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LAURET, François Michel (1756-1822)
État civil
NOM : LAURET     Prénom(s) : François Michel     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : LORET
Date(s) : 1756-9-23   / 1822-10-16 
Notes biographiques

Né et mort à Orléans, François Michel LAURET (parfois LORET) a pourtant mené sa carrière en diverses villes successivement, dont sont actuellement connues Nevers et Poitiers. Mais c'est à Metz que la Révolution commençante le trouve. Il occupe le poste de maître de musique de la cathédrale Saint-Étienne depuis cinq années environ. À une date indéterminée, antérieure au printemps 1800, il revient dans sa ville natale où il reprend du service après le Concordat aux côtés de son oncle Charles HÉRISSÉ.

• 23 septembre 1756, Orléans : François Michel LAURET fils de Michel Lauret, tisserand, et de Marie-Jacquette Hérissé, est baptisé le lendemain dans l'église Saint-Euverte, par l'un des chanoines réguliers de l'abbaye. Son parrain est un tisserand qui ne sait pas signer. L'enfant est le neveu du musicien Charles HÉRISSÉ, lequel, encore tout jeune, termine alors sa formation à la collégiale Saint-Aignan.

On ignore actuellement où, dans quel cadre et avec qui le jeune garçon a été initié à la musique. Son jeune oncle a quitté Orléans vers 1758, l'enfant n'a donc pas pu bénéficier directement de son influence. On peut penser qu'il a suivi un cursus d'enfant de chœur dans l'une des maîtrises orléanaises, ou ailleurs, ce point reste à documenter (mais la majeure partie des archives de la cathédrale Sainte-Croix et de la collégiale Saint-Aignan ont disparu dans l'incendie consécutif au bombardement de juin 1940).

• Pâques 1776, Orléans : Après avoir exercé durant dix-huit ans à Meaux, son oncle Charles HÉRISSÉ revient dans sa ville natale où il est est reçu maître de musique de la cathédrale Sainte-Croix. François Michel LAURET, dont on ignore encore ce qu'il avait fait précédemment, prend auprès de lui un rôle en quelque sorte de sous-maître (voir ci-après au 11 décembre 1779).

• 3 février 1779, Chavot-Courcourt [Marne] : Sa sœur Marie-Anne, femme de chambre chez madame de Failly, se marie avec Jean-Nicolas Pelletier, demeurant chez monsieur de Failly, seigneur de Conardin. Les parents Lauret résident alors à Montfort-L'Amaury, où le père exerce toujours la profession de tisserand.
• 15 mars 1779, Orléans : Michel François LAURET assiste à la sépulture de Mathurin LANGE, "choriste de St-Aignan", qui demeurait paroisse Notre-Dame-de-la-Conception. Il signe "Michel françois Loret". On reconnaît à ses côtés Jacques-Marin DAUVILLIERS – dont le célébrant ne dit rien. Le maître de musique de Saint-Aignan, en ce début d'année 1779, est encore officiellement Antoine FAGUER, mais il est déjà très malade et va bientôt être contraint à la retraite.
• 11 décembre 1779, Orléans : François-Michel "LORET", clerc du diocèse d’Orléans, reçoit du chapitre un certificat de vie et mœurs attestant qu'il a consciencieusement fait "répéter la musique enseignée par le Maître" pendant trois ans et six mois environ (c'est-à-dire depuis la nomination de son oncle à la cathédrale d'Orléans), qu'il sait composer "selon les règles" et que la musique qu’il a composée "a mérité, au jugement des maîtres, d’être chantée dans les fêtes  solennelles, et qu’elle le fut souvent avec des  applaudissements”.
Il quitte la ville, sans doute directement pour Nevers.

• 5 mai 1780, Nevers : Dans l'église paroissiale de Saint-Didier, sieur François Michel LAURET, "maître de musique de l'église cathédrale de cette ville", devient le parrain d'Henriette-Thérèse, fille de Gilbert-André ROUEN, musicien de la cathédrale, et de son épouse Françoise Lemaître. L'enfant tient son prénom de sa marraine, demoiselle Henriette-Thérèse Moisy, qui signe avec le père et le parrain.
L'absence de registres capitulaires pour la cathédrale Saint-Cyr et Sainte-Julitte après 1765 rend actuellement difficile d'en savoir plus sur cette étape de sa carrière. Il pourrait avoir succédé à André ROUEN, et un peu plus tard, en septembre 1783, c'est maître Jean-Pierre VIEILLARD prêtre chanoine semi-prébendé de la cathédrale de Nevers qui est attesté comme maître de musique.

