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DELAPLACE, Michel Étienne (1748-1831)
État civil
NOM : DELAPLACE     Prénom(s) : Michel Étienne     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : DE LA PLACE
LAPLACE
Date(s) : 1748-9-29  / 1831-5-10
Notes biographiques

Natif d'Orléans, formé sur place par François GIROUST, Michel Étienne DELAPLACE migre en 1769 vers Bourges, où son ancien maître lui a obtenu la direction de la musique de la cathédrale. Très vite, la mésentente s'installe entre le nouvel arrivant et le chapitre, qui exige un investissement de tous les instants auprès des enfants. En 1771, DELAPLACE quitte le Berry pour la Picardie. Engagé à la cathédrale de Beauvais, il y reste en fonctions jusqu'en 1794. Il reprend ensuite du service après la signature du Concordat et s'éteint dans sa ville d'adoption en 1831.

• 29 septembre 1748, Orléans : Michel Étienne DELAPLACE, fils d'Étienne-Nicolas Delaplace, marchand quincailler, et d'Anne Renier, naît sur la paroisse Saint-Victor où il est baptisé.

• Vers  la fin de l'année 1756, Orléans : Michel Étienne DELAPLACE est reçu enfant de chœur à la cathédrale Sainte-Croix. Les registres capitulaires de cette période ayant été détruits dans l'incendie de 1940, il est impossible de préciser davantage sa date d'entrée à la maîtrise. Il y a peut-être succédé à Pierre Nicolas PUSSENEAU. Ce qui est sûr, c'est qu'il y est formé à la musique sous la direction de François GIROUST, maître de musique des lieux de la Toussaint 1756 à mars 1769 et qu'il y côtoie durant quelques années Pierre Antoine FLAMAND, reçu fin 1751 et François ADAM, reçu vers 1760.

• 21 décembre 1768, Orléans : Les chanoines lui délivrent un certificat de bonnes vie et mœurs en latin qui rappelle que "Maître Michel Étienne DELAPLACE, clerc de ce diocèse", a étudié la musique en tant qu'enfant de chœur à la psallette de l'église d'Orléans où il a été instruit pendant douze ans. On peut penser que la délivrance de ce certificat correspond non seulement à sa sortie de la maîtrise mais aussi, sans doute, à son départ d'Orléans.

• 31 août 1769, Bourges : L'ancien maître de musique d'Orléans, François GIROUST, qui vient d'être nommé aux Saint-Innocents de Paris, a proposé la candidature de DELAPLACE au chapitre cathédral de Bourges pour occuper la place de maître de musique. À cette époque, c'est le "chanoine de résidence" Joseph Pierre TISSIER qui assure l'intérim pendant les absences régulières du maître en titre, Pierre Étienne CANNEAUX.
Le jeune homme, âgé de 21 ans, clerc tonsuré du diocèse d'Orléans, présente une attestation en bonne forme du chapitre d'Orléans et des lettres de recommandation du théologal d'Orléans qui l'annonce comme "un sujet d'une grande espérance ayant été élevé et formé, par un très habile maître de musique et ayant dès sa plus tendre jeunesse montré de sérieuses dispositions et des talents". Même si le chapitre de Bourges trouve "le sieur DELAPLACE [...] encore fort jeune et sans expérience", il le recrute, établissant un bail d'une durée de neuf années, tout en faisant rédiger un nouveau règlement de la maîtrise.
• 1er septembre 1769, Bourges : "À l'issue de la grand-messe [DELAPLACE est reçu] chanoine d'honneur pour pouvoir lui donner un rang et une séance convenable au poste qui lui est confié" ; "jusqu'à ce qu'il soit possible de faire un arrangement fixe avec lui pour le charger de tout le détail de l'entretien de la maîtrise, il lui sera payé 300 livres par an pour ses appointements à compter du 10 du mois". Son contrat prévoit qu'il aura la charge de douze enfants de chœur auxquels il devra apprendre à la musique, le chant et la composition mais également veiller sur leurs mœurs et les élever dans la piété. Ses revenus sont pour une partie en argent, pour l'autre partie en nature. Il est chargé de l'ensemble du mobilier de la maîtrise qui devra faire l'objet d'un inventaire, et être rendu en état. Il sera tenu de laisser au chapitre ses compositions, même après son départ.

