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Pour citer Muséfrem
GRASSIN, Pierre (1719-1784)
Autre(s) forme(s) du nom : GRASSEIN
Date(s) : 1719-12-4 / 1784-2-23
Pierre GRASSIN, originaire du Mans [Sarthe] où il devient enfant de chœur, est organiste à Quimperlé [Finistère] puis à Hennebont [Morbihan]. Toute sa carrière professionnelle est vouée au service de l'Église. Il est par ailleurs à l'origine d'une famille de musiciens : une de ses filles ainsi que son gendre seront organistes, un de ses petits-enfants sera également musicien.
• 4 décembre 1719, Le Mans [Sarthe] : Pierre GRASSIN naît et, le même jour, est baptisé en l'église Notre-Dame-de-la-Couture. Il est fils de Pierre Grassin, jardinier, et de Marie Roze.
• Juin 1730, Le Mans : Pierre GRASSIN "enfant de la psallette" est reçu à la confrérie Saint-Michel-du-Cloitre qui regroupe, notamment, le bas chœur de la cathédrale Saint-Julien du Mans. On peut penser que le jeune GRASSIN y a été admis quelque temps après sa réception comme enfant de chœur à la cathédrale, théoriquement une fois tonsuré.
• Décembre 1737, Le Mans : Pierre GRASSIN est de nouveau reçu, lors du chapitre général de la Noël, à la confrérie Saint-Michel du Cloitre. L'acte de réception indique qu'il est clerc tonsuré du diocèse, et qu'il sort de la psallette cathédrale.
•••
• 6 mars 1749, Quimperlé [Finistère] : Pierre GRASSIN, âgé de 28 ans, épouse, en l'église paroissiale Saint-Colomban, Renée-Catherine Moricet. L'acte stipule qu'il est musicien et organiste sans préciser le lieu où il exerce. De cette union naissent cinq enfants, dont Marie Thérèse qui deviendra organiste.
• 1766, Quimperlé : Pierre GRASSIN est organiste de l'abbaye mauriste Sainte-Croix. Il occupe peut-être ce poste jusqu'en 1767 mais les comptes de cette année ne mentionnent pas de gages pour l'organiste. Christophe Marie LAPORTE, dans une supplique au Comité ecclésiastique datée du 30 juillet 1790, dit occuper les fonctions d'organiste de cette abbaye depuis 22 ans, soit depuis l'année 1768.
• 1767, Hennebont [Morbihan] : Pierre GRASSIN devient organiste de l'église paroissiale Notre-Dame de Paradis.
• 1775, Hennebont : Les gages de Pierre GRASSIN en tant qu'organiste de l'église paroissiale Notre-Dame de Paradis s'élève, pour l'année, à 50 livres.
• 23 février 1784, Hennebont : Pierre GRASSIN meurt alors qu'il est toujours organiste de l'église Notre-Dame de Paradis.
Mise à jour : 7 août 2018