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GARDET, Joseph (1748-1820)
Autre(s) forme(s) du nom : GARDETTE
GARDE
GARDÉ
CARDÉ
Date(s) : 1748-4-22 / 1820-12-2
Originaire de Contes dans le Comté de Nice, Joseph GARDET s'établit - avec ses parents, ses frère et soeur - à une date encore inconnue en Bretagne. Homme aux multiples facettes : il développe, parallèlement à une activité militaire, une carrière organiste au sein de différents lieux cultuels de la ville de Morlaix mais aussi de facteur d'orgues. Franc-maçon depuis 1776 dans la loge morlaisienne de La Fidèle Union, il devient membre en 1790 de la Société populaire de Morlaix.
• 22 avril 1748, Contes [Alpes-Maritimes] : Joseph GARDET naît du mariage d'entre Joseph Gardet et Agnès Le Fevre, originaires d'Authume [Jura], en Franche-Comté. La ville de Contes, située dans le Comté de Nice, est alors occupée par le régiment français d'Île-de-France, dans lequel le père est sans doute soldat. Le parrain de l'enfant, Jean Joseph Lambertin, originaire du Dauphiné, est caporal dans ce régiment.
• Où et auprès de qui a-t-il reçu une formation musicale ?
• • •
• vers 1766 ou 1767, Morlaix [Finistère] : Joseph GARDET, d'après une supplique de mai 1791 adressée au District de Morlaix, devient organiste du couvent des Jacobins de cette ville à raison de 200 livres par an tout en cumulant les fonctions de Lieutenant des garde-côtes du bataillon de Plestin (paroisse du diocèse voisin de Tréguier).
• 22 janvier 1770, Morlaix : En l'église Saint-Melaine, Joseph GARDET épouse Guillemette Marguerite Mescam, veuve. Tous les deux sont domiciliés sur la dite paroisse. Joseph GARDET (orthographié : Gardé) est désigné dans l'acte comme "lieutenant des milices garde-côtes du bâtaillon de Plestin". Julien JACQ, organiste de la cathédrale de Saint-Pol-de-Léon, signe comme témoin du mariage. Sept enfants naissent de ce mariage, seulement 2 filles atteindront l'âge adulte (et peut-être 2 autres enfants également).
• 17 juillet 1770, Morlaix : Joseph GARDET signe comme parrain lors du baptême, en l'église Saint-Melaine, de Jeanne Françoise qui a pour père Jean Baptiste Gardet, l'un des frères de Joseph GARDET.
• 18 août 1770, Morlaix : Joseph GARDET signe, avec son frère Jean Baptiste, comme témoin lors de l'inhumation de son père également prénommé Joseph. Cette inhumation a lieu dans le cimetière de l'église Saint-Melaine.
• 16 novembre 1770, Morlaix : Un premier enfant naît du mariage Gardet et est baptisé en l'église Saint-Melaine. Son père, Joseph GARDET, est toujours qualifié d' "officier de garde-côte au bataillon de Plestin".
• 9 février 1772, Morlaix : Jean Joseph, fils de Joseph GARDET, naît et est baptisé en l'église Saint-Melaine. L'enfant a pour parrain Noble homme Jean Baptiste MORAIN "directeur de la mine de Coatnos" (située, aujourd'hui, sur la commune de Belle-Isle-en-Terre, à une quarantaine de kilomètres de Morlaix). Joseph GARDET est toujours qualifié de "lieutenant des Milices garde côtes du Bataillon de Plestin". Parmi les témoins du baptême, on note la présence du Frère François Picot dominicain, peut-être du couvent des Jacobins de Morlaix où Joseph GARDET est organiste.
• 24 décembre 1772, Morlaix : Agnès Lefevre, mère de Joseph GARDET, décède et est inhumée le lendemain dans le cimetière de l'église Saint-Melaine.
• 6 juillet 1773, Morlaix : Jean Joseph fils de Joseph GARDET décède et est enterré le lendemain dans le cimetière de l'église Saint-Mathieu. Son parrain, Jean Baptiste MORAIN, signe comme témoin de l'inhumation avec le père de l'enfant.
• 28 août 1774, Sizun [Finistère] : Joseph GARDET et Jean-Baptiste MORAIN DU COUDRAY, facteurs d'orgues, annoncent à la fabrique de l'église de Saint-Suliau la fin des travaux sur l'orgue et son renable prévu pour le mardi 3 septembre 1774. La fabrique convoque à cet effet le sieur MARQUER, facteur d'orgues demeurant à Quimper. La fabrique convoque également, pour le 13 septembre, Jean Marie Vincent LE ROUX résident à Morlaix, afin de lui confier les orgues de leur église.
