vacances qu'il consacre à aller à Paris "pour se perfectionner dans son état". Y rejoint-il son neveu Hubert PINON qui au lendemain des fêtes de Pâques avait quitté sa fonction de joueur de basse à la cathédrale et était parti "pour Paris où il va pour se perfectionner dans la musique" ? Edme CHAPOTIN rentre seul à Auxerre : son neveu est parti pour Fécamp.

• À la fin du mois de juin 1781, Edme CHAPOTIN est à nouveau autorisé à partir huit jours pour Troyes, en compagnie de François Julien MÉRY, haute-contre, et de l'aîné des enfants de chœur. Après deux ans à Fécamp, son neveu Hubert PINON obtient un poste à Troyes.

• Août 1782 : Le chapitre décide que "tous les commis musiciens se rendront chez le Maître de Musique la veille des grandes fêtes pour y faire la répétition des pièces de musique qui doivent s’exécuter à la cathédralle". Edme CHAPOTIN reçoit 96 livres "pour différentes dépenses dont il a fourni le mémoire et spécialement pour les frais de musique du jour de St-Étienne". Le premier enfant de chœur reçoit 6 livres pour un Magnificat de sa composition, mais en même temps on rappelle au Maître qu'il ne doit "faire exécuter aucune pièce de la composition des enfants de chœur sans en avoir obtenu l’agrément du chapitre". Il est cependant autorisé à conduire les enfants de chœur à l’abbaye de St-Julien et des Isles pour y exécuter de la musique. À travers toutes ces délibérations capitulaires, on devine le dynamisme dont Edme CHAPOTIN fait preuve sans relâche tant à l'intérieur de la maîtrise qu'à l'extérieur.

• 11 août 1783 : Le chapitre accorde trois semaines de vacances à son Maître de Musique et lui rembourse la dépense qu'il a faite pour la fête de St-Étienne (65 livres 17 sols seulement cette année-là). Le Maître de Musique propose pour le remplacer pendant son absence à la maîtrise quelqu'un dont le nom n'est pas donné mais que le chapitre juge comme "n’étant pas propre à en imposer aux enfants". C'est alors M. Marois, semi-prébendé, qui est chargé "de gouverner cette maison et surtout d’y coucher".

• 18 juin 1784 : Le chapitre accorde cette année quinze jours de vacances à Edme CHAPOTIN, qu'il prendra après avoir conduit les enfants de chœur "dimanche prochain à Notre-Dame la d’Hors pour y faire la musique au salut des clercs de procureur".
• 13 décembre 1784, Auxerre : À l'occasion du chapitre général est dressée la liste des membres du bas chœur. Elle comporte 9 musiciens, dans l'ordre suivant : le Maître de musique Edme CHAPOTIN, l'organiste PALLAIS, les commis musiciens PRUNELLE, BONNOTTE, CHERTIER, JOBARD, GELIN, DUBAUX et MÉRY. Auxquels s'ajoutent des chapelains, sacristains, enfants de chœur, bâtonniers, suisse et sonneur non nommés.

• 19 août 1785 : Edme CHAPOTIN est autorisé à "conduire les enfants de chœur le jour de St-Bernard à l’abbaye des Isles pour y faire de la musique au salut".

• 7 aout 1786 : Le chapitre lui accorde  trois semaines ou un mois pour aller à Paris, sans que soit précisé ce qu'il souhaite y faire. Le même jour, le chapitre lui verse aussi la somme de 107 livres 18 sols "pour les avances qu’il a fait pour la St-Étienne", mais lui rappelle qu'il ne doit " faire à l’avenir aucune avance pour les musiciens étrangers sans l’agrément du chapitre".
Le maître a repéré à Paris deux jeunes garçons aux voix d'or dont l'un, Jean-Marcellin VENIARD, est reçu enfant de chœur au concours le 15 septembre 1786, et l'autre, Alexandre-Louis WILSON, est accepté le 11 septembre en qualité de surnuméraire à la maîtrise, où il arrive réellement fin novembre.

• 8 octobre 1787 : Le chapitre se plaint de la dissipation des enfants de chœur et de "leurs sorties trop fréquentes, légèrement permises ou trop facilement pardonnées quand ils n’ont pas obtenu de permission". Cela sonne comme une critique envers Edme CHAPOTIN : le maître de musique est jugé trop indulgent, voire laxiste avec ses enfants de chœur. Les chanoines tentent une reprise en mains avec un nouveau règlement, plus sévère, qui interdit toute sortie sans le maître. Ils déclarent du même coup renoncer "aussi eux-mêmes à la liberté de les faire venir chez eux ou de les mener et envoyer quelque part que ce soit" – ce qui indique que tel pouvait avoir été antérieurement le cas.
• 22 octobre 1787 : Les chanoines font un exemple en expulsant l'aîné des enfants de chœur, ROBERT, "de plus en plus insubordonné" et dont ils se sont "aperçu eux-mêmes qu’hier il a désobéi publiquement et pendant le cours du service divin au Maître de Musique".
• 28 octobre 1787 : Son neveu Hubert PINON se réinstalle à Auxerre où il a été reçu "en qualité de Basse taille". Dans quelle mesure ce neveu va-t-il apporter son soutien au maître vieillissant ? Le registre capitulaire ne permet pas de le discerner. Mais les deux hommes sont liés. Par exemple, le 11 avril 1788 ils viennent ensemble en chapitre demander la permission de s’absenter pendant quatre jours. Peut-être vont-ils chanter ensemble dans une église proche, ou en pèlerinage au berceau familial de Courgis.

• 5 septembre 1788, Auxerre : Edme CHAPOTIN, "maître de musique de l’église cathédrale", est parrain de la 3ème fille de son chantre Pierre CAMPENON, paroisse Saint-Eusèbe. La marraine est Anne Bosnier, femme de Bonaventure BONOTTE, basse contre de la cathédrale.

