Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Alpes-Maritimes
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Somme
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
MOYER, Jean-Baptiste (1745-1802)
Date(s) : 1745-2-6 / 1802-2-1
Jean-Baptiste MOYER (1745-1802) est sous-chantre, puis chantre en la collégiale de Braux (Ardennes) à la fin de l'Ancien Régime.
• 6 février 1745, Estrebay [Ardennes] : Naissance et acte de baptême de Jean-Baptiste MOYER, fils de Ponce Moyer, maître d’école [à Guignicourt en 1766], et de Jeanne Marie Polet, mariés ensemble, habitants de ce lieu. L'acte de décès le prétend né à Guignicourt.
• 24 juin 1764-25 décembre 1778, Braux [Ardennes] : Jean-Baptiste MOYER est sous-chantre en la collégiale de Braux.
• 4 février 1766, Braux : Jean-Baptiste MOYER, 22 ans, maître d’école de Braux, de droit de la paroisse de Guignicourt, de fait de celle de Braux, épouse Marie Joseph Mernier, 24 ans, fille d'un laboureur.
• 25 décembre 1778-1790, Braux : Jean-Baptiste MOYER est chantre en la collégiale de Braux ; il touche 552 livres par an à ce titre et 200 livres en tant que greffier du bailliage de Braux.
• 25 janvier 1785, Braux : Il épouse en secondes noces Marie Anne Sarrazin, majeure. Le consentement est reçu par Jacques Hénon, prêtre chanoine de l’église collégiale de Braux, en présence du prévôt du chapitre.
• [vers 1791] : Jean-Baptiste MOYER obtient une pension de 200 livres par an.
• 14 octobre 1792, Braux : Il prête serment d’être fidèle à la nation et de maintenir la liberté et l’égalité ; il qualifié de ci-devant chantre pensionné.
• 9 novembre 1794, Braux : Jean-Baptiste MOYER est qualifié de greffier dans un acte d'état civil (au service de la municipalité ?).
• 17 août 1798, Braux : Jean-Baptiste MOYER, ex-chantre de la ci-devant collégiale de Braux, résidant à Braux avec sa femme et sa famille, reçoit un certificat de vie ; il a constamment payé ses impôts et n’a pas rétracté les serments exigés par les lois des 15 août 1792 et 19 fructidor an V.
• 22 janvier 1799, Braux : Jean-Baptiste MOYER, ex-chantre, pensionnaire de la République, prête serment de haine à la royauté et à l’anarchie, d’attachement et de fidélité à la République et à la constitution de l’an III.
• 1er février 1802, Braux : Marie Anne Sar[r]azin et Joseph Moyer, épouse et fils de Jean-Baptiste MOYER, tisserand, déclarent le décès de ce dernier à l'âge de 57 ans.
Mise à jour : 11 novembre 2016