• 12 janvier 1770, Bourges : Le chapitre n'est pas satisfait de Michel Étienne DELAPLACE. Il lui reproche de ne pas exécuter le règlement de la maîtrise, ni pour lui-même, ni par les enfants. Le maître, soumis à la résidence comme les bénéficiers, "vient rarement aux offices" ; il s'abstient de "conduire les enfants et [de] les reconduire après chacuns office à la maîtrise" ; faute de surveillance, les enfants "font mal presque tous les petits exercices et touttes les fonctions dont ils sont chargés".
• 15 juin 1770, Bourges : Le chapitre renouvelle ses reproches. Il estime "qu'il n'instruit point les enfants comme devroit, ce qu'on remarque par les fautes journalières qu'ils font en sautant les leçons, le martirologe ou les petits versets, qu'il s'absente souvent de la maîtrise de sorte que les enfants sont abandonnées à eux mêmes pendant une grande partie de la journée ; qu'il ne les mêne jamais à la promenade quoy qu'il en soit chargé par le règlement, de sorte qu'ils respirent jamais que le même aire de la maîtrise et qui est peut-être ce qui est cause qu'il y en a souvent de malade".
De plus, il condamne une absence, le 12 juin 1770, "pour faire une partie de campagne à quatre lieux de la ville sans en avoir obtenu la permission du chapitre et sans avoir chargé personne de veiller sur les enfants qui tout ce jour-là ont été livrés à eux mêmes", en compagnie des sieurs SAINT-CLIVIER l'aînéFAUQUEUXBARATON, vicaires de résidence, et de MALIDOR, gagiste. 
• 20 juillet 1770, Bourges : DELAPLACE est convoqué par le chapitre pour avoir refusé de répondre à la sollicitation "pour rester devant le St Sacrement pendant une demi heure pendant les prières des quarante heures ainsi que tous les chanoines capitulaires, chanoines de résidence, semi-prébendés, vicaires et habitués" de la cathédrale. Le 23 juillet, le maître de musique, qui estime que le chapitre est "peu avare de ses pas, le fait monter au chapitre pour bien peu de choses", se voit reprocher "qu'il ne prête aucune attention à la façon dont les enfants chantent les textes". Il répond qu'il estime que ce n'est pas son rôle d'apprendre aux enfants à bien lire et à bien dire, et que s'il ne vient pas toujours à matines, c'est qu'il reste chez lui à travailler. 

• 10 avril 1771, Bourges : DELAPLACE "ci-devant maître de musique s'étoit retiré pour ne plus revenir et a ajouté que M. TISSIER, chanoine de résidence de cette église, se chargeroit volontiers du soin de la maîtrise aux conditions qui seroient convenues entre le chapitre et lui, sur quoi la matière mise en délibération il a été résolu que led. Sr TISSIER seroit accepté pour Me de musique et led. Sr TISSIER étant entré aussitôt au chapitre lecture à lui faite des conditions". C'est TISSIER qui assure de nouveau l'intérim.

