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Pour citer Muséfrem
GRUZELIER, Augustin (1770-1793 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : GROZELIER
GRUZELLIER
GROSELIER
Date(s) : 1770-11-3 / 1793 ap.
Après voir été enfant de chœur à la cathédrale de Mâcon peu avant la Révolution, Augustin GRUZELIER change radicalement de voie professionnelle et de région de résidence.
• 4 novembre 1770, Mâcon [Saône-et-Loire] : Né la veille, Augustin GRUZELIER est baptisé à Saint-Pierre. Il est fils d'Antoine Groselier, maitre tonnelier, et de Françoise Pataque. Son parrain, maitre perruquier, signe l'acte de baptême, ainsi que la marraine.
• [1777 ou 1778], Mâcon : C'est sans doute vers ces années que le petit Augustin GRUZELIER est reçu enfant de chœur à la cathédrale Saint-Vincent. Le dernier registre capitulaire conservé aux Archives départementales de Saône-et-Loire s'arrêtant en 1773, il n'a pas été possible de vérifier ce point.
• 11 décembre 1786, Mâcon : À l'occasion d'une sépulture dont il est témoin en compagnie de Pierre DUBIEF, musicien de la cathédrale, on découvre qu’Augustin GRUZELIER y est enfant de chœur. Il signe "gruzelier".
• [1787 ou 1788], Mâcon : S'il est resté dix ans à la maîtrise, comme il est habituel, c'est logiquement vers 1787 ou 1788 qu'il en est sorti. Il n'appartient donc pas au corpus des actifs 1790, d'autant qu'il n'est manifestement pas devenu musicien – sauf, peut-être, en amateur.
• 16 octobre 1793, Gournay-en-Bray [Seine-Maritime] : Le jeune homme est parti bien loin de sa ville de naissance puisque, lorsqu'il se marie, Augustin GRUZELIER demeure "en cette ville" de Gournay, où il est installé comme chapelier. Il est dit "fils de défunt Antoine Gruzelier et de Françoise Pataque, demeurante à Macon-sur-Saulne". Il épouse Louise-Henriette Feré, une couturière fille de tonnelier, de quatre ans son aînée.
Là s'arrête la piste le concernant. Si vous avez des compléments à apporter à cette courte biographie, ils seront les bienvenus, merci.
Mise à jour : 1er janvier 2021