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Pour citer Muséfrem
COURRIVAUD, Jean-Baptiste (1734-1795 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : COURRIVAUD, Jean
COURIVAUD
CORIVAUX
COLIVE
Date(s) : 1734-10-9 / 1795 ap.
• 9 octobre 1734, Angoulême : Baptême de Jean-Baptiste COURRIVAUD à Angoulême.
• [1768]-19 mars 1770, Montpellier : Il est deux ans postulant à une place salariée du chapitre cathédral Saint-Pierre de Montpellier, jusqu'au 19 mars 1770, date à laquelle il est reçu comme violon du chapitre.
• 1790 : Il est musicien et violon pour les dimanches et fêtes au service du chapitre cathédral de Montpellier aux appointements de 100 livres annuelles. Il fait une demande de pension au Comité ecclésiastique, dans laquelle il dit souffrir depuis plusieurs années de douleurs rhumatismales. En mai, il signe la pétition collective des musiciens du chapitre cathédral Saint-Pierre de Montpellier à l'assemblée nationale.
• 26 janvier 1791 : Le directoire de département de l'Hérault lui accorde un traitement de 100 livres en rente viagère.
• 29 octobre 1791 : Du fait que les services des musiciens de l'ancien chapitre ont continué depuis janvier 1791, ils reçoivent tous une rémunération en plus de leur pension pour les services extraordinaires. Jean-Baptiste COURRIVAUD, comme la plupart de ses collègues, touche 48 livres prises sur le budget prévu pour les frais du culte.
• 4 mai 1792 : Sa pension est réduite à 50 livres annuelles.
• 24 septembre 1792 : Il fait une nouvelle demande de pension au directoire du district de Montpellier, qui répond par la négative, car "il étoit de notoriété publique que les violons n'étoient point soumis à un service habituel, mais seulement déterminé aux Dimanches et fêtes". Le directoire du département, plus bienveillant, porte à nouveau sa pension à la totalité de ses anciens gages, soit 100 livres par année, plus un supplément de 87 livres 10 sols pour les sommes perçues depuis janvier 1791.
• [Vers 1795] : Jean-Baptiste COURRIVAUD intègre l'orchestre du théâtre de Montpellier, ce qui lui permet d'augmenter considérablement ses revenus annuels par rapport à la modique pension qu'il recevait de l'État.
Mise à jour : 7 février 2015