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LEVENS, Charles (1689-1764)
État civil
NOM : LEVENS     Prénom(s) : Charles     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : LEVEN
LEVANS
LEVINS
LAVAINS
Date(s) : 1689-9-23  / 1764-3-11
Notes biographiques

Considéré comme l'un des grands musiciens de son époque, puis tombé dans l'oubli aux siècles suivants, Charles LEVENS est l'un des principaux maîtres de chapelle de province de la première moitié du XVIIIe siècle. Natif de Marseille, il est contemporain de plusieurs illustres compositeurs provençaux comme André CAMPRA, Jean GILLES ou Esprit Antoine BLANCHARD. Il vicarie d'abord dans le midi du royaume avant d'obtenir un poste à Vannes puis à Toulouse. Son nom reste cependant attaché à la ville de Bordeaux, où il occupe pendant plus de vingt-cinq ans le poste de maître de musique à la cathédrale Saint-André et où il finit ses jours. Tout au long de sa carrière, les témoignages sur l'amabilité de son caractère et la rigueur de son travail dressent le portrait d'un compositeur, d'un théoricien et d'un pédagogue très apprécié et respecté. La présente notice condense les recherches que lui ont consacré Édith Deyris et Benoît Michel. Elle éclaire les nombreux liens familiaux et professionnels qu'il entretint au cours de sa carrière et invite à se reporter à leurs travaux pour mieux approcher l'étendue de son répertoire. Elle apporte aussi des informations nouvelles, et non des moindres...

• 23 septembre 1689, Marseille : Charles LEVENS est le premier enfant mâle qui naît de l'union de Claude Levens et de Venture Bosque. Il est baptisé le lendemain en l'église Notre-Dame-des-Accoules. Son père est probablement un artisan, si l'on considère qu'il appartient au même corps de métier que deux de ses témoins au moment de son mariage, un cordonnier et un passementier.

• 13 novembre 1700, Marseille : Les chanoines de la Major reçoivent Charles LEVENS comme enfant de chœur. Il a alors 11 ans en réalité, mais la délibération capitulaire indique qu'il est "âgé d'environ neuf ans [et qu'il chante] sa partie de musique à livre ouvert." Cette dernière précision fait dire à Édith Deyris qu'il a probablement fréquenté auparavant une autre psallette de la ville de Marseille, peut-être celle de la paroisse de Notre-Dame des Accoules qui entretenait aussi une maîtrise à l'époque. Il reste neuf ans à la psallette de la Major sous la direction du maître de musique Melchior BARRACHIN et du sous-maître Jean AUDIFFREN. L'organiste Charles DESMAZURES lui enseigne quant à lui l'orgue, sans doute aux côtés de son fils Laurent.

• 21 septembre 1707, Marseille : Charles LEVENS accède au sous-diaconat.

• 8 janvier 1709, Marseille : Un enfant de chœur nommé Pierre POITEVIN est reçu comme sous-diacre à la place de Charles LEVENS. C'est l'ultime apparition de ce dernier dans les délibérations capitulaires marseillaises.

• Les années qui suivent sont mal connues mais il est probable qu'il vicarie dans le sud du royaume. Vers 1713-1715, il fait la connaissance de la bordelaise Jeanne Dorothée Sauzéa [ou Sauséa, Sozéa, Soséa], fille d'un "bourgeois de Paris", de cinq ans sa cadette. Elle commence alors à partager sa vie et le suivra dans ses différents postes. Selon Édith Deyris, il est possible que Charles LEVENS ait été encouragé à venir à Bordeaux sur le conseil de son ancien condisciple François JULLIEN, qui a été reçu comme haute-taille à la collégiale Saint-Seurin de Bordeaux quelques années plus tôt.

• 16 mai 1717, Toulouse : Le baptême d'un garçon permet pour la première fois de relever que Charles LEVENS est musicien, mais n'apporte aucune précision sur l'église qui le salarie. L'acte mentionne que Charles LEVENS et Jeanne Dorothée Sauzéa sont alors "mariés".

