Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
DOLIVES, Olivier (1767 av.-1767 ap.)
Date(s) : 1767 av. / 1767 ap.
Michel Pierre BRY et Olivier DOLIVES apparaissent dans le corpus Muséfrem alors qu'ils sont enfants de chœur. Ils exercent certes bien avant 1790, mais l'intervention de la cathédrale qui a repéré "la disposition pour la musique" du petit BRY en fait un exemple : les collégiales restent en quelque sorte "les vassales" de Saint-Maurice.
• 3 septembre 1767, Angers : Deux ans plus tard, Michel BRY petit enfant de chœur qui a de la "disposition pour la musique" est repéré par un chanoine de la cathédrale qui demande à procéder à un échange entre les deux chapitres. Il fait valoir qu'Olivier DOLIVES qu'il souhaite transférer à Saint-Martin est déjà formé. La tractation valorise à court terme le bas chœur de Saint-Martin tout en le privant d'une voix. Le chapitre est-il en mesure de refuser ce service à la cathédrale ?
Mise à jour : 27 décembre 2019