Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
GRANDVALLET, Antoine (1744-1794 ap.)
Date(s) : 1744-9-12 / 1794-8-29 ap.
Antoine GRANDVALLET, en 1790, est à la fois serpent et sacristain de la paroisse Saint-Aignan de Senlis [Oise].
• 12 septembre 1744, Rubescourt, diocèse d'Amiens [Somme] : Antoine GRANDVALLET naît du mariage de Joseph Grandvallet, vigneron, et de Marie Anne Trouvain, de la paroisse Saint-Martin-de-Pas, où le baptême a lieu le jour même.
• 22 octobre 1777, Senlis [Oise] : Antoine GRANDVALLET, sacristain et serpent de l'église paroissiale Saint-Aignan, majeur, de la paroisse Saint-Martin-de-Pas, village de Rubescourt, diocèse d'Amiens, par la naissance, et de celle de Saint-Aignan de Senlis par la demeure, épouse Marie Catherine Le Goux, fille majeure de Jean Nicolas Le Goux, maréchal et laboureur, et de Marie Charlotte Naveux, de la paroisse Saint-Martin de Néry, en ce diocèse, par la naissance, et de celle de Saint-Nicolas de Saint-Leu-d'Esserent, diocèse de Beauvais, par sa résidence.
• 7 février 1790, Senlis : Il signe un acte de mariage, qualifié de sacristain. Tout porte à croire qu'il est encore serpent, fonction moins prenante qui ne l'occupe qu'épisodiquement.
• 1791, Senlis : La paroisse Saint-Aignan est supprimée. La municipalité, en charge des biens des anciennes fabriques, lui attribue une pension de 100 livres, payable à compter du premier octobre 1791.
• [1794], Senlis : Un mémoire présenté aux administrateurs du District par les citoyens Jean Claude LEROUX, Antoine GRANDVALLET, Henry Louis CANOIS, Jacques Bécard, David Leborgne, Adrien ÉVRARD et Nicolas Froy dit Trippet, "tous sept attachés au service des cidevant paroisses de Senlis", rappelle que les officiers municipaux de la ville, chargés de l'administration des biens des fabriques, leur ont attribué [en 1791] une pension viagère pour les récompenser de leurs longs services et compte tenu de leur grand âge, impayée depuis le premier novembre 1793. Ils demandent à être payés, se prétendant dans l'indigence.
• 3 thermidor an II (21 juillet 1794), Senlis : Le District les soutient dans leurs prétentions. Les administrateurs estiment qu'il y a lieu de les payer jusqu'au premier germinal prochain des arrérages de leurs pensions viagères qui étaient en charge des fabriques, "comme aussi que les arrérages desd. pensions viagères courues depuis le 1er thermidor et qui échoiront à l'avenir jusqu'au décès des réclamants doivent pareillement leur être payés, en conséquence qu'il y a lieu de liquider lesd. créances".
• 12 fructidor an II (29 août 1794), Beauvais : Le directoire du Département de l'Oise est d'un tout autre avis. Il arrête qu'il n'y a pas à délibérer, "attendu qu'il n'existe aucune loi qui accorde des pensions aux officiers des ci-devant églises paroissialles supprimées".
Mise à jour : 1er novembre 2018