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DOUVILLE, Henry François (1756-1813)
État civil
NOM : DOUVILLE     Prénom(s) : Henry François     Sexe : M
Autre(s) forme(s) du nom : Henri
Date(s) : 1756-10-27   / 1813-2-9 
Notes biographiques

Henry-François – ou François-Henry – DOUVILLE est un musicien atypique dont l'itinérance est autant géographique que professionnelle. Il commence un parcours de musicien d'Église en vicariant, est maître d'écriture, instituteur... peine à trouver sa place que ce soit à l'Église ou en ville. La période révolutionnaire lui permet de se révéler. De la Normandie à la Bretagne en passant par l'Anjou, il exerce différents métiers, se marie à plusieurs reprises.... La lecture des éléments biographiques se brouille. Mais qui est donc Henry François DOUVILLE ?

• 27 octobre 1756, Rebets [Seine-Maritime] : Henry-François DOUVILLE est baptisé le jour de sa naissance à Rebets, diocèse de Rouen, petit village situé à 26 km au nord-est de Rouen, grossièrement à mi-chemin entre Rouen et Gournay-en-Bray. Il est le fils de François Douville, maître d’école de la paroisse, et de Marie Bullard/Bulard. Son parrain est le curé du lieu, Henry-Antoine Heurtault, ce qui manifeste les liens existant entre le clergé paroissial et le maître d'école, lequel est très certainement chantre au lutrin dominical. La marraine est Marie Regnard, bourgeoise de Paris, demeurant en cette paroisse. Tous signent, de même que le père.
Quelques années plus tard, en 1762, lors du baptême d’un de ses frères, Louis-Joseph, à Forges-les-Eaux, leur père est qualifié de “clerc laïque”, ce qui dans les paroisses normandes recouvre en effet prioritairement les fonctions de chantre.
• 1er novembre 1762, Forges-les-Eaux [Seine-Maritime] : Marie Bulard est inhumée dans le cimetière de la paroisse en présence de son mari, François Douville, "clerc laïque" laissant des orphelins dont le jeune Henry François.

• [1763-1773 environ] : Où le jeune garçon a-t-il reçu sa formation musicale ?

• [1774], Fécamp [Seine-Maritime] : DOUVILLE est reçu musicien à l'abbaye bénédictine de La Trinité, qui entretient un puissant corps de musique. Dans un courrier par lui écrit en 1792, il dit être "resté à l'Eglise des Bénédictins de Fécamp depuis 1774 jusqu'en 1787". On verra ci-après que c'est en réalité un peu plus compliqué que cela...

• 14 novembre 1777, Gaillefontaine [Seine-Maritime] : François-Henry DOUVILLE – dont le métier n'est pas indiqué – se marie une première fois, avec Marie-Catherine Laïné, fille majeure d'un huissier. Pour parvenir à ses fins, la jeune femme a dû adresser à son père des sommations respectueuses par l'entremise de Boulanger, notaire du lieu. Le jeune marié – il a 21 ans – est accompagné de son père, et de quatre hommes sur lesquels rien n'est dit mais qui pourraient éventuellement être des amis musiciens : Nicolas Dupré, François Bourdet, Robert Carment et Jean-Charles Lesueur.
Le marié est dit "de droit de la paroisse de Forges [où sans doute demeure son père], actuellement dans celle d'Aumale", deux paroisses où a donc été publié un ban (dispense des deux autres a été accordée par l'évêque de Rouen l'avant-veille). L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul d'Aumale, à 17 km au nord-est du lieu de ce mariage, possédait des orgues depuis le XVIe siècle et probablement un petit corps de musique. Selon le certificat qu'il réclame en 1792, le jeune homme est pourtant censé durant cette période être employé à l'abbaye de Fécamp, à plus de 100 km de là. Or, si les règles de droit canonique ont été respectées, cela fait plus d'une année qu'il en est parti, sinon il aurait fallu aussi y publier des bans.

• 31 juillet 1781, Bézancourt [Seine-Maritime] : François-Henry DOUVILLE est maître de pension lorsque son épouse Marie-Catherine Lainé met au monde un garçon, dans des conditions difficiles. Malgré l'aide de la sage-femme et du chirurgien, l'enfant meurt à peine ondoyé. Bézancourt est situé à 26 km au sud de Gaillefontaine, le lieu du mariage de novembre 1777, à proximité de Gournay-en-Bray. Donc toujours aussi loin (110 km) de l'abbaye de Fécamp !

