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DEMAHŸ, Innocent (1758-1824 av.)
État civil
NOM : DEMAHŸ     Prénom(s) : Innocent     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : DEMAHIS
DE MAHIS
DE MAHY
DESMAHIS
DEMAZIS
DESMAZIS
MABY
DEMABY
Date(s) : 1758-9-24   / 1824 av.
Notes biographiques

Enfant du pays, le maître de musique Innocent DEMAHŸ, n'a exercé son métier au service de la cathédrale de Bourges que de 1780 à 1787. Il avait auparavant exercé quelques courtes années à Troyes (et peut-être à Paris). Il se contente en 1790 de participer au chant en tant que chanoine semi-prébendé. Ordonné prêtre par l'évêque constitutionnel du Cher, il part à Paris où il est d'abord vicaire d'une paroisse puis où il finit par se marier. Son décès reste à retrouver.

• 24 septembre 1758, Aubigny-sur-Nère [Cher] : Né le jour même, Innocent DEMAHŸ est baptisé dans l'église paroissiale de cette petite ville située à 46 km en droite ligne au nord de Bourges. L'enfant reçoit son prénom de son parrain, Innocent Millier, qui seul signe l'acte. Son père, François Demahy, est alors "cavalier de maréchaussée". Avec sa mère, Anne Damiat, ils s'étaient mariés le 23 avril 1744 à Bourges, paroisse St-Pierre-le-Marché, paroisse où la famille réside au moins jusqu'en 1754. Lors des baptêmes de leurs nombreux enfants, le père est dit  tour à tour "marchand" sans précision, bonnetier, teinturier… L'installation à Aubigny correspondrait donc à un récent changement d'activité professionnelle.

• [1765], Bourges : Innocent DEMAHŸ a 7 ans. Il est reçu enfant de chœur à la cathédrale Saint-Étienne (voir ci-après au 23 juin 1777).

• 8 janvier 1772, Bourges : "Juventius DEMAHIS" figure dans la liste des "pueri" de la cathédrale Saint-Étienne. Il en est de même le 17 juillet 1772.

• 29 mai 1775 : “Aujourd’huy, DEMAZIS second grand enfant de chœur de nostre église, nous a très humblement suppliés de luy permettre de faire chanter le jour de la Pentecoste un dixit qu’il a composé, ce que nous luy avons accordé”.

• 23 juin 1777, Bourges : Innocent DEMAHŸ, grand enfant de chœur, "sort des aubes", c'est-à-dire de la psallette. Il s'adresse au chapitre capitulaire et explique que "désirant aller à Paris et se placer en qualité de sous-maître en la maîtrise des enfants de chœur des Saints-Innocents", il sollicite les 150 livres de récompense accordée aux enfants de chœur qui ont servi pendant douze ans. Cela laisse supposer qu'il avait été reçu courant 1765.

• [?]-fin 1779, Troyes : Innocent DEMAHŸ est maître de musique à Troyes.

• 16 août 1779, Bourges : Alors que Joseph-Pierre TISSIER (qui est maître de la cathédrale Saint-Étienne depuis le départ de DELAPLACE, à Pâques 1771) a fait part au chapitre de sa volonté de "quitter la maîtrise pour les festes de Noël de l'année 1779", Innocent DEMAHŸ adresse sa candidature au chapitre cathédral. S'agit-il d'une candidature spontanée ou a-t-elle été sollicitée par les chanoines ?
Le chapitre délibère : "Sur le bon et louable rapport qui nous été fait des bonnes vie mœurs et capacité du Sieur MAHIS ci devant enfant de chœur de notre église, actuellement maître de musique à Troyes en Champagne, et le désir qu’il avoit de se rendre utile à la compagnie, nous avons prié MM. les directeurs de la maîtrise, et M. Archambault nos confrères, de concerter avec led. Sr MAHIS des causes et conditions du bail à faire pour raison de lad maîtrise, et les autorisons à passer acte à ce nécessaire".

