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LE FÈVRE, Jacques : MÉLANGES

LE FÈVRE, Jacques : MÉLANGES

Titre uniforme :
MÉLANGES
Autorité(s) principale(s) :
Source(s) du recueil :

 

[INCOMPLET]
MESLANGES/ DE LA MUSIQUE/ DE JACQUES LE FEVRE,/ Compositeur de la musique de la Chambre du Roy.
Paris, Pierre Ballard, 1613
parties séparées, 4 vol. conservés (dessus, haute-contre, taille et sixième ; basse-contre et cinquième non localisés), in-8° oblong, 175 x 240 mm ; dessus, haute-contre, taille : 48-[1] f. et [1] f. blanc ; sixième : 19-[1] f.
F-Pn/ Rés Vm7 255 [dessus, haute-contre, taille, sixième ; coll. Sebastien de Brossard]

 

RISM A.I/ L 1434
Durosoir/ 054
Guillo, Ballard/ 1613-I

D'après la table de la partie de taille, le recueil est composé essentiellement de «chansons», mais aussi d'«airs» et de «dialogues» ; les incipit de chaque genre musical y sont regroupés sous les rubriques correspondantes ; les airs et dialogues sont signalés ci-dessous comme suit :
* : airs
** : dialogues

Contient :

- taille (partie la plus complète) :

- f. [1] [titre]
- f. [1v] [blanc]
- f. [2] «AU ROY [...]», épître dédicatoire à Louis XIII, signée Jacques Le Fèvre
- f. [2v] «A MONSIEUR LE FEVRE,/ SUR SES MESLANGES./ ODE. [...]», signée G.[abriel] Bataille
- f. [3] «SUR LES MESLANGES DE MONSIEUR LE FEVRE.», poème signé L. S.
- f. [3v] «A L'AUTHEUR./ SONNET. [...]», signé L.[aurent] de la Hyre
- f. [4] «A MONSIEUR LE FEVRE,/ SUR SES MESLANGES.[...]», deux sonnets, signés [Étienne] Durand et [Pierre] Hodey