• Dans la seconde moitié de 1781 ou courant 1782, le couple Douville-Lainé s'installe à Fécamp, sur la paroisse Saint-Fromont.

• 14 septembre 1782, Fécamp : Né le jour-même, un petit Jean-Baptiste-François est baptisé. Il a pour parrain un peintre et pour marraine une couturière. Son père est dit "maître d’écriture". C'est le fils que l'on retrouvera un peu plus tard lors du baptême d'un "fils putatif" d'Henry François avant de perdre définitivement sa trace.
• 5 novembre 1782 : Jamais remise de ses couches de mi-septembre, Catherine Lainé, femme de Henri-François DOUVILLE, "maître d’écriture et musicien", décède à l'âge d’environ 31 ans.

• 10 juin 1783, Fécamp : Dans l'église Saint-Thomas est célébré le mariage entre François-Henry DOUVILLE, musicien, veuf de Catherine Lainé, âgé de 27 ans, avec une jeune couturière de 17 ans, Catherine-Jeanne Gouast. Native de la paroisse où a lieu le mariage, elle est fille de Michel GOUAST et sœur de Michel GOUAST fils, tous les deux musiciens à l'abbaye. Le marié, quant à lui, demeure toujours paroisse Saint-Fromont de Fécamp.
• 21 octobre 1783, Fécamp : Quatre mois et dix jours après les noces… Pierre-Antoine-Henry, fils de Henry-François DOUVILLE, musicien, et de Catherine Gouast, est baptisé à l'église paroissiale Saint-Thomas de Fécamp. Le parrain est Antoine CLOQUET, musicien, et la marraine Marie-Thérèse Gouast, couturière.

• 13 septembre 1785, Fécamp : François DOUVILLE, musicien, assiste et signe au mariage de son beau-frère Pierre-Joseph-Michel GOUAST, fils de son collègue Michel GOUAST, musicien. À 23 ans, le jeune homme épouse lui aussi une couturière de 17 ans.

• 15 décembre 1786, Fécamp : Quatre ans après le décès de sa première épouse, Henry-François DOUVILLE, "musicien", voit mourir sa deuxième, Catherine-Jeanne Gouast. Elle avait vingt ans.

• 2 avril 1787, Rennes [Ille-et-Vilaine] : Le chapitre de la cathédrale Saint-Pierre reçoit Henri-François DOUVILLE pour choriste et musicien, à commencer de la veille. Il lui est demandé de "présenter incessamment ses attestations au chapitre". Il est dit "natif de la paroisse de Forges-les-Eaux diocèse de Rouen", ce qui est une erreur, ou peut-être une confusion avec le lieu où ont résidé à une période ses parents ?
Il ne ré-apparaît pas ensuite dans le registre capitulaire rennais, sans que l'on sache au juste s'il y a réellement exercé, et si oui, jusqu'à quelle date. Si Rennes a été sa première étape – ou l'une de ses premières étapes – après Fécamp (285 km), il poursuit ensuite son périple vers le sud, et on le retrouve à Nantes.

• [avril 1787]-31 août 1791, Nantes [Loire-Atlantique] : Le chapitre cathédral reçoit en 1787 trois choristes : le sieur HUBERT - basse-contre - du diocèse de Meaux, François Jude MERY - haute-contre - de Saint-Gervais d'Avranches et Henri François DOUVILLE du diocèse de Beauvais, chantant la basse-taille, à la condition que tous trois "se perfectionneront dans la musique en prenant un maître, une retenue devant être faite sur leurs gages pour payer ledit maître".

• 16 octobre 1788, Nantes : Une nommée Louise Douville fait baptiser paroisse Saint-Similien, Henri François, né la veille de père inconnu. Le parrain est un Jean Coiscaud, la marraine Marie Levraud qui signent avec la sage-femme Dame Chozel. Cette naissance, incongrue dans le parcours du musicien DOUVILLE, en est néanmoins un marqueur. Sa dernière épouse est originaire de Saint-Similien et il adoptera le petit Henri François lors de son mariage en 1794 à Ancenis après l'avoir fait baptiser à Angers en 1792. Louise Douville est-elle une sœur, une cousine ? S'est-elle réfugiée à Nantes ? Est-elle décédée peu après la naissance ? Pourquoi substitue-t-il à la mère Louise sa future épouse en 1792 ?