• 14 janvier 1780 : "Versé 80 lt pour son voyage au Sr de MAHIS et passer bail maîtrise ainsi que versement de 5/6e du premier mois d’entretien des enfants, soit 125 lt (au lieu de 150 par mois). Il est mis sur la feuille pour 3 lt par semaine tant qu’il sera maître de musique". On peut supposer qu'il est arrivé peu de temps avant, peut-être pour Noël 1779 comme le souhaitait TISSIER, ou juste après.
• 21 janvier 1780 : Innocent DEMAHY clerc minoré du diocèse de Bourges et chanoine semi-prébendé de l’église de Bourges est officiellement reçu maître de musique avec un premier traité pour neuf ans, dans lequel ses obligations sont bien précisées.

  • Il aura la charge de douze enfants de chœur auxquels il devra apprendre à la musique, le chant et la composition mais également veiller sur leurs mœurs et les élever dans la piété.
  • Ses revenus sont pour une partie en argent, pour l'autre partie en nature. Le revenu de la maîtrise est évalué dans le bail à 2 800 livres, soit 1 800 livres en argent, le reste en nature.
  • Il est chargé de l'ensemble du mobilier de la maîtrise qui devra faire l'objet d'un inventaire, et être rendu en état lorsqu'il quittera la maîtrise.
  • Le contrat précise également qu'il sera tenu de laisser au chapitre ses compositions même après son départ de la maîtrise.

• 31 juillet 1780 : 120 lt sont versées au Sr DE MAHY maître de musique, pour les frais occasionnés par la fête de saint Étienne.

• 1er août 1781 : Le chapitre octroie 144 lt de gratification au maître de musique, M. DE MAHY, “à raison de la musique qu’il a donnée le jour d’hier”.

• 18 mars 1782, Bourges : "Payé 35 lt au Sr DEMAHIS maître de musique de notre église pour dépenses faites pour la maîtrise".
• 29 juillet 1782 : Dans son journal, le chanoine Malyvert relate les funérailles du dernier maître de musique de la Sainte-Chapelle. "Du 29e juillet 1782, M. CANNEAUX est décédé à quatre heures et demie du matin, et fut enterré le lendemain, après matines. M. Berthier a officié. MM. des Beaupleins et de Saint-Maur ont fait diacre et sous-diacre ; les chapiers MM. SOUMARD et NEUVILLE, MM. TISSIER, NEUVILLE major, CHANFRAUD et DEMAHY ont porté le coin du drap ; il a été chanté la messe de Gilles".

• Août 1782 : "Payé 144 lt au Sr DE MAHY maître de musique de notre église pour gratification, pour cette fois seulement".
• 9 septembre 1782 : Congé "jusqu’à la fin du mois" au Sr DE MAHY, maître de musique.

• Janvier 1783 : Il figure dans la liste des chanoines semi-prébendés du chapitre cathédral. On trouve aussi la mention suivante : "Payé 54 lt au Sr DE MAHY maître de musique de notre église, 5/6ème de son mémoire de 65 lt". En 1787-1789, son nom figure encore dans la liste des chanoines semi-prébendés.

• 18 février 1783, Bourges : Jean François BARANTON épouse Jeanne d'Apremont, en présence de Joseph Pierre TISSIER, "chanoine de résidence" de la cathédrale, et d'Innocent DEMAHY, "bénéficier" de la même église. En 1784, Jeanne Marquelet est employée à son service.

• 8 mars 1784 : De MAHY, maître de musique, demande au chapitre un congé jusqu’à Pâques prochain pour aller à Paris se faire soigner une maladie des yeux.

• 11 février 1785 : Innocent DEMAHŸ, "clerc minoré de ce diocèse" et chanoine semi-prébendé, résilie son bail de maître de musique. Il demeure dans la maison de la maîtrise, paroisse Saint-Pierre-le-Puellier. La place est déclaré vacante le 23 février 1785.
• 28 février 1785 : Innocent DEMAHŸ est à nouveau reçu comme maître de musique par le chapitre de la cathédrale Saint-Étienne de Bourges. Il signe un nouveau bail pour une durée de neuf années.

