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Pour citer Muséfrem
MARTINET, Pierre (ca 1750-1818)
Autre(s) forme(s) du nom : MARTIN
Date(s) : 1750 ca / 1818-7-5
Après avoir servi dans sa jeunesse comme chantre et marguillier l'hôpital Saint-Nicolas de Metz, Pierre MARTINET succède en 1778 à son beau-père dans les mêmes fonctions à l'église paroissiale Saint-Martin de la même ville. Il reste en place jusqu'à la suppression de cette dernière.
• [1750], Pierre MARTINET, fils de Jacques Martin [sic] et Barbe Thury, vient au monde. Il est curieux de relever à la date du 5 juillet 1749 le baptême d'un "garçon fort jeune exposé sans billet" qui a été nommé Pierre Martinet à l'hôpital Saint-Nicolas de Metz.
• 1774-1778, Metz [Moselle] : Pierre MARTINET est marguiller [chantre] de l'hôpital Saint-Nicolas. On relève sa signature dès le 2 janvier 1774 au bas d'un acte de sépulture. L'absence de registres antérieurs ne permet pas de connaître la date exacte de sa prise de fonction dans cet établissement. Il signe encore de la sorte à la date du 13 janvier 1778, paroisse Saint-Martin comme parrain au baptême de Catherine, fille naturelle de Madeleine Lochon; la marraine est Anne Catherine Touvenot, sa future épouse.
• 20 janvier 1778, Metz : Il épouse paroisse Saint-Martin Catherine Touvenot, fille de Mathieu TOUVENOT, chantre et marguillier de cette paroisse en présence d'un conseiller du présidial et de Gratien CAMUS. Il signe "Martin".
• 1779-1790, Metz : Plusieurs enfants sont baptisés paroisse Saint-Martin. Il s'agit de Claude Antoine (20 juillet 1779), François Pierre (11 juillet 1780) dont le parrain est François Pierre FIACRE, chantre marguillier de la paroisse Saint-Étienne-le-Depenné, Marie Louise Glossinde (25 juin 1781), Marie Rose (14 octobre 1782), Antoine Augustin (3 février 1787), Marguerite Claire (7 juillet 1788), Pierre (19 septembre 1790). Dans chacun de ces actes, MARTINET est présenté comme chantre et marguillier de la paroisse Saint-Martin. Il a succédé à son beau-père après la mort de ce dernier le 30 janvier 1778. En avril 1791, c'est Louis MANGIN sui signe comme chantre paroissial.
• 7 juillet 1818, Le Sablon, commune aujourd'hui rattachée à Metz : Pierre MARTINET, âgé de 68 ans, instituteur au Sablon, meurt à 5 heures du soir à son domicile.
Mise à jour : 26 juin 2020