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DEVILLERS, François (1766 av.-1791 ap.)
Date(s) : 1766 av. / 1791-10-27 ap.
Le sieur DEVILLERS est organiste de l'église paroissiale Saint-Sauveur de Péronne [Somme] à la fin de l'Ancien Régime.
• [Vers 1766 ou 1767], Péronne [Somme] : Le sieur DEVILLERS devient l'organiste de la paroisse Saint-Sauveur.
• 1790, Péronne : Le sieur DEVILLERS est organiste de l'église paroissiale Saint-Sauveur.
Il est en même temps horloger. Il a perdu un œil, ce qui lui rend difficile de continuer à exercer ce métier. On sait aussi qu'il a "une nombreuse famille" en 1791, ce qui doit supposer qu'il est marié et chargé d'enfants.
• 1791 : Lors de la réorganisation des paroisses de la ville, cette paroisse Saint-Sauveur est intégrée à une paroisse plus vaste organisée autour de l'ex collégiale Saint-Fursy. De ce fait, le sieur DEVILLERS perd son poste d'organiste.
• 27 octobre 1791, Péronne : Le sr DEVILLERS, ancien organiste de la "ci-devant paroisse Saint-Sauveur de cette ville" émet une réclamation étayée sur "plusieurs pièces". Il estime qu'en qualité d'organiste "depuis 24 ans d’une des paroisses réunies à l’église de St. Fursy", il aurait dû mériter "la préférence sur le titulaire actuel" [peut-être le sieur VITCOQ qui touchait l'orgue de Saint-Fursy au moment de la suppression du chapitre]. Or il a été accordé à ce dernier un traitement de 800 livres, alors que sa propre pension à lui, Devillers, n’est "portée qu’à la somme de 300 livres". Il réclame donc que l'assemblée départementale réduise à 600 livres le traitement du titulaire actuel et ajoute "à la pension du sieur Devillers les deux cens livres de réduction". Il a conscience que sa proposition d'arrangement financier a peu de chance d'aboutir mais réclame du moins que sa pension soit fixée "invariablement" à 500 livres, à la charge de la fabrique et non de la nation.
Mise à jour : 14 mai 2024