• 9 mars 1719, Bordeaux : En l'étude du notaire Antoine Bedout, Charles LEVENS contracte mariage avec Jeanne Dorothée Sauzéa. La minute apprend que la jeune femme est la fille de Denis SAUZÉA, un joueur d'instruments qui signe comme témoin, tandis que Charles LEVENS est lui toujours qualifié de musicien. Une première publication des bans de leur mariage a eu lieu en 1715 en l'église Saint-Siméon de Bordeaux ainsi qu'à Montpellier où le couple semble avoir vécu. Le notaire précise qu'ils sont déjà les parents d'un enfant et que la future promise en attend un second.

• 5 mai 1719, Vannes [Morbihan] : Charles LEVENS est nommé maître de musique du chapitre de la cathédrale Saint-Pierre pour une durée de neuf années. Il occupait provisoirement déjà cette fonction depuis le 26 avril de la même année, à la suite de la démission de Blaise VIDAL. Après avoir cherché à recruter Jacques CABASSOL, le choix des chanoines bretons s'est finalement porté sur Charles LEVENS. Celui-ci devait déjà avoir acquis une certaine notoriété et un talent pour la composition qui ont su convaincre ce chapitre qui avait pour habitude d'engager des maîtres de musique clercs et non laïcs. Là encore, François JULLIEN, en poste dans cette église depuis le 9 septembre 1718, a sans doute de nouveau favorisé la venue de son ami.

• 1719 - 1722, Vannes : Quatre enfants, trois garçons et une fille, naissent, issus du "légitime mariage" de Charles LEVENS et de Jeanne Dorothée Sauzéa. Le premier-né reçoit pour parrain un chanoine de la cathédrale, tandis que le deuxième et le troisième sont respectivement portés sur les fonts par François JULLIEN et par Nicolas MAHÉ, un enfant de chœur. Durant son séjour à Vannes, Charles LEVENS perd son fils aîné né à Toulouse ainsi que son cadet qui tous deux meurent en bas âge. Le petit Nicolas Vincent, né en 1721, marchera quant à lui dans les pas de son père et deviendra aussi musicien.

• 15 avril 1720, Vannes : Son ami François JULIEN convole avec Marie-Thérèse Gensse [ou Gense]. Charles LEVENS est présent à la célébration de leur mariage. Quelques mois plus tard, son épouse  et lui sont choisis pour être les parrain et marraine du fils aîné du couple JULLIEN/Gense.

• 1722, Vannes : Charles LEVENS fait exécuter un Te Deum pour le sacre de Louis XV dont il est sans doute l'auteur.
• 4 septembre 1722, Vannes : Le chapitre de la cathédrale Saint-Pierre envoie son maître de musique en mission à Toulouse pour proposer au sieur Beyrat, ecclésiastique, la charge d'archiprêtre de Vannes. Charles LEVENS profite vraisemblablement de ce voyage pour reprendre contact avec certains musiciens qu'il avait connus quelques années plus tôt et s'enquérir des postes vacants dans les églises du midi.