[Chansons et airs :]
[ 1] - f. 4v-5 Que l'Amour est plaisant [4-6 v]
L'Amour est un nectar, si c'est un poison
[ 2] - f. 5v-6 La gentille Aloüette avec son tire lire [5 v]
Puis son vol vers ce lieu
[ 3] - f. 6v Sans lever le pied j'abatray la rosée [3 v]
[ 4] - f. 7 Chambriere allez tost & venez ça [3 v]
[ 5] - f. 7v Messieurs voulez vous rien mander [4 v]
[ 6] - f. 8-9 Perrette estant dessus l'herbette [4-6 v]
Si tu l'avois veu j'en suis seure
Colin recognoissant sa faute
[ 7] - f. 9v-11 Par un matin la belle s'est levée [4 v]
De son amy du lin du lé du lon de l'eau
[ 8] - f. 11v Gaudinette je vous aime tant [3 v]
[ 9] - f. 12 Au joli bois je m'en vais au joli bois j'iray [3 v]
[10] - f. 12v Allons mes amourette [3 v]
[11] - f. 13 Dieu doint joye à qui bevra [3 v]
[12] - f. 13v-15v Aymez moy bergere [2-6 v]*
O que l'amour est gay
Mon coeur & ma vie
Dans ce vert boccage
De nos amourettes
Puis tout à mon aise
Ha ! quelle allegresse
[13] - f. 16 Et la fleur volle je l'auray [4 v]
[14] - f. 16v Un epoux la premiere nuict [5 v]
[15] - f. 17-18v Pour esteindre cette escarlatte [3-6 v]*
Gros nez ne blanchiras-tu jamais
Sus qu'on aille à la cave
Glou, glou, comme ce vin s'avalle
O nez que tu as bonne grace
Ça mes amis, qu'on ne bouge
[16] - f. 19 Tu ne l'entens pas la la la [3 v]
[17] - f. 19v Las ! Il n'a nul mal qui n'a le mal d'amour [3 v]
[18] - f. 20 Las ! Il n'a nul mal qui n'a le mal d'amour [3 v]
Le Roy luy demande fille qu'avez vous [4 v]
[19] - f. 21 Quand l'Anglois vint en France il a dit à ses gens [5 v]
[20] - f. 21v-22 Maistre Ambroise d'ou venez vous ? [4 v]
[21] - f. 22v J'ayme Filis ardamment [6 v]
[22] - f. 23-24v J'ayme Filis ardamment [2-6 v]*
Voila toujours la façon
Je suis aymé de Cloris
Amour pour son passe-temps
Nous sommes tous en ce point
[23] - f. 25 Que ne suis-je plutot sur la mer [4 v]
[24] - f. 25v-26v Mes yeux fondez en pleurs [3-5 v]
Pleurez tant qu'a la fin vous en perdiez la veuë
Heureux qui naist sans yeux, ou les pert d'aventure
[25] - f. 27-29v Si j'ay tant les pasles couleurs [2-6 v]*
Je sens mile & mile trépas
Je meurs d'aymer fidellement
J'ayme cét ingrat franchement
Mais ce qui double mon tourment
Je sçay que ces propos sont feints
Ainsi je languis sans requoy
[26] - f. 30 On dit que l'Amour est sans yeux [4 v]
[27] - f. 30v-32 Ne t'enfle point d'orgueil [3-6 v]
Rends à l'Astre du jour
Rends tes perles, ton or, ton corail à l'aurore
Rends à Circe ton charme, & ta ruse à Mercure
[28] - f. 32v-35 Je ne sçaurois plus me feindre [2-6 v]*
Mon amour en attendant
Soubs le voile du silence
Je pensois bien pour me taire
Ce ne fut chose impossible
Il faut donc bien que je cede
Madame ayez cognoissance
[29] - f. 35v-36 He bien, si je t'ay baisée [4 v]
Tout ce qui est bon à prendre
[30] - f. 36v Ou es tu allé berger [4-6 v]
[31] - f. 37-39v Il est vray belle je l'avoüe [2-6 v]*
Pour avoir de vous la passade
Car vous avez trop de malice
Mes larmes n'estoyent veritables
Vous avez eventé la mine
Pour avoir le plaisir d'une heure
[32] - f. 40 Les yeux qui font aymer [4 v]
[33] - f. 40v Vostre humeur m'est agreable [4-6 v]
[34] - f. 41-42v Ou es tu allé berger [2-6 v]*
Si pour esprouver ma foy
Tu as pris assés de temps
Vien donc ma vie & mon coeur
[35] - f. 43-44v Mais di moy belle Janneton [2-7 v]**
Est-ce mespris ou cruauté
Belle c'est aymer à demi
Si tu veux tu as bien de quoy
Mais celuy que tu aymes tant
Mais s'il te laisse entierement
Alors je passeray mes jours
[36] - f. 45-48 Ayme qui voudra les belles [2-8 v]**
C'est la mesme tirannie
Il faut trop de mignardise
Je ne veux plus que des laides
Mon feu peu à peu se passe
Mais la beauté pour trop plaire
Quand la belle est desirée
Je hay la femme commune
Qui donc aux belles se lie
La vertu fuit les extresme
Heureux celuy qui des deux

- f. 48v-[49] «TABLE./ DES MESLANGES DU FEVRE. [...]»
- f. 49v «EXTRAIT DU PRIVILEGE. [...]» accordé à Pierre Ballard, daté du 16 octobre 1611 (ne figure pas dans la Sixième).

- dessus (inc. ; mq. f. [1] à [3])

- haute-contre (inc. ; mq. f. [1] à 5v, 29-33v, 37, 39 et 42-[49])

- erreurs de foliotation

Description :
6 volumes 4° oblong, 175 x 240 mm. DESSVS, HAVTE-CONTRE, TAILLE : 48-[1]-[1 bl.] f., A-M4N2. SIXIESME : 19-[1] f., A-E4. Basse et Cinquiesme : non localisées. Titre dans l'encadrement EPJ. Musique notée (type MMF2), portées de 176 mm. Lettrines, bandeaux, frise, culs-de-lampe, titre courant. Ligne de pied : [NOM DE LA PARTIE].

