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Pour citer Muséfrem
MARCHAND, Nicolas (ca 1734-1794 ap.)
Date(s) : 1734 ca / 1794-6-20 ap.
Même si les sources ne l'explicitent que pour une courte période, Nicolas MARCHAND, maître d'école entre 1766 et 1792 de la paroisse Saint-Martin de Longjumeau, à 20 kilomètres au sud de Paris, a exercé également des fonctions cantorales au chœur pendant la même période.
• [1734], Paris : Nicolas MARCHAND, fils de Louis, marchand chapelier et de Claire Françoise Lhomme, vient au monde et est baptisé paroisse Saint-Nicolas-du-Chardonnet à Paris; la famille habite rue Saint-Victor (mention dans l'acte de mariage de 1794).
• 15 juillet 1766, Longjumeau [Essonne] : On relève pour la première fois la signature de Nicolas MARCHAND comme maître d'école de la paroisse.
• 1775-1777, Longjumeau : Le registre des comptes de la fabrique paroissiale mentionnent un "MARCHAND fils" qui joue du serpent. Des sondages effectués ne mentionnent jamais d'épouse et d'enfants de Nicolas MARCHAND.
• 13 novembre 1783, Longjumeau : MARCHAND, reçoit 100 livres « tant en qualité de chantre que celle d'indicateur du chœur pendant les offices »; c'est la seule mention de sa fonction cantorale mais cette dernière doit être inhérente à son profession de maître d'école.
• 1785-1786, Longjumeau : MARCHAND, maître d'école, reçoit 100 livres pour ses honoraires annuels échus à la Saint-Martin 86.
• 17 novembre 1792, Longjumeau : Nicolas MARCHAND, maître d'école, signe encore comme témoin de mariage.
• 20 juin 1794, Longjumeau : Nicolas MARCHAND, ancien instituteur, épouse Anne Catherine Hingler, 33 ans, depuis 5 ans en cette commune, fille d'un menuisier nancéien. Il n'est pas fait mention dans cet acte d'un éventuel veuvage et aucun divorce n'a été relevé dans les mois qui précèdent cette union.
On perd ensuite sa trace, son décès ne figure pas dans les tables décennales.
Mise à jour : 27 février 2019