• 10 mars 1789, Nantes : Dans l'église paroissiale Saint-Vincent de Nantes, François-Henri DOUVILLE, "musicien et maître d’écriture", deux fois veuf, épouse Marie-Anne Victoire DEVERT, 46 ans, veuve de Jean-Antoine FINELLY, fille d’Antoine Devert, maître d’armes, par ailleurs connue comme elle-même musicienne. Signent André Querrion, Joseph JOLLY, "musicien titulaire de l’Eglise de Nantes", Julien Joachim Barthélémy et Jean Doizé-Marin. DOUVILLE, nantais, semble s'être reconverti en ville ainsi que l'indiquent les registres de capitation qui le répertorient comme seconde basse-taille de la troupe de l'Opéra, demeurant à Briord.

En 1790, le corps de musique de la cathédrale Saint-Pierre, placé sous l’autorité du maître de musique François CAPPA-LESCOT, est constitué de deux haute-contre Vincent Pierre GAUTIER et François Jude MÉRY, une haute-taille Joseph JOLY, deux basse-taille Henry François DOUVILLE, Vincent LA MARRE, trois basse-contre, Étienne François PICARD, Jean-Baptiste DONON et HUBERT deux serpents/basse-taille Jean GILLET et Pierre RAGUENEAU – ce dernier jouant également du basson. Deux musiciens symphonistes sont employés régulièrement par le chapitre, à savoir les sieurs JULIEN et Laurent MARIE. L’organiste Denis JOUBERT est quant à lui maître de sa tribune.
Quatre maires-chapelains étoffent le chant à savoir Urbain MABILLE, Charles CHAUVET, Pierre François CHEVREUIL et Jean Toussaint POIGNAUD ainsi que deux sous-chantres Jean François VASSAL et Louis GODÉ. Le diacre Barthélémy BRIAND et le sous-diacre Jacques Joseph RIVIÈRE complètent la structure cantorale.
La psallette est composée de six enfants de chœur identifiés (8 selon certains documents) qui dépendent du maître de musique aidé d’un maître de grammaire, le sieur Praud.

• La même année 1790, en septembre, le couple DEVERT / DOUVILLE se sépare. Marie-Anne-Victoire, qui se fait appeler "Madame Finelly" (du nom de son précédent mari) est revenue à Angers [Maine-et-Loire], chez son père, rue de la Roë. Elle annonce dans la presse qu'elle "désire faire sa résidence en cette ville" et qu'elle enseigne "la musique vocale, le violon & la guitare". Le divorce n'est probablement prononcé qu'en 1794. En effet, le 5 Nivôse An II [25 décembre 1793], Marie Anne Victoire DEVERT, présente à l'inhumation d'un enfant de sa fille Victoire Pélagie FINELLY, déclare être veuve de Jean Antoine FINETTY et... femme DOUVILLE.

• 31 août 1791, Nantes : Cette date marque le dernier versement des gages des musiciens de l'Église de Nantes à l'exception de quatre d'entre eux admis à continuer leur service qui s'arrêtera en août 1792, à savoir LAMARRE et PICARD pour la cathédrale Saint-Pierre ainsi que GAUDINEAU et POTIRON pour la ci-devant collégiale Notre-Dame. DOUVILLE est a priori trop jeune pour prétendre à quelque indemnisation complémentaire. Compte tenu de la suite de sa carrière et de ses convictions, il est vraisemblable qu'il ait participé à un moment ou un autre à la garde nationale de Nantes.

