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Pour citer Muséfrem
CHEVALLIER, Marin (1785 av.-1794 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : CHEVALIER
Date(s) : 1785-1-23 av. / 1794-8-19 ap.
Jusqu'en 1790, Marin CHEVALLIER exerce la fonction de chantre successivement dans deux églises paroissiales de Beauvais [Oise]. Il est aussi employé, à partir de 1791-1792, par la fabrique de l'ancienne cathédrale Saint-Pierre.
• 23 janvier-septembre 1785, Beauvais : Marin CHEVALLIER est chantre de l'église paroissiale Saint-Martin. Il reçoit 80 livres par an.
• Juillet 1788-janvier 1791, Beauvais : Marin CHEVALLIER occupe les fonctions de chantre en l'église paroissiale Saint-Étienne (premier acte signé le 25 juillet 1788). En 1788, la fabrique le rétribue à hauteur de 240 livres annuelles.
• 1790, Beauvais : Marin CHEVALLIER est chantre de l'église paroissiale Saint-Étienne depuis au moins deux ans. Il reçoit 250 livres par an.
• 2 janvier-31 octobre 1792, Beauvais : CHEVALLIER est aussi signalé comme chantre de la nouvelle église cathédrale et paroissiale Saint-Pierre.
• Fin octobre 1793, Beauvais : Son service de chantre à Saint-Étienne cesse.
• Janvier 1794, Beauvais : Marin CHEVALLIER et ses collègues chantres Charles Antoine CHRÉTIEN, Jean François DUFOSSÉ et Charles François DUCROCQ réclament le paiement de leur salaire d'octobre, s'élevant à 33 livres 6 sols 8 deniers par personne, à raison de 400 livres par an, soit pour eux quatre la somme de 133 livres 6 sols 8 deniers. Ils invoquent leur pauvreté, leur condition de père de famille et se disent bons républicains.
• 22 messidor an II (10 juillet 1794), Beauvais : Le District reconnaît le bien-fondé de leur demande.
• 2 fructidor an II (19 août 1794), Beauvais : Le Département accorde à chacun la somme de 33 livres et 33 centimes. Chacun obtient une ordonnance de liquidation de créance.
Mise à jour : 29 octobre 2018