• 29 novembre 1771, Beauvais : "Permis à deux musiciens de faire chanter" lit-on dans la marge du registre capitulaire de la cathédrale Saint-Pierre. Les chanoines lisent la lettre de recommandation de GIROULT [GIROUST], maître de musique aux Saints-Innocents à Paris en faveur du sieur DELAPLACE, son ancien élève à la psallette d'Orléans, qu'il propose pour remplir la place de maître de musique de la cathédrale Saint-Pierre. Il lui sera permis le lendemain de faire chanter en musique la messe alors qu'un autre maître de musique, dont le nom n'est pas précisé, pourra faire chanter un motet aux vêpres le même jour. C'est le chanoine HERMANT qui est désigné pour "faire composer" les deux musiciens. Il semble s'agir d'un concours.
• 3 décembre 1771, Beauvais : Les délibérations du chapitre indiquent "maître de musique reçu". Il s'agit de DELAPLACE, qui touchera 1 000 livres de gages par an dont 850 livres seront perçues auprès du receveur et 150 livres en distributions manuelles, avec le pain capitulaire et un logement. 
• 9 décembre 1771, Beauvais : Le chapitre lui avance 250 livres et lui retiendra 15 livres par mois jusqu'à complet remboursement de cette somme. 
• 18 décembre 1771, Beauvais : Le chapitre de la cathédrale d'Orléans envoie un certificat de bonne vie et mœurs à DELAPLACE mais on ne relève rien en provenance de Bourges... 

• 7 juin 1773, Beauvais : On lit dans la marge du registre capitulaire de la cathédrale : "360 # pour les musiciens de Paris qui viennent pour la St Pierre" et qui semblent avoir été choisis par le sieur "Gyroux" [sic], maître de musique à l'église des Saint-Innocents de Paris pour l'accompagner à Beauvais [ ...pro honorariis musicorum quos comitari proponit nominatus gyroux symphoniarcha ecclesias sctorum innocentium pro solemnitate sti Petri"]. Il s'agit de François GIROUST qui doit venir diriger une œuvre de sa composition, accompagné de quelques chanteurs de son église. Doit-on en conclure que les compositions de DELAPLACE ont été influencées par le style de ce maître ?

• 18 juillet 1778, Beauvais : Michel Étienne DELAPLACE figure dans l'évocation des bénéficiers et gagistes de la cathédrale Saint-Pierre. On le mentionne comme "symphoniste", c'est-à-dire maître de musique.

• 1783-1784, Beauvais : Comme maître de musique des enfants de chœur, il touche 850 livres d'appointements pour l'année comptable.
• 29 octobre 1783, Beauvais : Il touche 72 livres par gratification "à cause de la réception des musiciens le jour de St Pierre".

• 15 mai 1784, Beauvais : Il fait raccommoder une basse par Louis Sioux, ce qui lui coûte 3 livres.
• 30 juin 1784, Beauvais : Le chapitre lui fait verser 594 livres : 96 livres pour gratification et 498 livres "pour être distribuées aux musiciens externes du jour de St Pierre".
• 12 novembre 1784, Beauvais : Le receveur du chapitre lui verse 29 livres 19 sols pour "ports de lettres, passades de musiciens, réparations d'instruments et autres objets" du 8 juin 1783 au 17 octobre 1784.

• 12 avril 1786, Versailles : "Le sieur Jumentier, Maître de Musique de l'Eglise de Saint-Quentin & le sieur DE LA PLACE, Maitre de Musique de l'Eglise cathédrale de Beauvais, ont eu l'honneur de faire exécuter devant le Roi, plusieurs Motets de leur composition" lit-on dans la Gazette de France.

• 3 décembre 1789, Beauvais : Le sieur Bracard, maître menuisier, reçoit du receveur général du chapitre de l'église cathédrale la somme de 218 livres pour ses journées et ouvrages sur la maison de l'école de chant. Les réparations concernaient notamment "la chambre au dessus de l'étude, [...] le plancher de l'étude [et] la chambre de M. de la Place, le maître de musique".

• 10 mai 1790, Beauvais : DELAPLACE, maître de musique, signe la pétition des musiciens de la cathédrale adressée au Comité ecclésiastique.
• 1790, Beauvais : Malgré la suppression du chapitre, les enfants de chœur de la cathédrale Saint-Pierre sont conservés, sous l'autorité de leur maître de musique Michel Étienne DELAPLACE. Leur entretien est désormais à la charge de la fabrique.

