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Pour citer Muséfrem
LE PECQ, Ambroise René (1746-1792 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : LE PEC
LEPEC
LEPECQ
Date(s) : 1746-7-24 / 1792 ap.
Ambroise LE PECQ ou LEPEC apparaît dans les sources comme prêtre et chantre de l'église paroissiale Saint-Vénérand, située rive gauche de la Mayenne, à Laval, dans un quartier essentiellement peuplé d’artisans du textile.
• Ambroise René LE PECQ est né le 24 juillet 1746 et a été baptisé le lendemain paroisse de la Trinité à Laval. Il est le fils de Jacques Le Pecq, marchand tisserand, et de Gilette Dampoigné. Ses parrain et marraine sont un frère et une soeur.
• Il est formé au chant et à la liturgie dans un cadre à préciser (psallette, collège, séminaire ?…), puis est ordonné prêtre, sans doute au Mans, capitale du diocèse.
• 1775-1776, Laval : Les comptes de fabrique de la paroisse Saint-Vénérand comportent 250 livres qui ont été versées "à M. LEPECQ prêtre pour une année de ses honoraires de chantre".
• 1er février 1790 : Les comptes de 1789-1790 mentionnent de la même façon "payé à Mr LE PEC prestre pour deux quartiers de ses honnoraires de chantre suivant sa quittance la somme de 125 livres".
Les mêmes comptes mentionnent également les honoraires du sous-chantre, DUPATY, ainsi que ceux de l'organiste Jean DUCLOS.
Comme Saint-Vénérand est une église paroissiale, chantre et sous chantre ne peuvent être des dignités capitulaires, il s'agit donc vraisemblablement du personnel de la musique. Les nombreux prêtres qui figurent aussi dans ces comptes participent sans doute au chant avec eux, de même que SUZAN, le porte-croix.
Selon Isidore Boullier, Ambroise René LEPECQ, chantre de Saint-Vénérand, aurait été déporté en Angleterre où il mourut.
L'abbé Angot confirme ce décès en Angleterre, mais écrit qu'Ambroise René LEPECQ était chantre de St-Tugal. C'est une erreur.
Dernière mise à jour : 30 janvier 2016