• 30 avril 1723, Bordeaux : Dans la maison de Marie Guiraud, mère de Jeanne Dorothée Sauzéa, Charles LEVENS passe avec celle qui partage son quotidien depuis au moins huit ans un second contrat de mariage. Contrairement à ce que les actes de baptême de leurs premiers enfants laissaient penser, le couple vit en toujours en union libre ! Seuls deux enfants sont encore en vie, un fils Nicolas et une fille Jeanne. Leurs parents déclarent que "sous la promesse de mariage donné réciproquement l’un à l’autre, ils ont cohabité ensemble présentes longues années". Les raisons de ce concubinage nous échappent et réinterrogent les rapports que le jeune maître de musique pouvaient entretenir avec les chanoines qui l'employaient, d'autant que les délibérations capitulaires de Toulouse ou Vannes ne l'évoquent en aucun cas. Marie Guiraud constitue pour sa fille une dot estimée à 300 livres, tandis que Charles LEVENS n'apporte que 200 livres.
• 5 mai 1723, Bordeaux : Leur mariage est célébré en l'église Saint-Eulalie après avoir obtenu une dispense exceptionnelle des trois bans, afin de garantir la discrétion qu'impose la régularisation de cette union. Parmi les témoins sollicités, on relève la présence Jacques DENIS, de l'Académie Royale de danse.
• 25 mai 1723, Toulouse : Un nommé MARTIN, ancien prébendé de la collégiale Saint-Sernin, et maître de musique à la cathédrale Saint-Étienne depuis un an, soutient la candidature de Charles LEVENS pour lui succéder à son poste. Sa santé déclinante et l'impossibilité d'obtenir un contrat à vie le conduisent en effet à retrouver la prébende qu'il avait abandonnée. Il assure à la compagnie que Charles LEVENS est "très capable de remplir la maîtrise". Les deux hommes se sont probablement connus lors du premier séjour toulousain de Charles LEVENS.
• 5 juin 1723, Toulouse : Charles LEVENS devient le nouveau maître de musique de la cathédrale Saint-Étienne mais sa nomination n'est effective qu'à partir du mois de novembre, car il partage la direction de la psallette avec MARTIN jusqu'à la fin du contrat de celui-ci. Il est présenté dans la délibération capitulaire comme « Maistre de musique de Nantes » (ou Mantes), mais il s'agirait selon Édith Deyris d'une confusion avec la ville de Vannes dont les graphies sont voisines.
• 15 octobre 1723, Toulouse : Il propose à la compagnie toulousaine d'engager un nouveau sous-maître pour remplacer Louis BEGOLLE. Le nom du musicien que les chanoines recrutent n'est pas précisé dans les délibérations capitulaires, mais il semble s'agir de Nicolas MAHÉ qui remplit précisément cette fonction quelques mois plus tard.

• 1724 - 1738, Toulouse : Durant ses quinze années d'exercice dans la capitale du Languedoc, l'activité de compositeur de Charles LEVENS est très intense, tant à la cathédrale qu'à l'extérieur et lui permet de se tailler une solide réputation locale qu'il doit partager avec le maître de musique de la collégiale Saint-Sernin, son ami Joseph VALETTE DE MONTIGNY. Il crée chaque année un noël à grand chœur dont seules les années 1725, 1728, 1730, 1732 - 1735 et 1735 ont été retrouvées et plusieurs institutions religieuses lui commandent des pièces pour mettre en musique leurs cérémonies

• 1724, Toulouse : Pour célébrer l'inauguration d'une nouvelle académie de musique, Charles LEVENS compose une Cantate à Grand Chœur.
• 11 mars 1724, Toulouse : Un congé pour se rendre à Marseille où il doit régler des affaires lui est accordé. Il tire peut-être parti de ce voyage pour vendre aux maîtres de musique provençaux et du comté de Nice des partitions de sa composition.

• 1724 - 1736, Toulouse : La famille LEVENS s'agrandit de neuf enfants mais seuls sa fille Jeanne et le benjamin Raymond Nicolas atteindront l'âge adulte. Plusieurs parrains ou témoins sollicités pour leur baptême appartiennent au corps musical que dirige Charles LEVENS. C'est le cas de Jean AUDRAN ou à nouveau de Nicolas MAHÉ. Mais on relève aussi le choix de Joseph VALETTE DE MONTIGNY, maître de musique à la collégiale Saint-Seurin de Bordeaux, ainsi que celui d'un ancien capitoul et d'un contrôleur des tailles et décimes de la généralité de Toulouse.

• 13 septembre 1726, Toulouse : Le bail de Charles LEVENS à la cathédrale Saint-Étienne est reconduit jusqu'en 1730 et son salaire passe de 1400 à 1500 livres. Cette augmentation n'est valable que pour une année seulement.

• 26 octobre 1730, Toulouse : Charles LEVENS figure parmi les témoins lors de la célébration du mariage de son collègue Jean ALBOUY

• 7 septembre 1731, Toulouse : Satisfaits du sérieux de son travail, les chanoines de la cathédrale Saint-Étienne prolongent son contrat pour six années supplémentaires. À l'inverse de son sous-maître Nicolas MAHÉ qui apparait à plusieurs reprises dans les délibérations capitulaires pour cause d'indiscipline, Charles LEVENS semble particulièrement répondre aux attentes du chapitre. Aucune plainte n'est formulée à son égard et ses qualités humaines doublées d'une grande moralité et d'une solide conscience professionnelle lui assurent la reconnaissance de ses collègues musiciens.