• 4 septembre 1774, Sizun : Joseph GARDET, Jean-Baptiste MORAIN DU COUDRAY et la fabrique de l'église Saint-Suliau repoussent le renable de l'orgue au mardi 13 septembre.
• 13 septembre 1774, Sizun : Le renable des travaux sur l'orgue devant être effectué par Julien JACQ organiste de la cathédrale de Saint-Paul-de-Léon ne peut avoir avoir lieu car "’il y manquoit l’accorts de quelques jeux" et "[qu']il leur falloit [aux 2 facteurs d'orgues] encore quelques jours attendu qu’il leur est arrivé quelques evenement dans leur entreprise independament quils ayent [travaillé ?] jour et nuit".
• 21 septembre 1774, Sizun : Le renable est finalement effectué par Jullien JACQ. Joseph GARDET et Jean-Baptiste MORIN DU COUDRAY perçoivent 1800 livres pour les travaux effectués.
• 1775-1777, Morlaix : Deux filles naissent du mariage Gardet et sont baptisées en l'église Saint-Mathieu. La famille Gardet a donc déménagé du territoire de la paroisse Saint-Melaine pour s'établir sur celui de la paroisse Saint-Mathieu.
• juin 1776, Morlaix : Joseph GARDET, "organiste et marchand épicier détaillant, fils d'un soldat invalide tenant cabaret" est secrétaire de la loge de La Fidèle Union. D'après la liste des membres des loges maçonniques de Morlaix établi par J. Dorsel, auteur d'un article sur les loges morlaisiennes (SHAB, 1956), Joseph GARDET est également qualifié (sans en préciser la période) d'officier d'infanterie garde-côte. La loge de La Fidèle Union est la troisième et dernière loge maçonnique créée à Morlaix en 1776 avec celle de la Noble Amitié (1746) et celle de l'École des Mœurs (vers 1775). Au moment de la Révolution, la loge de la Fidèle Union sera très influente avant de disparaître courant 1792 ou 1793. Elle reprendra ses travaux en 1800.
• 1776, Saint-Jean-du-Doigt [Finistère] : S'adonnant toujours à des fonctions de facteur d'orgues, Joseph GARDET répare les orgues de l'église Saint-Jean-Baptiste.
• 11 août 1776, Brasparts [Finistère] : Le conseil de fabrique de l'église Saint-Tugen autorise Jean-François Mogy, recteur de la paroisse, à faire marché avec Joseph GARDET demeurant à Morlaix pour réparer et accorder les orgues.
• Septembre 1776-1777, Brasparts : Les comptes de la fabrique Saint-Tugen mentionnent quatre sommes provenant des reliquats des fabriques des chapelles de la paroisse (566 livres 6 sols 3 deniers en septembre 1776, 184 livres 10 sols 2 deniers en novembre 1776, 360 livres 7 sols 4 deniers en décembre 1776, 513 livres 12 sols 7 deniers en mars 1777) servant à couvrir les frais de réparations de l'orgue tant pour le facteur d'orgues, Joseph GARDET, que pour le charpentier.
• 8 août 1777, Morlaix : Naissance de Joseph, fils de Joseph GARDET, qui est baptisé le même jour en l'église Saint-Martin. L'acte de baptême précise que la famille Gardet réside rue Bouret. L'enfant a pour parrain le Sieur Guillaume Brunot, "chirurgien juré de l'amirauté".
• 19 février 1781, Morlaix : Joseph GARDET "officier d'infanterie garde cote" porte sur les fonds baptismaux de l'église Saint-Martin un garçon né la veille et prénommé Yves.
• [vers 1780], Morlaix : Joseph GARDET devient organiste de la collégiale Notre-Dame-du-Mur tout en conservant la tribune des Jacobins. Pour ce second poste, il perçoit des gages s'élevant à 200 livres.
• 1788, Morlaix : Joseph GARDET, toujours membre de la loge de La Fidèle Union, paie la capitation comme "organiste et épicier détaillant".
• 1790, Morlaix : Joseph GARDET est toujours organiste de la collégiale Notre-Dame du Mur où ses gages s'élèvent annuellement à 200 livres ainsi qu'au couvent des dominicains où il perçoit également annuellement 200 livres.
• 29 décembre 1790, Morlaix : Joseph GARDET est admis à la Société populaire de la ville sous le numéro 38. Il est dit musicien demeurant à Morlaix.
• 1791, Saint-Martin-des-Champs [Finistère] : Joseph GARDET habite sur le territoire de cette ancienne paroisse de Morlaix, devenue une commune indépendante.