• 10 décembre 1782, Tours : Le procureur général du chapitre Saint-Martin de Tours et l'ancien maître de musique BUÉE sont chargés de se renseigner sur ses mœurs et sa science musicale alors qu'il postule au poste de maître de musique de la collégiale.

• 3 juin 1783, Poitiers : François Michel LAURET, du diocèse d'Orléans, est reçu maître de musique à la collégiale Saint-Hilaire-le-Grand. Le chapitre prend lecture de son extrait de baptême et de son certificat de vie, mœurs et capacité, sans qu'il soit précisé de quelle église il émane. Il remplace Thomas-Claude BERTON qui l'héberge et le nourrit pendant un mois. Dix jours plus tard, un bail est passé avec le nouveau maître pour neuf années à compter du 1er juillet. Il est "autorisé à porter les draps", c'est-à-dire à revêtir les habits liturgiques.
À peu près au même moment, on observe beaucoup de mouvements au sein du corps de musique de Saint-Hilaire : réception de Nicolas TISSONNIÈRE musicien basse contre le 8 avril, de Jean HOUDRY musicien basse taille le 28 juin, de Louis MORELLE et Jean BÉOGON tous deux musiciens chantant la basse contre le 15 juillet et le même jour renvoi de GUÉRIN, 1er enfant de chœur... Par ailleurs, profitant de l'arrivée d'un nouveau maître, le chapitre édicte un nouveau règlement pour les enfants de chœur, afin de mettre fin à leur dissipation car “il réignoit parmi eux une indécense insoutenable”.
• 1er juillet 1783, Poitiers : LAURET obtient du chapitre l'autorisation de faire venir sa sœur "attendu qu'elle lui seroit fort utile dans bien des choses".
• 5 août 1783, Poitiers : Reçu anniversarien à la collégiale Saint-Hilaire-le-Grand, le sieur "LORET", maître de musique, est alors dit "clerc tonsuré du diocèse de Paris", ce qui est contradictoire avec le certificat orléanais de 1779 et avec l'indication donnée à son arrivée à Poitiers (qui, il est vrai, ne le donnait pas comme clerc).

• 26 février 1785, Poitiers : LAURET annonce son départ aux chanoines de Saint-Hilaire, et leur demande un certificat, qu'on ne lui accordera que "lorsqu'il aurait rendu compte des effets de la psallette". Pris au dépourvu, le chapitre poitevin décide "d’écrire dans différents chapitres" de façon à se "procurer incessamment un maître de musique”Jean-Baptiste HOUDRY assure l'intérim avant l'arrivée de Louis-Joseph FONTAINE.
• 5 mars 1785, Metz : "M. l'Aumonier a dit que le Maitre de musique de st hilaire de Poitiers, a qui il avoit ecrit suivant la conclusion capitulaire du 26 janvier dernier, luy avoit marqué qu'il acceptoit cette place vacante en la presente Eglise aux obligations et revenus y attachés dont il luy avoit envoyé l'etat et qu'il comptoit s rendre icy aux environs de Paques prochain, de quoy mondit sr a été remercié" lit-on dans le registre capitulaire des chanoines de la cathédrale Saint-Étienne. Il succède à Jean Nicolas LOISEAU DE  PERSUIS, décédé le 14 septembre précédent. Trois autres musiciens avaient sollicité la place : MARTIN [lequel?], NARBONNE et CONTAT, maître de la cathédrale d'Autun.
• 13 avril 1785, Metz :  Arrivé la veille, LAURET se propose "de faire Exécuter de sa composition le Te Deum qui doit Etre chanté Dimanche Prochain à L'Issuë de vespres, ce que Messieurs ont approuvé, Et ont Déclaré Recevoir Led Sr. Lorrette En lad. qualité de maitre de musique. sur le même Pied, Et aux mêmes appointemens, Emolumens Et obligations que Led Sr. Défunt, a charge qu'il s'obligera de representer les meubles, effets et pieces de musique qui dependent de la maitrise, et qui luy seront remis en mains, suivant le revissement [sic] d'inventaire qui en sera fait a la diligence de Mrs les Gouverneurs de lad. maitrise comme aussi Il laissera a sa sortie, toutes Les nouvelles Piéces de musique qu'Il composera Pour L'Eglise pendant qu'Il occupera Cette Place, et ce en conformité de l'usage du chapitre, et suivant les conditions acceptées par led. Lauret". Le 29 juin suivant, le nouveau maître se rend auprès du doyen afin de lui demander un versement supplémentaire de 90 livres pour ses frais de voyages qui avaient été fixés auparavant à 150 livres. La compagnie acquiesce.