• 19 mai 1733, Toulouse : Il devient le parrain d'une fille de Jean-Baptiste ASTRODE.

• 23 février 1734, Toulouse : Le maître à danser Pierre MANGEAN fait appel à lui pour être témoin à son mariage, c'est l'indice de liens d'amitié noués en dehors du milieu des musiciens d'Église.

• 2 novembre 1738, Toulouse : La psallette de la cathédrale Saint-Étienne est déclarée vacante, Charles LEVENS "s'en étant allé à Bordeaux."
• 9 novembre 1738, Bordeaux : Il signe un inventaire des biens de la psallette de la cathédrale Saint-André. Parce que les délibérations de ce chapitre entre 1730 et 1739 ont disparu, la date précise de sa nouvelle nomination comme maître de musique reste inconnue.

• Vers novembre 1739, Bordeaux : Charles LEVENS réussit à faire engager Nicolas MAHÉ qui le rejoint comme sous-maître.

• 1743, Bordeaux : Il publie chez l'éditeur Chapuis un Abrégé des règles de l'harmonie, pour apprendre la composition, avec un nouveau projet sur un système de musique sans tempérament, ni cordes mobiles. Ce traité marque le début de la célébrité qu'il connaît de son vivant et qui dépasse désormais le midi de la France. Deux grandes entrées princières se chargent sans doute de relayer dans les années qui suivent ce succès et le diffusent jusqu'à Paris. Ses grands motets commencent alors à être exécutés à la Chapelle Royale et au Concert Spirituel des Tuileries.

• 27 janvier 1745, Bordeaux : Au cours de son voyage qui la conduit à Versailles, où elle doit épouser le dauphin Louis-Ferdinand, l'Infante espagnole Marie-Thérèse fait une étape à Bordeaux. Elle assiste à une messe à la cathédrale Saint-André et y entend la musique de Charles LEVENS.

• 14 juillet 1746, Bordeaux : Nicolas-Vincent LEVENS qui secondait son père comme maître de grammaire quitte la psallette. Il devient le mois suivant le maître de musique de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse. 

• 18 décembre 1748, Bordeaux : Alors qu'elle vient d'obtenir par le traité d'Aix-la-Chapelle le duché de Parme, Madame Infante, fille aînée de Louis XV, quitte la cour de Madrid pour celle de Versailles. Elle fait une halte à Bordeaux et Charles LEVENS compose en son honneur une Cantatille qui est interprétée par Mme Bourbonnais.

• 9 mars 1750, Bordeaux : Charles LEVENS accorde la main de sa fille Jeanne à Jean-François BORDES, un ancien enfant de chœur toulousain qu'il a formé et dont il a probablement appuyé le recrutement comme haute-taille par les chanoines bordelais. Ce dernier seconde également Nicolas MAHÉ dans ses travaux de copiste.

• 4 novembre 1751, Bordeaux : Charles LEVENS obtient 200 livres de gratification "attendu la cherté des vivres".

• 1er mai 1756, Bordeaux : Son fils Raymond Nicolas-Vincent meurt. Il était joueur de basse à la primatiale.

• 6 novembre 1760, Bordeaux : Une délibération capitulaire évoque pour la première fois la dégradation de l'état de santé de Charles LEVENS. Il est dispensé de toute présence aux assemblées mais conserve toutefois le bénéfice de la pointe.

• 5 novembre 1762, Bordeaux : À nouveau incommodé, il obtient une autorisation d'absence au Bosco. Les mois qui suivent voient la direction de la psallette de plus en plus confiée à Nicolas MAHÉ ainsi qu'à Jean-François BORDES.