Pièces liminaires :
[dédicace :]
«AU ROY.
SIRE,
Estant poussé de quelques personnes de merite et sçavoir, et entendus en la Musique, pour mettre en lumiere ce petit oeuvre que j'ay pris peine de labourer et rendre le plus poli qu'il m'a esté possible, suivant les bonnes reigles preceptes et enseignemens qui nous ont esté laissez par les anciens et plus doctes professeurs de ceste science. Bien que moy indigne je me suis neanmoins proposé de le voüer et dedier à vostre Majesté, me persuadant que sa bonté supleant au defaut de ma condition, le recevroit de bon oeil, et tiendroit mon labeur et mon voeu pour agreable, avec le tres-humble service que je luy dois, comme ayant cét honneur d'estre Compositeur de Musique de sa chambre. Je supplie donc tres-humblement vostre Majesté, SIRE, de vouloir accepter ce mien petit labeur, lequel estant favorisé du bon-heur de vostre protection, je seray d'autant plus obligé de veiller à l'estude de ceste science pour me rendre capable de donner à vostre Majesté en ceste mienne profession, le contentement plaisir et delectation que la science nous peut promettre et departir, demeurant en ce desir,
SIRE,
DE VOSTRE MAJESTE.
Le tres-humble et tres-ibeissant serviteur et sujét :
JACQUES LE FEVRE.»

«A MONSIEUR LE FEVRE,/ SUR SES MESLANGES./ ODE.
Pourquoy les Scenes renommées
De la sçavante antiquité
Ne sont elles plus estimées
Comme elles ont jadis esté ?
Pourquoy les jeux de ce bel aage
Ne sont ils encore en usage
Pour t'en voir sortir glorieux,
Admiré de mile personnes,
Et par le nombre des couronnes
Passer celuy des envieux ?

Les choses ont changé de face,
LE FEVRE, tout est renversé,
Les vertus ont perdu leur grace
Perdant les honneurs du passé :
Celuy qui parmi la commune
A la faveur de la fortune
Est en un rien comblé d'honneur,
Et la Vertu comme inconnuë
Va faire la court toute nuë
Apres les enfans du bon-heur.

Il semble que le Siecle antique
Aux premiers Arts si florissant,
En nous produisant la Musique
La fit avorter en naissant :
Car cette Déesse irritée
De voir l'ignorance effrontée
La traverser de jour en jour,
S'enfuit d'une aisle vagabonde
Et ne laissa lors dans le monde
Que le desir de son retour.

Mais ores que sous nostre Prince
Elle a ses honneurs et son pris,
Glorieuse en toute Province
Elle s'admire en tant d'esprits,
Que ses deitez combattuës
Par mile et mile ames tortuës
Dans l'horreur des Siecles derniers,
En revenant nous font paroistre
Que les vertus n'ayment à croistre
Qu'au champ qui produit des Lauriers.

Or comme presqu'en toutes choses
Les Dieux font tout par les mortels,
Tant de fleurs en ce livre escloses
Luy vont eslever des autels.
Tes inimitables meslanges
Sont les subjets de ses loüanges,
Car par tes discordans accorts,
Soit de l'un soit de l'autre monde,
Tous les esprits elle accommode
Ainsi qu'il luy plait dans les corps.

Comme Hercule par les oreilles
Traisnoit les hommes apres luy,
Chacun ravi de tes merveilles
Suivra tes chansons aujourd'huy.
Comme d'un autre Tymothée
Le son de sa lire enchantée
Charmera le coeur de ton Roy,
Et par ses accords admirables
Ce qu'on a tenu pour des fables
Sera veritable chez toy.
G. BATAILLE.»

«SUR LES MESLANGES DE MONSIEUR LEFEVRE.
Je m'en suis alé mile fois
Des consers de luts et de vois
Dépité contre la Musique,
Quand j'ay veu que tout son pouvoir
Se réduisoit à la pratique
D'entretenir sans émouvoir.

Au lieu que les Musiciens
Célébrez par les anciens
Comme auteurs de rares merveilles
Aloient (ce sembloit) atachant
Les espris dedans les oreilles
Et les oreilles dans leur chant.

Je disois que l'âge passé
Avoit tout à coup amassé
Le savoir et l'experience,
Et que le Ciel chiche en ce cas
Nous donnoit au lieu de sience
Les regrez de ne l'avoir pas.

