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VIART, François (1769 av.-1793 ap.)
Date(s) : 1769 av. / 1793-12-21 ap.
François VIART est documenté comme prêtre habitué et premier chantre de la paroisse Saint-Louis à Sarrelouis, ville de garnison sarrois alors en territoire français.
• [1769], Sarrelouis [Sarre, Allemagne] : Il entre au service de l'église paroissiale Saint-Louis comme prêtre habitué et premier chantre. La ville fait alors partie du royaume de France. Son âge n'est jamais mentionné dans les sources qui le concernent.
• 1790, Sarrelouis : Il est toujours en fonction.
• 11 mars 1791, Metz : Le directoire du département demande des précisions sur le traitement perçu en cette double qualité car la perte du casuel aurait réduit de moitié ce dernier. L'abbé Viart a envoyé une requête dans laquelle il réclame une pension nécessitée par son âge et ses infirmités, il déclare 32 ans de service.
• 25 novembre 1791, Sarrelouis : Le directoire du district est favorable à lui accorder cette pension mais le directoire du département, par sa délibération du 24 décembre suivant, considère que ce qu'invoque le pétitionnaire ne concerne que les officiers laïcs et autres personnes employées pour le service divin des chapitres séculiers et réguliers supprimés, et arrête qu'il n'y a lieu de faire droit sur la demande, sauf au sieur VIART à se pourvoir près des administrateurs de la fabrique de l'église paroissiale de Sarrelouis ou à l'Assemblée Nationale.
• 17 janvier 1792, Paris : L'Assemblée Nationale reçoit le mémoire de VIART, transmis au comité de liquidation.
• 21 décembre 1793, Sarrelouis : Le district vise le certificat de civisme accordé par la municipalité à François VIART et Pierre BAGER, tous deux vicaires de la paroisse. BAGER est-il le second chantre?
Nous perdons la trace de François VIART car l'état-civil de Sarrelouis se trouve en Allemagne.
Mise à jour : 6 février 2021