• 22 février 1764, Bordeaux :  Alors qu'il est alité dans la chambre basse qu'il occupe à la psallette, LEVENS charge le notaire Gatellet de rédiger son testament. Il lègue à son épouse l'ensemble de ses biens meubles constitués d'une somme de 8 000 livres, de partitions et de quelques pièces d'argenterie. Il ne lui reste plus que deux enfants, son fils Nicolas-Vincent et sa fille Jeanne, épouse de Jean-François Bordes, qui a pris soin de lui depuis le début de sa maladie. L'acte est signé en présence de Jean-Baptiste LESTAGE musicien à la cathédrale.
• 11 mars 1764, Bordeaux : Charles LEVENS, s'éteint des suites d'une longue maladie. Le chapitre cathédral compte tenu de "'l'estime particuliere qu'il a toujours eue pour le sieur LEVENS eu egard a sa sagesse, conduite, bonne vie et mœurs & probité & encore a ses hauts talens pour la musique" décide "qu'on sonnera la seconde cloche" et "que son corps sera inhumé dans le fond de la nef de cette Eglise prés du grand orgue". Il est enterré le lendemain et les chanoines font inscrire sur son tombeau l'épitaphe "Cy Gist Charles Levens Maitre de Musique de cette Metropole Celebre compositeur decedé le 11 mars 1764". Quelques jours plus tard, à l'initiative de Nicolas MAHÉ, les musiciens de la cathédrale exécutent également pour lui rendre hommage un Te Deum de sa composition.
• 15 mars 1764, Bordeaux : Sa veuve Jeanne-Dorothée Sauzea conserve sa place de gouvernante de la psallette.
22 mars 1764, Bordeaux : Jean-François BORDES lui succède comme maître de musique. Il s'engage auprès du chapitre à faire exécuter la musique de Charles LEVENS que sa belle-mère lui cède et à remettre au chapitre une copie des partitions qu'il fera exécuter. 

• 26 juillet 1765, Bordeaux : Seize mois après son mari, Jeanne-Dorothée Sauzea disparaît à son tour.

• 15 juillet 1776, Bordeaux : Un fils de Jean-François BORDES et Jeanne Levens, diacre, met en vente l'intégralité de la musique de son grand-père et le fait notamment savoir dans les Annonces, affiches et avis divers de Paris.

• 14 mars 1778, Bordeaux : Le chapitre d'Auch charge son maître de musique de faire l'acquisition des partitions de Charles LEVENS.

Mise à jour : 28 octobre 2020

• • • BIBLIOGRAPHIE

Mathieu GAILLARD, « Le mariage discret de Charles Levens, maître de musique et compositeur du XVIIIe siècle : deux documents inédits », Annales du Midi, no 301, 2018, p. 59-70.

Sources
Annonces, affiches et avis divers, 1776 ; B. Michel, Le noël à grand chœur…, 2012 ; Dom Bedos de Celles : mémorialiste universel de la facture d'orgue [...] ; F-Ad13/ BMS Marseille ; F-Ad31/ 2 E IM 8396 ; F-Ad31/ BMS Toulouse, St-Étienne ; F-Ad33/ 3 E 1026 ; F-Ad33/ 3 E 15324 ; F-Ad33/ 3 E 20314 ; F-Ad33/ G 304 ; F-Ad33/ G 305 ; F-Ad33/ G 306 ; F-Ad33/ G 3233 ; F-Ad33/ G 3287 ; F-Ad56/ BMS Vannes ; F-Am Bordeaux/ BMS Saint-André ; F-Am Bordeaux/ BMS St-André ; F-Am Bordeaux/ BMS Ste-Eulalie ; F-Am Toulouse/ BMS St-Étienne ; F-Tlm Res. Mus. Cons. 925  ; G. Bourligueux, "La maîtrise de la cathédrale de Vannes au XVIIIe siècle », SHAB, 1969-1970 ; Ph. Loupès, Chapitres et chanoines de Guyenne..., 1985 ; R. Machard, Les musiciens de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse…, 1973  ; R. Machard, Les musiciens de la cathédrale St-Étienne de Toulouse…, 1973 ; R.Machard, Les musiciens de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse..., 1973 ; É. Deyris, La vie et l'oeuvre de Charles Levens..., 1990.

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