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VIDAL, Jean-Baptiste (1773 av.-1791 ap.)
Date(s) : 1773 av. / 1791 ap.
Attesté comme musicien à la cathédrale de Cahors depuis plus d'un quart de siècle au début de la Révolution, Jean-Baptiste VIDAL poursuit ensuite son travail au service de l'Église constitutionnelle. La suite de son destin reste à reconstituer...
• [avant janvier 1773], Cahors : Jean-Baptiste VIDAL accède au poste de sous-maître de musique, ainsi qu'il apparaît dans une pièce de compte intitulée "Médicaments fournis à la maîtrise des Messieurs du chapitre de Caors par la veuve Cantarel et Albrespie apo[thicai]res en ville". À travers ce document il apparaît que son prédécesseur (dont le nom reste à retrouver) était souffrant depuis le début du mois de mai 1772.
• 1790, Cahors : Jean-Baptiste VIDAL est mentionné comme musicien "pour avoir soin des livres " avec un salaire de 410 livres. Son nom figure avec ceux de ARMAN, ALANIOU, LANCOU, CAPEL (aussi cantoral), LANGE, DREUILLES, JOUGLA, TESTAS tous qualifiés de musiciens, de SAUVAGE organiste et CAVALLETI haute-contre dans une liste des charges du chapitre cathédral.
• 1791, Cahors : un dénommé VIDAL, sans que l'on soit sûr qu'il s'agisse du musicien, demande son traitement de "chappelain de Notre-Dame de Cahors" qui a été fixé à 689 livres 14 sols 8 deniers. Le chapitre a pu effectivement confier le soin des livres à un musicien ecclésiastique, plutôt que laïque.
• 22 octobre 1791 : Jean-Baptiste VIDAL réclame et obtient (le 3 décembre 1791) le paiement de 150 livres pour le 3e trimestre de son service de musicien dans l'église épiscopale.
L'enquête reste à mener pour savoir ce qu'il devint ensuite.
Mise à jour : 13 avril 2020