• 21 janvier 1786, Metz : L'abbé LAURET réclame 22 livres qu"il a dépensées pour la solennisation de la dernière fête patronale de la saint Étienne., "au delà des cent vingt livres que le chapitre accorde pour les frais de symphonie et de la musique Etrangere de cette fête". Le chapitre les lui accorde mais en lui demandant de ne plus outrepasser le budget défini.
• 26 juillet 1786, " M Le Grand chantre a dit que Le maitre de musique demandoit que le chapitre voulut bien ajouter un Louis a la somme de cent vingt livres, à laquelle sont fixés Les frais de la Simphonie Et musique Etrangeres de chacune des deux fêtes Du Patron de cette Eglise, afin de le mettre En Etat de se Procurer La musique des Carabiniers a la St. Etienne du mois d'aoust Prochain, ce que Messieurs ont Bien voulû accorder pour une derniere fois Et sans tirer à conséquence".
• Novembre 1786, Metz : Par l'entremise du chantre en dignité, le chapitre fait des remontrances à son maître de musique sur la "malpropreté" des locaux de la maîtrise et la "tenüe des enfans de chœur"; quant aux chanoines gouverneurs de la psallette, ils sont fermement priés de "veiller au bon ordre et a la discipline de cette maison".

• 8 mai 1787, Metz : Il signe comme témoin au mariage célébré paroisse Saint-Victor de Jean Antoine Eloy SEYFERT, musicien [sans doute déjà au Théâtre de la ville] avec la fille de Jean Charles Antoine FERROUILLAT, maître de musique en ville.
• Novembre 1787, Metz : LAURET est toujours en poste à la cathédrale de Metz. Le chapitre Saint-Hilaire de Poitiers lui écrit après le renvoi brutal de Louis-Joseph FONTAINE, pour lui proposer de revenir avec 300 livres d'augmentation.

• 20 Mai 1788, Metz : Le chapitre décide "qu’il sera defendû Pour toujours au maitre de musique, de donner a la maitrise des Enfans de chœur, aucuns Concerts, si ce n'Est pour Répetitions de Motets, ou autres Pieces de musique Relatives au Service Divin".

• 20 Juin 1789, Metz : " Sur ce qui a Eté observé par M. le Grand Chantre au Sujet de L'Inexactitude du maitre de Musique aux offices, ou Il Seroit néanmoins convenable qu'Il assistat Pour Veiller Sur La conduite des Enfans de chœur, à quoy il prioit la compagnie de pourvoir par l'etablissement d'une pointe ou autre moyen qu'elle jugeroit convenable [...]". Quatre jours plus tard, les intendants de la maîtrise sont priés "de representer au maitre de musique le traité de son engagement avec le chapitre pour l'obliger à remplir exactement ses obligations, et de luy intimer de la part du chapitre d'être plus sousmis envers mond. le Grand Chantre".