Mais incontinent que les sons
Des doux acors, et des chansons
Du FEVRE ont touché mon oreille,
J'ay dans l'éfet de mon dezir
Changé le dépit en merveille,
Et l'étonnement en plaizir.

J'ay creu que les fatales mains
Des Dieux prodigues aux humains
N'avoient jamais été recruës,
Que chaque jour en donne assez,
Sans que les graces soyent accruës
Non plus aux presens, qu'aus passez.

Car je voy que l'antiquité
N'a rien dit avec verité
Avoir été fait par ses hommes,
Que cét esprit aymé des Cieus
Ne le face au siecle où nous sommes
Aussi parfaictement, ou mieus.

Il fait (pour le moins le peut-il)
D'un mode savant, & subtil
De ses chans, ainsi que de charmes,
Revenir mile fois le jour
De l'amour, aus fureurs des armes,
Des armes, aux douceurs d'Amour.

Il fait en mile passions
Tournoyer les afections
Dedans l'un, & l'autre contraire,
Et chasse à la fin des espris
La peur, l'envie, & la colere,
Démons qui les tiennent surpris.

Il ait que des coeurs de rocher
Entr'eux se venant aprocher
Embellissent l'honneur des villes,
Ainsi donne-t-il hardiment
Le mouvement aux immobiles,
Aux stupides le sentiment.

Voila comment aux beaux éfais
Que ces vieus chantres ont parfais
Son merite égale sa gloire,
Et permét que sans fixion
Il se puisse nommer, & croyre
Un Orfée, ou un Amfion.

Aussi me semble-t-il avis
Tant mes sentimens sont ravis
Doucement à sa fantaizie,
Que de le pouvoir écouter
C'est avoir part à l'ambrozie
Et au nectar de Jupiter.

Tantôt d'un Lidien acord
Il vient renverser tout d'abord
Ma joye au fond de la tristesse,
Et sans bien diserner que c'est
Ce je ne say quoy qui me blesse,
Il m'aflige ensemble, & me plaist.

Que s'il veut adoucir le son
Dessus l'Ionique façon,
Je devien d'une humeur plus belle,
Et peu s'en faut que le flambeau
des amours de son Isabelle
Ne renaisse de son tombeau.

Mais s'il touche le Dorien
C'est lors qu'il ne me laisse rien
De vil, ny de mortel en l'ame,
Et qu'un dezir ambitieus
Eleve l'ardeur de sa flame
De la terre jusques aus Cieux.

C'est lors que ma Muse entreprend
D'un penser genereux, & grand
D'entonner l'airain de Bellonne,
Et faire entendre de ma vois
Par tout ou le soleil rayone
La gloire, & l'honneur de nos Roys.

Or afin de communiquer
Ce qu'il en a seu pratiquer
LE FEVRE a mis en ces meslanges
Un tresor tout melodieus
Qui merite la vois des Anges
Et l'oreille mesme des Dieus.

Espris que le Ciel a rendus
Amateurs, & bien entendus
De ceste science Angelique,
Remerciez-le de ce don
Tant qu'il ait d'une vois publique
Mile loüanges pour guerdon.

De moy tout joyeus je m'en vais
Aquiter des veus que j'ay fais
Pour cét art, & ce qu'il concerne,
Et remply de nouvelle ardeur
Publier que l'âge moderne
Reprent l'ancienne splendeur.
L. S.»

«A L'AUTHEUR./ SONNET.
L'ORFEVRE ayant parfait mile pieces exquises,
A coup n'estale pas ce qu'il a de plus beau :
Le Peintre au premier trait n'avive son tableau.
'Commencer est beaucoup es belles entreprises.
Celuy qui des neuf Soeurs a les graces apprises,
S'acquiert avec le temps un triomphant chappeau :
On ne croit pas si tost à l'Oracle nouveau.
'La palme & les vertus par labeur sont acquises.
Ouir d'un peu de voix tant d'agreables sons,
Fait douter qui peut estre l'autheur de ces chansons :
'(Toujours une merveille est d'abord incroyable.)
A l'oeuvre on void l'ouvrier : tu fais cét oeuvre, affin
Que tous ayans cognu ta Musique admirable,
(LE FEVRE) ton renom survive apres ta fin.
L. DE LA HYRE.»

