Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
MATHON, Jean Marie (ca 1774-1847)
Autre(s) forme(s) du nom : MATON
MATTON
Date(s) : 1774 ca / 1847-4-15
Jean Marie MATHON, fils cadet du marguillier du chapitre de Beaujeu, est l'un des deux derniers enfants de chœur encore en place dans ce chapitre en 1790.
• Vers 1774, Les Étoux [Rhône] : Jean Marie MATHON voit le jour, fils de Louis Mathon, marguillier et propriétaire, et de Jacqueline Fougeras.
• 8 mai 1784, Beaujeu [Rhône] : Louis Matton, marguillier, demande le payement des gages de son fils Jean Marie MATTON, enfant de chœur surnuméraire du chapitre de la collégiale.
• 16 décembre 1789, Beaujeu : En grande difficulté financière, le chapitre de la collégiale décide de congédier deux de ses quatre enfants de chœur à partir du 1er janvier prochain. Jean Marie MATHON et son frère Claude sont quant à eux maintenus à leurs places, et continueront de toucher chacun 36 livres par an.
• 19 juin 1803, Les Ardillats [Rhône] : Jean Marie MATON, "cordonnier" domicilié à Beaujeu, épouse Pierrette Callot.
• 15 avril 1847, Beaujeu : Jean-Marie MATHON, "cordonnier" natif des Étoux, s'éteint au domicile de son gendre.
Mise à jour : 24 avril 2020
