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JORY, François Vincent (1780-1856)
Date(s) : 1780-9-17 / 1856-8-13
François Vincent JORY, qui exercera sa vie durant, à l'exception de la période où il a été soldat dans les armées révolutionnaires et impériales, le métier paternel de cordonnier, a été enfant de chœur à la collégiale Saint-Spire de Corbeil dans sa jeunesse. En 1790, au moment de la suppression du chapitre, il est en poste, alors âgé de dix ans.
• 17 septembre 1780, Corbeil [Essonne]: François Vincent JORY, voit le jour et il est baptisé le jour même paroisse Notre-Dame. Il est le fils de Jean Vincent, cordonnier et de Marie Anne Raymond; son père signe.
• 1790, Corbeil : Sous la direction de Louis Claude SAVART, maître des enfants de chœur, il est l'un des quatre enfants de chœur de de la collégiale Saint-Spire. Ses trois autres condisciples sont Louis Augustin CARTIER, Jean Claude ORIGNON et Louis POIRIER.
• 18 janvier 1792, Paris : Le directoire du département de Seine-et-Oise émet un avis réservé sur la requête des enfants de chœur qui demandent une gratification.
• 13 novembre 1792, Corbeil : Le directoire du district est d'avis d'accorder une gratification aux enfants de chœur, en partageant en quatre une année des revenus de la prébende attachée à leur entretien, montant à 1 113 livres 6 deniers.
• Lieu et date inconnus : Il se marie avec Marie Joséphine Boy/Roy.
• 13 août 1856, Corbeil : François Vincent JORY, cordonnier, meurt à son domicile de la rue Saint-Spire. C'est son fils, Louis François Joseph, journalier, âgé de 32 ans,qui déclare le décès.
On trouve la mention de son nom dans la base de données sur les médaillés de Sainte-Hélène mais sans précision sur son ancienne unité et sur ses grades et fonctions. La médaille de Sainte Hélène a été créée par Napoléon III afin de récompenser les 405000 soldats encore vivants en 1857, qui ont combattu aux côtés de Napoléon 1er pendant les guerres de 1792-1815. C'est curieux car JORY est mort depuis peu à cette date.
Mise à jour : 16 juin 2018