• 21 mars 1792, Angers [Maine-et-Loire] : Le Sieur Henry François DOUVILLE, maître d'écriture, natif de Rebais, fait baptiser paroisse Saint-Maurice, Henry Pierre François, enfant "qu'il a reconnu pour son fils naturel" ayant pour mère Demoiselle Victoire Perrine Le Roy, fille mineure originaire de la paroisse de Saint-Similien de Nantes. Le parrain désigné est son frère consanguin, Jean François Douville, issu de la première union du père. La marraine est la femme de l'huissier Trioche. Le baptême est célébré par le vicaire épiscopal.
Si les registres paroissiaux de Nantes, Saint Similien (et non Saint-Saturnin comme indiqué dans l'acte) répertorient le baptême de l'enfant le 15 octobre 1788 tel qu'énoncé. Henri François est né au Marchix "de la nommée Louise Douville fille" et présenté par une sage-femme. Les pistes sont brouillées, comme si les liens de parenté devaient s'effacer, rester dans l'ombre d'un secret de famille.

• 27 septembre 1792, Pont-Audemer [Eure] : Henri-François DOUVILLE est revenu (provisoirement) en Normandie puisque c'est de Pont-Audemer qu'il écrit aux administrateurs du District de Cany [Seine-Maritime] pour leur demander une attestation des treize ans qu'il aurait passés au service de l'abbaye de Fécamp. Il écrit : "Ayant été Musicien de Cathédrale presque toute ma vie et étant resté à l'Eglise des Bénédictins de Fécamp depuis 1774 jusqu'en 1787, je vous serois très obligé, Messieurs, de m'envoyer une attestation des années de service que j'ai passées dans cette église". Il termine en se disant "votre très respectueux concitoyen" (formule qui remplace l'ancienne tournure habituelle "votre humble et obéissant serviteur" et affirme l'égalité entre tous les hommes). Il signe "Douville", avec une ruche et un paraphe élégants.

• 23 août 1793, Pont-Audemer : Le sieur DOUVILLE reçoit 25 livres d'honoraires comme chantre de la paroisse Saint-Ouen. Cela correspond, écrit-il sur la quittance qu'il rédige de sa main, à trois mois de service, "commencés le Premier de janvier et finis dans le mois de May dernier" [ce qui couvre donc en réalité entre quatre et cinq mois…]. Il signe "Douville instituteur" avec une jolie ruche. Il s'agit bien de la signature habituelle d'Henri-François DOUVILLE.

*****

Si Henry François DOUVILLE a eu une carrière morcelée, une vie inconstante, la période révolutionnaire ouvre un chapitre où il semble trouver sa place tant professionnellement qu'affectivement. Son engagement au service de la République permet de suivre ses activités à et autour d'Ancenis où il s'installe.

• 30 Germinal An II [19  avril 1794], Ancenis [Loire-Atlantique] : DOUVILLE  fait partie du Directoire du district d'Ancenis en tant qu'agent national, une fonction qu'il prend à cœur.

• 12 Prairial An II [31 mai 1794], Ancenis : Lors d'une de ses premières missions il sillonne le district "pour ranimer l'esprit public et surveiller l'exécution des lois". À son retour il alerte surtout le Directoire sur la présence des Chouans qui multiplieraient les sévices sur les Républicains. Il est chargé d'en informer les Représentants du Peuple à Nantes.

• 10 Thermidor An II [28 juillet 1794], Ancenis : Henry-François DOUVILLE "agent national près le district" [d’Ancenis], 37 ans, originaire de Rebais, district de Rouen, épouse Victoire-Perrine Le Roy, 24 ans, de Nantes. Le mariage est célébré en présence de nombreux responsables locaux : Joseph-Marie Ducellier, ex-maire d’Ancenis, Richard-Philippe Hugent, ex-agent national, Alexandre Laheu, commissaire national, et Mansion, lieutenant de gendarmerie. On devine là l'implication active du musicien dans le nouveau régime.
Aussitôt, les nouveaux époux reconnaissent un enfant né le 15 octobre 1788 sur la paroisse Saint-Saturnin [Saint-Similien] de Nantes, prénommé Henry. C'est une adoption plénière.

• 10 Vendémiaire An III [1er octobre 1794], Ancenis : La ville célèbre une Fête révolutionnaire "en grande pompe" en présence des corps constitués, gare nationale, garnison... et musique militaire, celle du 1er bataillon d'infanterie légère de Nantes venu spécialement. À suivre l'abbé Grégoire, c'est probablement à "la fête de la Souveraineté du peuple, [que DOUVILLE] a chanté l'O fîlii des théophilanthropes et récité le Pater républicain". DOUVILLE, agent national se distingue également en prononçant un discours patriotique "ardent et ampoulé" ainsi qu'il est rapporté, aux cris de "Vive la République". La Fête se conclut avec la plantation d'un arbre de la Liberté suivie d'une collation. Un rituel qui n'est pas sans rappeler celui des Te Deum de l'Ancien Régime.

