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Pour citer Muséfrem
TISSERAUD, Pierre, (fils) (1770-1850)
Complément de nom : (fils)
Autre(s) forme(s) du nom : TISSEREAN
TISSERANT
TISSEREANT
TISSEREAND
TISSERAU
TISSERAUD
TISSERAUT
TISSEREAUD
TISSERAUT
Date(s) : 1770-1-18 / 1850-11-8
Juste avant la Révolution, la voix de Pierre TISSERAUD commence à accompagner celle de son père à la petite collégiale Saint-Arthémy de Blanzac [Charente], localité située à une trentaine de kilomètres au sud-ouest d'Angoulême. Le jeune homme exercera ensuite les métiers de cordier et de cultivateur dans la commune voisine de Péreuil.
• 18 janvier 1770, Blanzac [aujourd'hui Blanzac-Porcheresse en Charente] : Pierre TISSERAUD est le premier enfant de Jean TISSERAUD et de Geneviève Roux.
• 3 décembre 1788, Blanzac : Pierre TISSERAUD est engagé avec son père comme chantre pour 30 livres par an.
• 1790, Blanzac : Pierre TISSERAUD est toujours en poste à la collégiale Saint-Arthémy et ses gages s'élèvent à 30 livres. Avec son père, ils semblent les deux seuls serviteurs du chapitre exerçant une fonction musicale.
• août 1791, Blanzac : Une lettre de la municipalité de Blanzac, adressée au district d'Angoulême, mentionne qu'elle souhaite conserver Pierre TISSERAUD comme chantre et son père comme sacristain.
• 28 pluviôse an V [16 février 1797], Nersac : Pierre TISSERAND, devenu cordier, épouse Marie Triaud, la fille d'un cultivateur.
• an VII [1797] - 1806, Péreuil : Il devient père de trois enfants dont deux meurent en bas-âge. Les actes de naissance soulignent qu'il est toujours cordier et qu'il vit au hameau de chez Naulet, où habite également Jean TISSERAND jusqu'à son décès en 1801.
• 8 novembre 1850, Péreuil : Pierre TISSERAND, cultivateur, s'éteint. Il était toujours marié.
Mise à jour : 11 novembre 2017