Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
FAURE, Jean (ca 1698-1774)
Date(s) : 1698 ca / 1774-4-20
Fils d'un joueur de serpent, Jean FAURE est un musicien d'Église qui vécut et exerça dans la vallée de l'Isle au XVIIIe siècle.
• [1698], Saint-Astier : Lorsque naît Jean FAURE, fils d'Antoine FAURE et de Gabrielle Larrieu, son père est joueur de serpent attaché au chapitre de la collégiale Notre-Dame de Saint-Astier.
• Le jeune garçon a-t-il été enfant de chœur à la collégiale de sa ville natale ?
• 20 juillet 1717, Périgueux [Dordogne] : Jean FAURE épouse Françoise Frontil en la cathédrale Saint-Front. Les deux jeunes mariés sont dit "tous deux de la paroisse de St-Front" et l'acte de mariage précise que "les parties ont obtenu dispense des deux autres bans". Mais aucune précision professionnelle n'est donnée.
• 1718 - 1727, Périgueux : Le couple a plusieurs enfants dont certains meurent en bas âge. Les actes de baptême ou de sépulture ne précisent pas à cette époque le métier exercé par Jean FAURE. Est-il musicien à la cathédrale Saint-Front ?
• Vers 1729, Saint-Émilion [Gironde] : Son nom commence à apparaître dans les registres paroissiaux de ce petit bourg situé à une centaine de kilomètres à l'ouest de Périgueux. Il occupe un poste de "chapier" à la collégiale Notre-Dame.
• 1729 - 1733, Saint-Émilion : Deux nouveaux enfants voient le jour. Au moment de leur baptême, Jean FAURE est présenté comme sous-maître du chapitre.
• 11 novembre 1735, Saint-Émilion : L'acte de sépulture de Françoise Frontil la dit "épouse de sieur iean FAURE chapier et musicien, tous les deux du diocèse de Périgueux".
• 20 septembre 1736, Saint-Émilion : Jean FAURE épouse en secondes noces Catherine Augrand, fille d'un notaire. Lors de son mariage, assistent en tant que témoins Michel Abel BOURGOUIN, maître de musique, Jacques JANEAU, organiste, ainsi que Jean-Baptiste BRISSON qui semble dès lors lui avoir succédé au poste de sous-maître de la psallette.
• 20 avril 1774, Saint-Émilion : Jean FAURE décède à l'âge de 76 ans. Son acte de sépulture souligne qu'il était toujours musicien du chapitre.
Mise à jour : 21 janvier 2017