• 30 Ventôse An III [20 mars 1795], Ancenis : Les Représentants du Peuple renouvellent certains administrateurs du Directoire et confirment DOUVILLE comme agent national.
• 7 Fructidor An III [24 août 1795] : DOUVILLE, toujours membre du Directoire, rédige une belle proclamation vantant la nécessité de l'éducation pour les enfants du peuple. "L'éducation est absolument nécessaire : sans elle on ne jouit d'aucune considération, on n'est bon à rien ; avec elle on peut parvenir à toutes les places, on peut être utile à son pays et à la société". Son projet est agréé, un lieu trouvé (l'ancien presbytère). Le Directoire propose donc donc à DOUVILLE d'en devenir instituteur  aux appointements fixés par la Convention, ce qu'il accepte provisoirement.

• 1er Pluviôse An IV [21 janvier 1796], Ancenis :  Henry François DOUVILLE déclare le décès de son fils Henry François à l'âge de sept ans. Il est domicilié à Ancenis.
• 18 Fructidor An IV [14 septembre 1796] : L'administration départementale nomme un instituteur, le citoyen Radais, moyennant une indemnité annuelle de 300 francs. La citoyenne Potiron est quant à elle nommée institutrice primaire aux mêmes conditions.

• An V-An VII [1796-1799], La Rouxière [Loire-Atlantique] : DOUVILLE est devenu notaire de cette localité située à une douzaine de kilomètres au nord-est d'Ancenis où il a fondé une étude. 

• An VII-An IX [1798-1801], La Rouxière : Les archives du pouvoir exécutif mentionnent l'activité de DOUVILLE tout comme les archives parlementaires. Il est toujours agent national en 1801, commissaire municipal provisoire et procureur syndic du district d'Ancenis.

• 1801-1813, Nantes : La carrière d'Henry François DOUVILLE reste à documenter pour cette période où il revient à Nantes, et exerce comme instituteur.

• 9 février 1813, Nantes : Henry François DOUVILLE, âgé de 55 ans, instituteur, meurt à cinq heures du soir à son domicile du carrefour de la Casserie (3e canton), maison Bontems. Il est époux de Victoire-Perrine Leroy. Sa veuve s'éteindra à l'Hôtel-Dieu de Nantes à 72 ans le 3 décembre 1841.

Mise à jour : 29 mars 2020

Sources
C. Mellinet, De la musique à Nantes..., 1837 ; E. Maillard, Histoire d'Ancenis..., 1881 ; F-Ad27/ 57 L 54/2 ; F-Ad35/ 1G 702  ; F-Ad44/ 4 E 29/46 ; F-Ad44/ BMS Nantes St-Similien ; F-Ad44/ BMS Nantes,St-Vincent ; F-Ad44/ L 1046 ; F-Ad44/ L 895 ; F-Ad44/ NMD Ancenis ; F-Ad44/ NMD Nantes ; F-Ad44/ Q 555 ; F-Ad49/ BMS Saint-Maurice, 1792 ; F-Ad76/ 4E 00990 ; F-Ad76/ 4E 01 963 ; F-Ad76/ 4E 02 606 ; F-Ad76/ 4E02606 ; F-Ad76/ BMS Bézancourt ; F-Ad76/ BMS Forges-les-Eaux ; F-Ad76/ BMS St-Fromont de Fécamp ; F-Ad76/ L 1538 ; F-AmNantes/ NMD Nantes ; F-An/ AF/III  ; F-An/ AF/III/241 ; F-An/ DXIX/073/522/17 ; Granges de Surgères, Les Artistes nantais... 1898. ; M-Cl.Mussat, Musique et Société…, 1988 ; P. Grégoire, Etat du diocèse de Nantes en 1790, 1882 ; P. Grégoire, Les écoles et la Révolution [en] Loire-Inférieure…, 1911

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