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Pour citer Muséfrem
LUTTON, à Orléans (1790 av.-1826 ap.)
Complément de nom : à Orléans
Autre(s) forme(s) du nom : LUTON
Date(s) : 1790 av. / 1826 ap.
Lorsque la Révolution dissout les chapitres, le jeune LUTTON – dont on ignore encore actuellement le prénom et l'âge – semble être enfant de chœur de la cathédrale Sainte-Croix d'Orléans.
En 1862, le chanoine Victor Pelletier, dans son Essai sur la Maitrise de la cathédrale d'Orléans, décrit la réorganisation de la maîtrise après 1825 : elle connut alors une brève période de renaissance, "non sans gloire", sous la direction à partir de fin 1822-début 1823 de DAUVILLIERS, ancien maître de chapelle à Saint-Aignan et à Tours, puis de VIMEUX.
Il écrit : "Des amateurs qui, dans leur enfance, avaient appartenu à la maîtrise avant la Révolution, tinrent à honneur de prêter leur concours pour les solennités". Et il cite les noms de "MM LUTTON, VAILLANT, LANDRÉ, MONCEAU, libraire, et tout spécialement M. Jean-Baptiste NIEL, décédé imprimeur de l'évêché, qui a fait preuve, jusqu'à la fin de ses jours, du zèle le plus édifiant."
On peut donc supposer que le jeune LUTTON avait fait partie des derniers enfants de chœur formés à la veille de la Révolution à la cathédrale Sainte-Croix sous l'autorité de Charles HÉRISSÉ. Sans en avoir la certitude absolue cependant, puisque l'enquête Muséfrem a découvert que VAILLANT, cité immédiatement après LUTTON par le chanoine Pelletier, était en réalité issu de la maîtrise de la collégiale Saint-Aignan.
Le nom de LUTTON n'a pas surgi dans les sources jusqu'alors dépouillées.
Mise à jour : 24 juin 2019