• 31 mai 1791, Morlaix : Joseph GARDET adresse au district de Morlaix une pétition réclamant le paiement de ses gages comme organiste de la collégiale Notre-Dame du Mur pour la période allant du 21 juillet jusqu'au 31 décembre 1790 et du couvent des Jacobins du 23 juillet au 31 décembre 1790.
• 9 juin 1791, Morlaix : Le directoire du District est d'avis de payer les 88 livres d'appointements encore dus à Joseph GARDET en tant qu'organiste de la collégiale Notre-Dame-du-Mur. Pour les gages restants à percevoir comme organiste du couvent des Jacobins, le directoire invite Joseph GARDET à se tourner vers ses anciens employeurs. Enfin, le directoire n'est pas d'avis de lui accorder un traitement "vu le peu de services qu'il a [à la collégiale Notre-Dame du] Mur", ni pour ses servies auprès des Jacobins.
• 25 juin 1791, Morlaix : Le directoire du District ordonne le paiement de 210 livres au sieur Joseph GARDET pour ses appointements d'organiste de la collégiale Notre-Dame-du-Mur sur la période allant du 21 juillet au 31 décembre 1790 et pour ceux du couvent des Jacobins couvrant la période comprise entre le 23 juillet et le 31 décembre 1790.
• 10 décembre 1791, Morlaix : Joseph GARDET adresse une nouvelle pétition au district de Morlaix afin d'obtenir le poste d'organiste de la paroisse Notre-Dame, paroisse nouvellement créée en regroupant toutes les anciennes paroisses de Morlaix. Il demande également un salaire pour le dit poste, indiquant que l’organiste de Brest perçoit une pension de 800 livres, celui de Saint-Pol-de-Léon 600 livres et celui de Saint-Thégonnec 300 livres.
• 13 décembre 1791, Morlaix : Le municipalité émet un avis positif sur la demande de Joseph GARDET transmise par le directoire du district et portant sur sa nomination comme organiste de la paroisse Notre-Dame.
• 24 décembre 1791, Morlaix : Le directoire du district délibérant sur la pétition de Joseph GARDET, est d'avis de lui octroyer la place d’organiste de la paroisse Notre-Dame compte tenu de son ancienneté aux Jacobins, à la collégiale Notre-Dame-du-Mur, "son attachement à la constitution, son activité au service de la garde nationale". Le directoire propose un salaire s'élevant à 600 livres par an.
• Vers le 3 mars 1792, Morlaix : Joseph GARDET remplace Jean Joseph BLANCHARD comme organiste de l'église Saint-Melaine.
• 1792, Morlaix : Les comptes de la paroisse Saint-Mathieu - dressés par André Rozec, "nommé trésorier des paroisse et succursales de la dite ville" et rendus à la municipalité de Morlaix - indiquent plusieurs sommes versées à Joseph GARDET pour ses appointements en tant qu'organiste. Le compte ne précise pas la tribune occupée par Joseph GARDET : peut-être s'agit-il de celle de l'église Saint-Melaine car Joseph BLANCHARD occupe, de janvier à août 1792, celle de Saint-Mathieu.
• 13 juillet 1792, Plounéour-Ménez [Finistère] : Joseph GARDET - se disant facteur d'orgues et résident à Morlaix en la section de Saint-Martin - expertise et estime l'orgue de l'ex-abbaye cistercienne du Relec à la demande des administrateurs du directoire du District de Morlaix. Il en donne la composition et estime l'instrument à 670 livres .
• 27 septembre 1792, Morlaix : Lors de l'inhumation de Jean Joseph BLANCHARD, "en son vivant de St Mathieu", Joseph GARDET signe l'acte de sépulture avec plusieurs autres musiciens de Morlaix : Nicolas LE GUERNIGOU chantre de l'église Saint-Martin, Jean François SOURIMANT ancien chantre de la collégiale Notre-Dame-du-Mur et chantre à Saint-Mathieu, Jean Marie LE RIDELLER organiste ainsi que J.M. Le Vey ancien sacristain de la collégiale Notre-Dame-du-Mur et peut-être Maurice LARHER, ancien chantre de l'église Saint-Martin.
• 1792 ou 1793, Morlaix : D'après un article de J. Dorsel étudiant les loges maçonniques morlaisiennes, Joseph GARDET, toujours membre de la loge de la Fidèle Union, est officier municipal.
• 24 mars 1793, Morlaix : Joseph GARDET et son épouse Guillemette Marguerite Le Mescam qui demeurent toujours en la section de Saint-Martin, signent comme témoin d'un décès. Joseph GARDET est dit maître de musique.
• 21 juillet 1794, Morlaix : Joseph GARDET, commandant en chef du second Bataillon de la Garde Nationale de Morlaix, signe comme témoin lors d'un mariage. Parmi les autres témoins, on trouve également Michel Gilbert, tailleur et maire de Morlaix, dont Joseph GARDET signera par la suite comme témoin lors de la naissance de 3 de ses enfants.