1790, Metz : François Michel LAURET est toujours maître de musique de la cathédrale, chargé des huit enfants de chœur qui sont dans l'ordre de réception [sauf pour les trois derniers entrés en 1790 mais à une date non précisée] Martin THOMAS, Jean Nicolas LAGRANGE, Nicolas MANGENOT, COMBRUSSEL, PILLOT, DORVAUX, Jean LONCHAMPS, Pierre MATHIEU. Sous sa direction exercent les musiciens et chanteurs suivants : Jean François ADAM basse taille, François BASTIEN basse taille, Bernard Valérien BOURGOUIN basse taille, Thomas BOUSQUET haute contre, Nicolas GUÉDON basse taille, Jean François HINGLAISE, basse contre, Pierre MANGINOT basse contre, Joseph Ambroise Clément MASSON basse taille, Antoine François MILLET haute taille récitante, Nicolas Louis SIMON basse taille récitante, Jean SIMON basse contre, et les instrumentistes Jean-Baptiste ANCEL serpent, Simon Pierre GILBERT basse continue et violoncelle, François GUIBERT serpent, Jean-Baptiste François SORNET basson. A la tribune d'orgues joue Henry Dominique HERMENT, épaulé par son fils Chrétien.

• Durant l'année 1791, François-Michel LAURET multiplie les démarches  auprès du Directoire de district. En février 1791, il demande un financement pour l’habillement (culottes) des enfants de chœur. En avril et mai, il reçoit ses honoraires des mois de mars et avril (dernier payement). Il a donc dans un premier temps continué à exercer au service de la cathédrale constitutionnelle.
• 15 juillet 1791, Metz : Dans un récapitulatif administratif des musiciens de la cathédrale établi par le directoire départemental, ce dernier "est d'avis qu'il doit être accordé à Lorette, me de musique, âgé de 34 ans, au service de l'église depuis 12 ans et à celui de cette cath depuis 7 ans, qui jouissait d'un traitement de 1800 #, de 60 qrtes de froment, 55 hottes de vin et d'un logt à charge de nourrir 8 enfants de chœur, ce qui pourrait réduire son trait. à 1500#, une retraite annuelle et viagère de 600# par quartier et d'avance du 1er juillet 1791". Le durée de service est exagérée : en 1784 il était encore à Poitiers.
• 21 décembre 1791, Metz : LAURET rédige un courrier pour obtenir la gratification accordée par la loi du 26 août 1791. Il obtint 200 livres. Il est alors dit "ci devant maitre de musique du ci devant chap. de la cathédrale de cette ville" ce qui semble indiquer qu'il a alors cessé son service. C'est sa dernière apparition sur les notes de Lesprand.

• À une date indéterminée, antérieure au printemps 1800, il revient dans sa ville natale. Il se pourrait qu'il ait quitté Metz dès la toute fin de l'année 1791, ou au printemps 1792.

• 30 germinal an VIII (20 avril 1800), Orléans : En compagnie d'Antoine HOUDEBINE, marchand, et de Charles Chartrain, commis de négociant, Michel-François LAURET est témoin au mariage de Jean-Baptiste NIEL, lui aussi "commis de négociant", avec la citoyenne Marguerite Renard, lingère de 34 ans. Michel-François LAURET – présenté comme "ami de la future" alors qu'il est plus vraisemblablement lié au futur –, est qualifié d'"artiste musicien". Il demeure au n°5 de la rue des Quatre Degrés à Orléans.

• Après le Concordat, son oncle, Charles HÉRISSÉ, devient chanoine honoraire à la cathédrale d'Orléans.

• 1805 : Les comptes de la fabrique de Sainte-Croix ne mentionnent pas LAURET, et on ne peut savoir quel est alors son degré d'implication au chœur. Ces mêmes comptes montrent le serpent BARILLÉ à 200 fr., le chantre à la voix puissante MACÉ, ainsi qu'un autre chantre déjà en poste avant la Révolution, SILVESTRE, touchant chacun 400 fr., l'organiste Louis-François MENONVILLE à 200 fr., ainsi que six enfants de chœur.

• 1er juin 1810, Orléans : La fabrique de la cathédrale offre 200 livres [sic] par an à François-Michel LAURET pour "qu'il enseigne le plain-chant et ce qui leur est nécessaire de musique aux huit enfants de chœur". À partir de juin 1810, il apparaît régulièrement dans les comptes de la fabrique de Sainte-Croix comme maître de musique des enfants de chœur.

