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Pour citer Muséfrem
COSTES, à Saint-Jean-d'Angély (1790 av.-1793 ap.)
Complément de nom : à Saint-Jean-d'Angély
Autre(s) forme(s) du nom : COSTE
Date(s) : 1790 av. / 1793 ap.
Une bribe de l'activité musicale qui existait au sein de la ville de Saint-Jean-d'Angély, troisième ville du département qui compte environ 6 000 habitants en 1790, nous est révélée grâce à la trace d'une supplique de 1792 rédigée par deux enfants de chœur : COSTES et BENOÎT. Il semble que COSTES était déjà en poste en 1790 à l'église paroissiale et abbatiale Saint-Jean-Baptiste de la ville.
• 1790, Saint-Jean-d'Angély [Charente-Martime] : COSTES semble déjà en activité comme enfant de chœur à l'église paroissiale et abbatiale de la ville, en compagnie également de l'enfant de chœur BENOÎT. Le reste du corps de musique reste à découvrir et à éclairer.
• Juin-Juillet 1792 : COSTES et BENOÎT, mentionnés comme "serveurs de messe et enfants de chœur", demandent le paiement de leur traitement échu le 30 juin, certainement pour les six premiers mois de 1792.
Le 23 juillet, le district de Saint-Jean-d'Angély accorde au "sieur Costes 36 livres". On peut penser que cette somme de 36 livres est à partager avec son collègue BENOÎT, au vu de la gratification qu'ils obtiennent en 1793. Costes, qui reçoit l'argent, est très probablement l'aîné des deux.
• Le 5 janvier 1793, COSTES et BENOÎT qui sans doute perdent à ce moment leurs emplois, bien que cela ne soit pas précisé, demandent "18 livres chacun pour leur traitement pendant les 6 derniers mois de 1792".
Le 23 janvier, le district de Saint-Jean-d'Angély accorde "18 livres en faveur de Costes" et BENOÎT reçoit la même somme.
Après quoi on perd sa trace...
Mise à jour : 29 avril 2016