• 16 octobre 1794, Morlaix : Marguerite Mescam, épouse de Joseph GARDET musicien et chef du second bataillon de la Garde nationale de Morlaix, signe comme témoin d'une naissance.
• 1795-1797, Morlaix : Joseph GARDET signe par trois fois comme témoin de naissance d'enfants de Michel Gilbert, tailleur à Morlaix. Dans deux des trois actes, Joseph GARDET est qualifié de professeur de musique tandis que dans le troisième, il est juste dit musicien. L'acte ne précise pas où demeure notre homme mais on peut supposer qu'il habite place de la Poissonnerie, Section de la Roche à Morlaix.
• du 21 mai au 14 juillet 1795, District de Morlaix : Joseph GARDET - qualifié d'artiste et d'expert - estime les orgues des églises de Morlaix (Saint-Martin-des-Champs, Saint-Melaine, Saint-Mathieu (3 jours), la collégiale Notre-Dame-du-Mur), de Saint-Théogonnec, de la cathédrale de Saint-Pol-de-Léon, de Roscoff, de Ploujean, de Saint-Jean-du-Doigt, de Pleyber-Christ (3 jours), de Plouézoc'h (3 jours), de la communauté des Jacobins de Morlaix, de l'église des Ursulines de Morlaix (2jours), de la communauté des Bernardins du Relecq en la commune de Plounéour-Ménez ainsi que de l'orgue de la résidence morlaisienne de l'évêque de Léon (2 jours). Sauf indication contraire, Joseph GARDET passe 4 jours par lieu pour estimer un orgue à raison de 60 livres la journée à l'exception des orgues des jacobins de Morlaix, de celui de Saint-Martin-des-champs, de celui de Saint-Melaine (Morlaix) et de celui de la collégiale Notre-Dame-du-Mur (Morlaix) où il perçoit 35 livres par journée. Joseph GARDET demande donc 2 780 livres pour avoir estimé les dits orgues. Pour chaque instrument (sauf de celui des Jacobins de Morlaix dont l'estimation n'a pas été conservée), il donne la composition.
• 11 septembre 1795, Morlaix : Le directoire du District de Morlaix est d'avis que les "2 780 livres soit allouées et payées audit Citoyen Joseph GARDET".
• janvier-mars 1799, Morlaix : Joseph GARDET - toujours musicien demeurant place de la Poissonnerie, Section de la Roche à Morlaix - signe comme témoin lors du décès de deux enfants de son voisin Michel Gilbert, tailleur et maire ou ancien maire de Morlaix.
• 1800, Ploujean [aujourd'hui rattaché à Morlaix] : La famille La Fruglaye, demeurant à Keranroux, paie 159 livres à Joseph GARDET "pour échange d'un forté piano anglais" ainsi que 60 livres par mois pour des leçons de forté.
• 1er septembre 1801, Morlaix : Guillemette Marguerite Mescam, épouse de Joseph GARDET qui est dit musicien dans l'acte, signe comme témoin d'une naissance. Les époux GARDET demeurent toujours à Morlaix.
• 1802, Ploujean [aujourd'hui rattaché à Morlaix] : La famille La Fruglaye rémunère 228 livres Joseph GARDET pour 2 mois de leçons de piano.
• 16 mars 1802, Morlaix : Joseph GARDET, musicien, signe comme témoin de la naissance de Marie Charlotte fille de Jean Forest, musicien à Morlaix.
• 12 mars 1809, Morlaix : Maître de musique à Morlaix, Joseph GARDET signe comme témoin du décès d'un garçon mort-né du mariage d'entre sa fille Julienne Gardet et Jean baptiste Bécheret, pharmacien, demeurant Pont-Neuf, section des Halles.
• 1810, Morlaix : Joseph GARDET, exerçant toujours comme professeur de musique à Morlaix, signe comme témoin lors de la naissance de deux de ses petits enfants.
• 1er novembre 1812, Morlaix : Lors du décès de Marie Françoise, l'une des filles de Joseph GARDET, son père est simplement qualifié dans l'acte de professeur sans plus de précision.
• 18 juillet 1814, Morlaix : Guillemette Marguerite Le Mescam, épouse de Joseph GARDET, décède en leur domicile situé rue de Bourret, section de la Roche. Son époux est toujours qualifié de professeur de musique.
• 2 décembre 1820, Morlaix : Joseph GARDET, professeur de musique, meurt en son domicile situé Place de la poissonnerie, section de la Roche.
Mise à jour : 1er août 2022