• 21 avril 1791, Beauvais : Le District propose un secours provisoire pour les gagistes qui étaient au service du chapitre de la cathédrale, en attentant la fixation définitive de leur pension ou gratification. DELAPLACE, maître de musique, 43 ans, employé depuis 21 ans, touchait 1 100 livres par an jusqu'à la suppression du chapitre. La somme proposée est pour lui de 120 livres.
• 2 mai 1791, Beauvais : La proposition est agréée par le Département.
• [vers 1791-1794], Beauvais : DELAPLACE reste au service de la cathédrale. "Le maître de musique a tant pour ses appointemens que pour les nourritures du m[aî]tre de latin et des enfans de chœur 300# par mois", soit 3 600 livres par an.

• 13 frimaire-6 ventôse an II (3 décembre 1793-24 février 1794), Beauvais : Après la suppression des paroisses, DELAPLACE entretient les enfants à ses frais.
• 28 nivôse an II (17 janvier 1794), Beauvais : Selon un mémoire du citoyen Sommereux, marchand, DELAPLACE doit 300 livres pour fourniture d’étoffes aux enfants de chœur. Un autre non daté des citoyens Bigot et Oudaille, tailleurs d’habits, s’élève à 44 livres pour façon de "huit sans culottes complets et huit bonnets de police rouge à l’usage des dits enfans". Cette dépense "a été nécessitée pour faire disparaître le costume dont ces enfans étoient encore couverts" (arrêté du 7 ventôse an II). Les enfants de chœur sont donc habillés en petits sans-culottes !
• 3 pluviôse an II (22 janvier 1794), Beauvais : Le District estime qu’un mandat doit être délivré à "LAPLACE" d’une somme de 600 livres pour deux mois de nourriture aux enfants de l'école du chant, échus au 1er janvier 1794 et de 25 livres 3 sols pour avance par lui faites. Il estime en outre qu'avant d'autoriser le renvoi à leurs parents des enfants, il faut "qu'il soit avisé au sort à leur faire s'il y a lieu". Le même jour, un autre arrêté porte qu’un mandat de 500 livres lui sera délivré pour un mois 20 jours de nourriture aux enfants et l’autorise à écrire à leurs parents pour que ceux-ci viennent les chercher (en emportant les habits et linge à leur usage). 
• [vers février 1794], Beauvais : DELAPLACE adresse plusieurs mémoires au Département dans lesquels il demande : 1° une somme de 1 100 livres pour 3 mois 20 jours de nourriture et d’entretien des huit enfants de chœur de la ci-devant cathédrale ; 2° une autre de 23 livres 3 sols pour papier, encre et plumes fournis aux enfants (avec quittance du marchand) ; 3° l’autorisation d’écrire aux parents des enfants pour qu’ils viennent les chercher "sous le plus court délai" et de leur laisser les vêtements, linge et hardes à leur usage ; 4° la permission d’enlever les arbres qu’il a plantés il y a deux ans dans le jardin de l’école du chant. D’après un certificat joint, il touchait 3 600 livres pour ses appointements et l’entretien des enfants de chœur ; la somme est passée à la charge de la fabrique après la suppression des fonds affectés à la nourriture des enfants. 
• 7 ventôse an II (25 février 1794), Beauvais : Le Département de l'Oise arrête que les sommes de 300 livres et 25 livres 3 sols acquittées par DELAPLACE pour l’entretien des enfants dits de chœur de la ci-devant paroisse Saint-Pierre sont à la charge de la Nation, et qu'il lui en sera délivré reconnaissance. Concernant celle de 830 livres pour nourriture des enfants du 13 frimaire au 6 ventôse (83 jours), il sera écrit au ministre de l’Intérieur pour avoir l’autorisation de la lui payer sur les fonds destinés aux frais du culte de 1793. Il sera délivré au secrétaire du District une reconnaissance de liquidation de 344 livres, à retenir sur les fonds qui seront accordés aux enfants pour gratification, conformément au décret des 23-24 juin 1792 (les enfants devront se pourvoir pour l’obtenir, s’il y a lieu). DELAPLACE est autorisé à enlever les arbres qu’il a fait planter. 
• 9 ventôse an II (27 février 1794), Beauvais : Les administrateurs du Département de l’Oise écrivent au ministre de l’Intérieur pour lui faire la demande exposée ci-dessus. DELAPLACE est qualifié de maître de musique de la ci-devant paroisse Saint-Pierre. On rappelle que son traitement était de 3 600 livres, à la charge de la fabrique. 
• 25 frimaire an III (15 décembre 1794), Beauvais : Leur démarche auprès du ministre étant restée sans réponse, les administrateurs écrivent aux membres de la Commission des secours publics. 
• 15 germinal an III (5 avril 1795), Beauvais : Ils leur écrivent à nouveau, s'agaçant de l'absence de réponse à leur lettre et insistant sur la légitimité de la demande de DELAPLACE. 
• 22 germinal an III (12 avril 1795), Paris : La Commission envoie sa réponse (d'après une mention en marge de la lettre du 15 germinal). On en ignore la teneur. 