• 2 janvier 1789 : Le sieur CHAPOTIN, "en surplis et petit camail", est installé dans le canonicat de Notre-Dame de la Cité dont il a reçu les lettre de provisions le mois précédent. Devenir chanoine de cette petite collégiale dépendante immédiatement du chapitre cathédral, est en quelque sorte le couronnement de la carrière du fils de vigneron.
• 29 mai, 20 juillet et 1er août 1789 : Le maître de musique obtient trois autorisations de sortie pour emmener ses enfants de chœur "exécuter un motet" successivement chez les Capucins, à l’église de Notre-Dame-la-d’Hors et à l’église de Saint-Pierre-le-Château.

1790, Auxerre : Maître de Musique de la cathédrale Saint-Étienne, Edme CHAPOTIN rencontre des ennuis de santé au début de l'année, dont le chapitre prend les frais en charge. Comme l'organiste PALLAIS, il est absent et excusé lors du chapitre général du 1er avril 1790.
En revanche, il semble avoir un regain d'activité durant l'été 1790, où il emmène ses enfants de chœur chanter à Notre-Dame la d’Hors pour le salut de la fête de Sainte Marguerite, chez les Dames bernardines le 20 août, et chez les Dames ursulines la veille et le jour de la fête de Saint Augustin, pour y exécuter un motet. Sous sa direction chantent au chœur les "commis musiciens" Bonaventure BONNOTTE, Pierre CAMPENON, Romain CHERTIER, Nicolas GELIN, Étienne LE COUTEUXEdme Hubert PINON, tandis que Pierre JOBARD joue du serpent.
• 20 décembre 1790 : Edme CHAPOTIN est "averti de se concerter avec les parents des enfans de chœur afin qu'ils retirent leurs enfants pour le premier de janvier prochain"

Dans ses démarches pour obtenir des secours en 1790-1791, Edme CHAPOTIN se dit "au service de la compagnie depuis 1734". Il est clerc tonsuré.
Il est par ailleurs "chanoine de la Cité", c'est-à-dire qu'il bénéficie d’une prébende canoniale en l’église collégiale de Notre-Dame de la cité d’Auxerre, qui lui rapporte 183 livres.
En tant que maître de musique de la cathédrale, il est aussi chanoine semi-prébendé au sein du chapitre cathédral, ce qui est nettement plus intéressant : "montant net à 1000 livres".
Il reçoit enfin du chapitre "70 livres par mois [soit] par an 840 livres, plus 84 muids de bled froment évalué 6 livres [soit] 504 livres par an", soit 1344 livres, mais cette somme est surtout destinée à l'entretien des 6 enfants de chœur, qu'il estime à 1200 livres / an. C'est donc en réalité sa semi-prébende qui le fait vivre.

• 17 mai 1791 : Les commissaires qui règlent les dernières affaires temporelles du ci-devant chapitre accordent "en don au Maître de Musique sa chambre garnie, un lit pour sa domestique, et autres petits effets, plus toute la musique de sa composition". Il semble toujours vivre dans la maison de la maîtrise où on lui laisse en outre la libre disposition des deux basses et de lots de vêtements destinés aux enfants de chœur (12 aubes, 12 collets…).
• 11 août 1791, Auxerre : Edme CHAPOTIN maître de musique à la ci-devant cathédrale, qui continue à "contribuer par sa présence et par ses soins à la décence du culte", obtient une gratification de 50 livres pour GERVAIS et CHOUPPE, anciens enfants de chœur de la cathédrale, qui assistent toujours régulièrement aux offices.

• 24 août 1792 : Un arrêté départemental lui accorde 400 livres de pension. Le 29 octobre 1792, le citoyen Edme CHAPOTIN, maître de musique, prête serment.

• 1796-1798, Courgis : Edme CHAPOTIN est revenu s'installer dans son village natal. Il touche sa pension à Chablis.

• 14 vendémiaire an XI [6 octobre 1802], Courgis : Le décès d'Edme CHAPOTIN, toujours dit musicien, est déclaré par deux neveux, dont l'un est charpentier, et l'autre... musicien à Auxerre. Il s'agit de son cher neveu Hubert PINON, ancien enfant de chœur puis bassier de la cathédrale.

Mise à jour : 18 juillet 2018

Sources
Abbé Bonneau, Notes pour servir à l'histoire du clergé de l'Yonne..., 1900. ; Ch. Demay, PV administration municipale Auxerre..., 1892. ; F-Ad89/ BMS Courgis ; F-Ad89/ BMS St-Eusèbe d'Auxerre ; F-Ad89/ BMS St-Loup ; F-Ad89/ BMS St-Pierre-en-Château ; F-Ad89/ BMS St-Pierre-en-Château d'Auxerre ; F-Ad89/ BMS St-Pèlerin ; F-Ad89/ G 1802 ; F-Ad89/ G 1803 ; F-Ad89/ G 1804 ; F-Ad89/ G 1805 ; F-Ad89/ G 1806 ; F-Ad89/ G 1807 ; F-Ad89/ G 1808 ; F-Ad89/ G 1809 ; F-Ad89/ G 1810 ; F-Ad89/ G 1813 ; F-Ad89/ G 2157 ; F-Ad89/ L 28 ; F-Ad89/ L 685 ; F-Ad89/ L 798 (50) ; F-Ad89/ L 798 (79) ; F-Ad89/ L 798 (97) ; F-Ad89/ L 801 ; F-Ad89/ NMD Courgis ; F-Ad89/ S chapitre St-Étienne d'Auxerre ; F-An/ DXIX/090/738/09

<<<< retour <<<<