• 9 et 21 juin 1786 : Le chapitre de la cathédrale Saint-Étienne de Châlons-sur-Marne a été informé de la vacance d'une place de serpent au sein de la Musique de Bourges. La candidature d'un jeune homme formé à Langres n'ayant pas aboutie, Innocent DEMAHŸ écrit deux lettres à l'adresse de l'église champenoise, pressant qu'on lui envoie au plus vite l'enfant de chœur sortant − le jeune Jean-François LEBÈGUE − dont on lui a déjà vanté la réputation et les talents d'instrumentiste. La première lettre précise les gages qu'obtiendrait le jeune Châlonnais : 11 livres 10 sols par semaine, avec éventuellement perspective de carrière s'il optait à l'avenir pour les ordres sacrés. En marge de la seconde missive, le maître de Bourges a rajouté que le chœur de sa cathédrale manquait aussi d'une haute contre.
• 11 juillet 1786, Bourges : Innocent DEMAHŸ est toujours mentionné comme maître de musique dans les délibérations du chapitre.

• 16 février 1787, Bourges : Le sieur DEMAHŸ, maître de musique de la cathédrale, reçoit la somme de 91 livres 15 sols, soit les 5/6e d'une somme de 110 livres 2 sols qu'il a dépensé pour la maîtrise.
• 4 août 1787 : "Nous avons accordé a sieur Demahy maître de musique la somme de 120 livres de gratification sans prêter à conséquence".
• 22 octobre 1787 : "Nous avons arresté de resilier le bail fait de la maîtrise des enfants de chœur de nostre église et que ledit sieur Demahy actuellement bailleste de ladite maîtrise sera averti par messieurs nos confrères chargés du gouvernement de cette maîtrise. Avons prié Mr Develard chanoine et chantre d’écrire au sieur GUILLAUME maître de musique à Troyes en Champagne pour lui offrir le bail de notre maîtrise des enfants de chœur".
Le chapitre reçoit alors Louis GUILLAUME pour nouveau maître de musique. Son profil est très proche de celui d'Innocent DEMAHY : lui aussi né en 1758, lui aussi ancien enfant de chœur à la cathédrale de Bourges, lui aussi passé antérieurement par la cathédrale de Troyes...

• 23 janvier 1788, Rouen : Le chapitre de la cathédrale reçoit une lettre de MAHY, qui propose ses services comme maitre de musique. Marie-Louis-Urbain CORDONNIER, jusque là en poste dans la cathédrale normande, a en effet annoncé son départ 15 jours plus tôt. Mais il ne s'agit que d'une manœuvre de renégociation salariale, et les maitres qui ont présenté leur candidature sont finalement éconduits.

• 7 novembre 1788, Bourges : "Nous ordonnons que le sieur Garros paiera au sieur De Mahy, chanoine semi-prébendé et maître de musique de notre église la somme de 50 livres pour les 5/6e de celle de 60 livres que nous lui avons accordé pour le dédommager de la cire qui ne lui a pas été fournit les deux dernières années à la maîtrise. L’autre 6e devant être supporter par la manse de l’ancienne Ste Chapelle." Il faut ici comprendre "ancien maître de musique", puisque Louis GUILLAUME est entré en fonction à la fin de l'année 1787.

• 18 décembre 1789, Bourges : Le chapitre passe avec lui un bail à vie pour la jouissance d'une maison canoniale.