• 1814 : Dans les comptes de la fabrique de Sainte-Croix pour 1814, M. LAURET, maître de musique, reçoit 300 fr. et les enfants de chœur sont au nombre de dix, six faisant le service durant la semaine, et quatre ne venant que le dimanche. Ces enfants, rémunérés  132 fr. par an, avaient comme autrefois la tête rasée, portaient la soutane, la calotte et le bonnet carré de couleur violette. À Sainte-Croix comme ailleurs, on cherche avec opiniâtreté à renouer avec les fastes d'antan. À la même date, le corps de musique comprend deux chantres, MACÉ dont le traitement s'élève à 600 fr., et MAUGER, qui a remplacé SILVESTRE et touche 450 fr., ainsi que deux serpents, BARILLÉ et MELLIER, qui touchent chacun 250 fr. M. MENONVILLE, organiste, reçoit 200 francs.

• 1er décembre 1817, Orléans : Son oncle, Charles HÉRISSÉ, chanoine honoraire et ancien maître de musique de l’église de Sainte-Croix d’Orléans, s'éteint à son domicile, n°8 rue Saint-Cosme, à l'âge de 80 ans. Le décès est déclaré le lendemain par Jean-Baptiste NIEL, "commis négociant", 44 ans, ainsi que Guillaume Buffé, ancien marchand de bas, âgé de 75 ans.

• 16 octobre 1822, Orléans : François-Michel LAURET, professeur de musique, et maître de musique de la cathédrale, meurt à son domicile du n°30 de la rue de la Tour Neuve.
Son décès est déclaré le même jour par Pierre-Michel MONCEAU, 52 ans, marchand libraire rue de la Vieille-Poterie et par Jean-Baptiste NIEL, 50 ans, commis négociant, rue d'Escures, "ses amis". Tous deux sont d'anciens enfants de chœur de la cathédrale, qui avant la Révolution, avaient chanté sous l'autorité de Charles HÉRISSÉ, l'oncle du défunt, et qui depuis le Concordat venaient "les jours de solennité, apporter leur concours au lutrin de Sainte-Croix", selon le chanoine Billard (1897).
 Au mois de juin précédent, c'était déjà à Jean-Baptiste NIEL que la fabrique avait versé ce qu'elle devait au maître de musique, sans doute malade : "à Mr Niel le semestre de Mr Lauret". Après le décès de Lauret, c'est encore à NIEL que la fabrique verse "pour autant qu’il revient à Mr Lauret. Mort : 56 [F] 50". NIEL est manifestement chargé de régler la succession de François-Michel LAURET.

Peu après, c'est Jacques DAUVILLIERS qui devient maître de musique de la cathédrale Sainte-Croix d'Orléans.

Mise à jour : 22 avril 2020

Sources
Courriel René Depoutot, juin 2017 ; F-AMOrléans/ 2 E 96 ; F-Ad45/ 50 J 148 ; F-Ad45/ 50 J 150 ; F-Ad45/ 51 J 8 ; F-Ad45/ BMS Notre-Dame-de-la-Conception, Orléans  ; F-Ad45/ BMS St-Euverte d'Orléans ; F-Ad45/ BMS St-Victor, Orléans ; F-Ad45/ NMD Orléans ; F-Ad57/ 18 J 38 - 51 ; F-Ad57/ 18 J 43 ; F-Ad57/ 18J 43 ; F-Ad57/ 2G54 (2MI 112/ 1) ; F-Ad57/ 2G56 (2MI 114/ 1) ; F-Ad57/ 9NUM/ 5E 327/ 9, ; F-Ad57/ 9NUM/ 5E327/ 9 ; F-Ad58/ état civil en ligne ; F-Ad86/ G 569 ; F-Ad86/ G 570 ; F-Adio.Tours/ registre capitulaire St-Martin n°29 ; F-An/ DXIX/091/774/12/01 ; Gilbert Rose, Que devient la musique à Metz durant la Révolution, Les Cahiers Lorrains, 1989 ; H.Billard, Vieux souvenirs du chapitre cathédral d'Orléans..., 1897 ; R. Depoutot, "Musique du chapitre…", 2002 ; V. Pelletier, Essai sur la Maîtrise de la Cathédrale d'Orléans, 1862

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