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Pour citer Muséfrem
DEBIER, François (1763-1840)
Autre(s) forme(s) du nom : DEBIÈRE
Date(s) : 1763-5-25 / 1840-2-9
Né le 25 mai 1763 à Aisey-le-Duc [aujourd'hui Aisey-sur-Seine, Côte d’Or], François DEBIER est l'un de ces innombrables chantres maîtres d'école des villages bourguignons, inscrits dans des réseaux familiaux où l'on se transmet postes et fonctions. Au moment de la Révolution il exerce à Civry[-sur-Serein], dans le diocèse de Langres. Il y est attesté à partir de début janvier 1783 : il a pris la suite de René Breuillard, décédé le 21 décembre 1782, âgé de 72 ans.
• 19 novembre 1787, Dissangis : François DEBIER, 24 ans, recteur d’école à Civry, épouse Marie Martine Boyer, âgée de 21 ans, fille de Jean BOYER, chantre et recteur d'école à Dissangis, village tout proche, situé à moins de 2 km au sud-ouest de Civry à vol d’oiseau, sur l'autre rive du Serein… donc dans le diocèse d'Autun. Deux enfants naissent à Civry (13 octobre 1788 et 12 septembre 1790).
• 18 décembre 1790, Dissangis : Toujours recteur des écoles à Civry, le sieur François DEBIER assiste à la sépulture de son beau père, le sieur Jean BOYER, recteur des écoles et chantre de la paroisse. Il quitte aussitôt Civry pour s'installer à Dissangis et y reprendre les fonctions de son beau-père, tandis qu'à Civry Jean CARRÉ lui succède dès janvier 1791.
• Au printemps de 1796, François DEBIER, sans doute toujours maître d'école à Dissangis, devient en plus agent municipal chargé de recevoir les actes d’état civil.
• En l’an 8 [septembre 1799], sa signature devient « Debier, maire ». Il reste maire de Dissangis jusqu’à la fin de 1807.
• 9 février 1840, Dissangis : François DEBIER décède à 5 heures du soir à son domicile. Le décès est déclaré le lendemain par son fils, laboureur, et par Gabriel Morin, instituteur à Dissangy, son gendre.