1790 : Innocent DEMAHŸ est un des 31 membres de la communauté des vicaires de la cathédrale de Bourges, ce qui lui donne droit annuellement à une portion de 116 livres. Il est chanoine semi-prébendé, et le chapitre déclare lui verser un revenu de 1 186 lt. Les autres chanoines semi-prébendés sont alors Pierre LEMAIRE, Pierre SOUMARD, Marie Séraphin GUYARD, Pierre-Antoine LAURENT (haute-contre), Joseph LEFRANC, Pierre MOUREIRE [ou MOUREYRE], sacristain, et le nouveau maître de musique, Louis GUILLAUME.
• 15 octobre 1790 : Le nom de DEMAHŸ figure dans le "relevé des impositions ordinaires sur Messieurs de l'église de Bourges pour l'année 1790", à hauteur de 4 livres. Il réside dans la paroisse Saint-Pierre le Puellier.
• [Novembre 1790] : Le directoire détaille ses revenus afin de fixer son traitement :

  • 1° comme semi-prébendé et ayant portion dans les fondations : 875 lt
  • 2° comme titulaire : 200 lt
  • 3° comme membre : 116 lt
  • 4° comme ayant droit : 21 lt
  • 5° comme hebdomadier : 4 lt
  • 6° la somme de 156 lt qui lui étoit payée tous les ans par le chapitre : 156 lt
    Total : 1 373 lt. "Le traitement du Sr Demahis doit être de 1 000 lt pour le minimum et de 186 lt pour la moitié de l'excédent, soit 1 186 lt".

• 8 novembre 1790 : Le chapitre cathédral de Bourges déclare qu'il est âgé de 32 ans et que la maison qu'il occupe grâce à un bail à vie peut être évaluée à 200 lt. Son nom figure dans la liste des 4 semi-prébendés qui reçoivent 3 livres par semaine au titre de leur résidence et celle de la communauté des vicaires reçus dans les ordres sacrés, recevant de ce fait une portion entière.

• [Mars 1791] : L'administration procède à l'estimation détaillée de ses revenus afin de fixer sa pension.

  • "1° Comme semi prébendé en l’église de Bourges : 596 lt, faisant avec 113 lt pour les ammanon par nous arrêtée la somme de 709 lt
  • 2° Comme titulaire de la vicairie de St Nicolas, fondée dans laditte église 200 lt réduitte à laditte somme par la déduction du 20e pour les réparations d’entretien, à cause d’une portion de dixme qui en dépend
  • 3° comme ayant droit à une portion dans les revenus de la communauté des vicaires ainsi qu’il est porté dans l’état général arrêté des dits revenus :116 lt
  • 4° comme jouissant d’une des 20 portions de vicaire simple pour droit aux fondations toute l’année en sa ditte qualité de semi prébendé : 21 lt
  • 5° comme hebdomadier en sa qualité de semi-prébendé : 4 lt
  • 6° comme ayant la jouissance à vie d’une maison canoniale"

Total : 1 050 lt.

L'administration estime que le traitement du réclamant doit être fixé à la somme de :

  • "1° 1 000 lt
  • 2° 26 lt faisant moitié de l’excédent, ce qui doit porter ledit traitement à la somme de 1 026 lt, a été rejeté du traitement la maison canoniale dont il avoit la jouissance par bail à vie par acte capitulaire du 18 décembre 1789, attendu que la date dudit bail à vie est postérieure au 2 novembre 1789."

• [1791 ou début 1792], Bourges : DEMAHY est ordonné prêtre par l'évêque constitutionnel du Cher, à une date qui reste à découvrir [voir ci-dessous en 1804-1806].

• 26 mai 1792, Bourges : Innocent DEMAHŸ, premier vicaire de la paroisse Saint-Bonnet (800 lt par an), ayant demandé à jouir de la totalité de sa pension de retraite (1 186 lt), le directoire arrête qu'il recevra la moitié de sa pension, plus les 800 livres qu'il doit recevoir comme vicaire.
• Juillet et octobre 1792 : Il touche pour chaque trimestre 148 livres de traitement. Il est dit "absent". Sans doute est-il déjà parti à Paris.
• [1792] : Innocent DEMAHY, âgé de 36 ans, s'établit à Paris. Il réside 942 rue du Bac et exerce le métier de "vicaire de la paroisse" [Saint-Sulpice ?]. La démarche ultérieurement effectuée dans le cadre de la légation Caprara le dit "vicaire de Saint-Thomas-d'Aquin à Paris". La carte de sûreté délivrée à l'occasion de sa venue le dit natif d'Aubigny-sur-Nère, arrivant de Bourges et âgé de 36 ans.