• [vers août 1801], Beauvais : Il est mentionné dans une enquête préfectorale sur le clergé du District, qualifié de chanoine-clerc de Notre-Dame [de Paris ?], "maître de musique de la cathédrale, très estimé pour ses talens et sa bonne conduite".

• 1807, Beauvais : DELAPLACE est chargé d'auditionner de jeunes talents susceptibles d'intégrer le Conservatoire. Il sélectionne Nicolas Prosper LEVASSEUR, qui interprète devant lui l'air Ô Richard ! ô mon roi !, le fils du serpentiste MAGUERY, le dénommé Égo et une demoiselle Barré.

• 1830-1831, Beauvais : DELAPLACE est cité comme maître de musique de la cathédrale Saint-Pierre dans l'Almanach du clergé de France.

• 10 mai 1831, Beauvais : Michel Étienne DELAPLACE, professeur de musique, meurt à l'âge de 82 ans et 7 mois à son domicile, rue Saint-Nicolas. Sa seule héritière est Rosalie Fontaine, femme Bilosoche, demeurant à Beauvais. La valeur de son mobilier n'est que de 94,35 francs.

Mise à jour : 3 février 2023

Sources
M.-R. Renon, La Maîtrise de la cathédrale Saint-Étienne…, 1982 ; F- Almanach du clergé de France (Google books) ; F-Ad18/ 8 G 143 ; F-Ad45/ 3NUM 234/ 2027 ; F-Ad45/ 51 J 8 ; F-Ad60/ 1LP 102/19 ; F-Ad60/ 1Q2/54 ; F-Ad60/ 1Q2/575 ; F-Ad60/ 2LP 1124 ; F-Ad60/ 3Q2055 ; F-Ad60/ 5MI182 ; F-Ad60/ G 1312 ; F-Ad60/ G 1318 ; F-Ad60/ G 1325 ; F-Ad60/ G 2477 ; F-Ad60/ G 2478 ; F-Ad60/ G 2479 ; F-Ad60/ G 2480 ; F-Ad60/ G 2481 ; F-Ad60/ G 2780 ; F-An/ DXIX/054/138/20 - F-An/ DXIX/099/138/17 ; F-An/ F15/3343 ; F-An/ F19/866 ; F. Lesure, Dictionnaire musical... 1999 ; Journal des chanoines Malyvert et Bengy, 1941 ; M.-R. Renon, Cahiers d'archéologie et d'histoire du Berry, 2007 ; M.-R. Renon, La maîtrise de la cathédrale Saint-Étienne de Bourges..., 1982.  ; M.-R. Renon, La maîtrise de la cathédrale Saint-Étienne de Bourges…, 1982 ; M.-R. Renon, La musique à la Sainte-Chapelle de Bourges [...], sd. ; Magnien, Aperçu biographique sur les célébrités musicales du département de l’Oise ; N.Desgranges, Bernard Jumentier (1749-1829), maître de musique de la collégiale de Saint-Quentin, 1997

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