«A MONSIEUR LE FEVRE,/ SUR SES MESLANGES./
SONNET.
Laisse sortir, LE FEVRE, en si belle saison
Ces enfans qui de toy reçoivent leur naissance :
Ils sont desja trop grands pour estre en ta puissance
De les plus retenir cachez en ta maison.

Aussi bien malgré toy, par force ou par raison
Leur nom de jour en jour prendra telle accroissance,
Que ceux qui dés long-temps ont eu leur cognoissance
Leur presteroyent des fers pour rompre leur prison.

Que si pour les garder tu t'oposes l'envie,
Croy qu'ils ont ja donné tant d'honneur à ta vie
Que l'on te donnera le Laurier sans debat.

Ou bien si quelque Pan encor te fait la guerre,
Il ne trouvera plus de Midas sur la terre
Qui luy puisse adjuger la gloire du comat.
DURANT./»

«SONNET.
DONNER le jour à ce divin ouvrage
Et faire ouir ces Airs en tant de lieux,
En ce bel Art c'est passer les plus vieux,
Et sur Orfée avoir de l'avantage.

C'est de la mort viter le passage,
C'est se guider, soy-mesme, dans les Cieux :
Et reçevoir plus de faveur des Dieux.
Que n'en sçauroit exprimer le langage.

Il est certain, LE FEVRE, que je voy
Les medisans murmurer contre toy,
Bien qu'en merite aucun ne te ressemble.

Le nombre
est grand de ces esprits tortus :
Mais on ne peut acquerir tout ensemble
Peu d'Envieux, & beaucoup de Vertus.
HODEY.»

Remarques:
Ce volume contient les seules oeuvres imprimées de Jacques Le Fèvre. Dans son testament du 22 décembre 1627, il donnait à [François] Richard, [Gabriel] Bataille et Despons toute sa musique restée manuscrite, à savoir six gros livres in-folio contenant respectivement Sept pseaumes et autres Chants spirituelz tant françois que latins, Quatrains de Pibrac, Chansons à quatre, Chansons à cinq, Airs et Fantaisies. MC LIV, 510, d'après JURGENS II p. 156.

Dépouillement (sigle RISM/ cote)

F-Pn/ Rés Vm7 255

 

Cat. Brossard 485.
«Ce sont tous Airs ou Chansons dont les paroles sont en françois, les unes fort gayes et plaisantes, mais souvent un peu trop libres, les autres plus tristes et serieuses [...]. L'harmonie au reste de toutes ces pieces me paroit excellente ; c'est dommage que cet ouvrage soit imparfait, mais je crois qu'il ne seroit pas facile difficile de le perfectionner. On chante encore (en 1725 c'est à dire cent douze ans après) beaucoup de ces Airs quand on se veut divertir &c.»

Lieu(x)

PARIS

Note(s) lieu(x)

Paris : ville d'édition de la source musicale A

Date(s)

1613
1611.10.16

Note(s) date(s)

1611.10.16 : privilège imprimé à la fin de la source musicale A
1613 : édition source musicale A

Nom(s) cité(s)

BATAILLE, Gabriel
L. S.
LA HYRE, Laurent de
HODEY, Pierre
DURAND, Étienne

Note(s) nom(s) cité(s)

BATAILLE, Gabriel : auteur de l'ode liminaire, source musicale A
HODEY, Pierre : auteur d'un sonnet liminaire, source musicale A
DURAND, Étienne : auteur d'un sonnet liminaire, source musicale A
L. S. : auteur de stances liminaires, source musicale A
LA HYRE, Laurent de : auteur d'un sonnet liminaire, source musicale A

 

LOUIS XIII [1601-1643], roi de France

 

BALLARD, Pierre [1581 ca-1639]

Référence(s) bibliographique(s) :
Bibliographie :

TUNLEY, David
«Jacques Le Fevre and his 'Meslanges de Musique'»
The Musical Times, vol. 1575 n° 115 (may 1974), p. 381-382

Cat. 1683
Cat. Lisbonne 24-652
Bibl. Ballard p. 29 et p. 42
LABORDE Essai III, 442

Informations sur la notice :

Notice créée par Laurent Guillo (mars 2007).

Date de référence :

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