Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
MERCIER, Claude, à Compiègne (1734-1797)
Complément de nom : à Compiègne
Date(s) : 1734-3-25 / 1797-9-27
Claude MERCIER (1734-1797) est d'abord second chantre de l'église paroissiale Saint-Jacques de Compiègne, avant de passer au service de l'église paroissiale voisine, Saint-Antoine. Dans les années qui précèdent la Révolution, il est qualifié d'épicier puis de maître d'écriture.
• 25 mars 1734, Étouy [Oise] : Claude MERCIER, fils de Marc Mercier, jardinier, et de Romaine Brunet sa femme, naît et se fait baptiser en la paroisse Saint-Martin. Son parrain est Charles Duchesne, garde du duc de Bourbon à l'étang de Croissy.
• 24 août 1757, Compiègne [Oise] : Claude MERCIER, chantre de la paroisse Saint-Jacques, est témoin lors d'un mariage.
• 2 avril 1761, Compiègne : Lors du baptême de François de Paule Petrus, fils de Charles, maître tailleur, et de Madeleine Labit, en l'église paroissiale Saint-Jacques, le parrain désigné est MERCIER, chantre de la paroisse.
• 1er septembre 1761, Compiègne : Claude MERCIER, qualifié de maître de pension, de droit de la paroisse Saint-Martin d'Étouy près Clermont (diocèse de Beauvais), de fait de la paroisse Saint-Jacques, épouse Marie Marguerite Drouet, fille majeure de défunt Michel Drouet, marchand épicier, et de Marie Drulion.
• 30 juillet 1763, Compiègne : Leur fils Claude François, né le même jour, est baptisé. Claude MERCIER est désormais chantre de la paroisse Saint-Antoine.
• 27 décembre 1770, Compiègne : Lors du baptême de Louis François Lebrun, fils de Jean Louis LEBRUN, chantre de Saint-Jacques, la marraine désignée est Marie Marguerite Droit, femme de Claude MERCIER, chantre de la paroisse Saint-Antoine.
• 1775-1778, Compiègne : MERCIER est toujours second chantre de l'église paroissiale Saint-Antoine. Pour ses honoraires, il touche 150 livres en 1775, 160 livres 8 sols en 1776, mais des sommes moins importantes ensuite (sauf lacunes dans les quittances) : 75 livres en 1777, 85 livres 8 sols en 1778. Il est remplacé avant novembre 1781 à ce poste par Simon ROBERT.
• 18 septembre 1784, Compiègne : Marc Antoine Mercier, 12 ans et demi, fils de Claude MERCIER, marchand épicier, et de Marie Marguerite Droit, décédé le 17, est enterré en présence de son père et de son frère Claude.
• 1789, Compiègne : L'Almanach historique, civil, ecclésiastique et topographique de la ville de Compiègne le cite parmi les maîtres d'écriture et de calcul qui donnent des leçons en ville. Il réside place "au Bled".
• 27 septembre 1797, Compiègne : Claude MERCIER, maître d'écriture, veuf de Marguerite Droit, décède à son domicile, place de la Loi, à l'âge de 63 ans.
Mise à jour : 9 mai 2018