• 28 frimaire an II (18 décembre 1793), Paris : Dans la section de la Municipalité, DEMAHY – curieusement prénommé Prudent – se marie avec Jacqueline-Marie Pinon, fille d'Amable-François Pinon et de Marie-Charlotte-Françoise Pigeolot. Le mariage n'étant actuellement documenté que par le fichier Andriveau, on ne dispose d'aucun autre détail, notamment sur le plan professionnel.
Le couple a au moins deux filles, Laure-Marie-Victoire et Marie Henriette Aimée.

• 1802, Paris : Innocent DEMAHY est inscrit (une fois) comme auditeur des cours de Jean-Baptiste Lamarck au Muséum d'histoire naturelle. Sur le registre, il se dit "propriétaire".

• 27 mars 1804, Paris : Dans l'église de Saint-Nicolas-du Chardonneret, est célébré le mariage religieux d'Innocent DEMAHY et de  Jacqueline-Marie Pinon. Le marié est enregistré comme étant domicilié 99 rue Copeau, tandis que la mariée est domiciliée 30 rue des Fossés St-Victor, sans doute par souci des convenances.

• [1804-1806] : Innocent DEMAHY, "prêtre, ordonné par l'évêque constitutionnel du Cher, vicaire de Saint-Thomas-d'Aquin à Paris, marié avec Marie Pinon-Duclos", fait une demande de réconciliation dans le cadre de la légation Caprara.

• • •

• Octobre 1824, Paris : Il est dit décédé lors du mariage religieux (à Saint-Nicolas-du Chardonneret) d'une de ses filles, Laure-Marie-Victoire, domiciliée 13 rue des Fossés St-Bernard. Sa veuve, en revanche, est toujours vivante.

• 30 décembre 1830, Paris : Sa veuve Jacqueline-Marie Pinon Duclos, institutrice, s'éteint à l'âge de 67 ans, n°43 rue de la Verrerie.

• 4 février 1836, Paris : Orpheline de ses deux parents, Marie-Henriette-Aimée De Mahy, domiciliée 35-37 rue de la Verrerie, se marie à St-Merry avec Laurent Bourdon.

Mise à jour : 21 juillet 2020

Sources
M.-R. Renon, La Maîtrise de la cathédrale Saint-Étienne…, 1982 ; F-Ad18/ 1 L 198 ; F-Ad18/ 1 L 634 ; F-Ad18/ 1 L 635 ; F-Ad18/ 1 L 638 ; F-Ad18/ 3 E 0104 ; F-Ad18/ 8 G 143 ; F-Ad18/ 8 G 207 ; F-Ad18/ 8 G 208 ; F-Ad18/ 8 G 208  ; F-Ad18/ 8 G 209 ; F-Ad18/ BMS Aubigny-sur-Nère ; F-Ad18/ Q 279 ; F-Ad18/ Q 281 ; F-Ad51/ 1L 1333 ; F-Ad75/ DQ8 ; F-Ad75/ Mayet T071 ; F-Ad75/ état civil reconstitué ; F-Ad76/ G9861 ; F-Ad76/G9861 ; F-An/ AF/IV/1914 ; F-An/ AJ*/15/144 ; F-An/ F7/4794 ; F-Filaé/ Fonds Andriveau ; F. Lesure, Dictionnaire musical... 1999 ; Journal des chanoines Malyvert et Bengy, 1941 ; M.-R. Renon, Cahiers d'archéologie et d'histoire du Berry, 2007 ; M.-R. Renon, La Maîtrise de la cathédrale Saint-Étienne…, 1982 ; M.-R. Renon, La maîtrise de la cathédrale Saint-Étienne de Bourges..., 1982.  ; M.-R. Renon, La musique à la Sainte-Chapelle de Bourges [...], sd. ; Th. de Brimont, M. de Puységur et l'église de Bourges pendant la Révolution…,1896

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