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PÉRIGORD, Louis (1747-1823)
Autre(s) forme(s) du nom : PERRIGORD
Date(s) : 1747-12-12 / 1823-9-10
Fils d'un perruquier blésois, Jean PÉRIGORD est formé à la psallette de la cathédrale de sa ville natale avant d'entamer une carrière de musicien itinérant entre Le Mans, Bourges, où il se marie, Soissons et Tours. C'est finalement dans cette dernière ville qu'il se fixe en étant reçu basse-taille à la cathédrale Saint-Gatien en 1777. Deux ans plus tard, les chanoines lui interdisent de pratiquer le métier de maître d'école mais l'emploient à plusieurs reprises à l'impression de livres liturgiques. À la suppression du chapitre, il continue de chanter à la nouvelle paroisse jusqu'en avril 1793. L'année d'après, on le repère à Montlouis, sur les bords de Loire, à l'est de Tours, il est instituteur. Certains l'accusent de propos séditieux et son métier d'ancien chantre à la cathédrale ne semble pas plaire à tout le monde. Finalement, il est relâché de prison. En 1795, il devient instituteur à Rochecorbon et dans deux communes avoisinantes. Il meurt sous la Restauration à Tours.
• 12 décembre 1747, Blois : Louis PÉRIGORD voit le jour et il est baptisé paroisse Saint-Honoré. Il est le fils de Jean Périgord, maître perruquier, et de Marie Belliard. Son parrain est le fils d'un ancien maître en la chambre des comptes de Blois et sa marraine, la fille d'un noble du Vendômois.
• 13 juin 1755, Blois : Il est reçu comme enfant de chœur à la psallette de la cathédrale Saint-Louis. Il y reste une dizaine d'années. Il est formé successivement par François Joseph CHEVALIER, Jacques MATOULET et François BARBIER. Parmi ses condisciples, on connaît Pierre-Louis CHAUVIN, qui deviendra organiste.
• 28 février 1760, Blois : Gabriel PERIOU, musicien chapelain, présente aux chanoines une plainte rédigée et signée par lui dans laquelle il récuse l'accusation portée par l'abbé François Joseph CHEVALIER, le maître de musique de la cathédrale, qu'il est le concepteur du vol de deux paires de bas et d'une culotte effectué par l'enfant de chœur PÉRIGORD et demande qu'on lave au plus vite son honneur bafoué. CHEVALIER, cité à son tour, maintient sa version, affirmant que l'enfant de chœur avait nommément désigné PERIOU. L'enfant convoqué le 1er mars, explique qu'il a subi de fortes pressions du maître de musique, et des menaces d'être fouetté, pour désigner PERIOU.
• [Vers 1765] : Il sort de la psallette de Blois.
• [1766 à 1777] : Louis PÉRIGORD mène une carrière de musicien itinérant et on relève son nom dans plusieurs églises : Saint-Pierre-la-Cour du Mans, la cathédrale de Blois, la cathédrale Saint-Étienne de Bourges, la cathédrale de Soissons.
• Toussaint 1769, Le Mans : Il commence à chanter au chœur de la collégiale Saint-Pierre-la-Cour.
• 3 mars 1770, Le Mans : Louis PÉRIGORD "musicien du diocèse de Blois" est officiellement reçu à la collégiale Saint-Pierre-la-Cour. Ses gages sont de 5 sols par jour. Le même jour, il reçoit 30 livres "pour avoir chanté à nos offices depuis la Toussaint dernière".
• 1er mai 1770, Le Mans : Après cette période probatoire, ses gages sont augmentés à 10 sols par jour "avec les petits points".
• 20 décembre 1771, Bourges : Louis PÉRIGORD est reçu basse-taille à la cathédrale Saint-Étienne en compagnie de Nicolas VIOLLETTE et de Jean François DURY, tous deux du diocèse d'Amiens, aux gages de 10 livres par semaine. Durant son séjour, il demande régulièrement des avances.
• 23 décembre 1771, Bourges : "Remboursement de 45 lt à un chanoine tant pour ports de lettres, passades de musiciens et voyages des Srs DURY, VIOLETTE et PÉRIGORD" lit-on dans le registre capitulaire.
• 8 janvier 1772, Bourges : "Gratification de 6 livres chacun par mois à DURY, VIOLETTE & PÉRIGORD, gagistes en notre église pour raisons à nous connues et à condition de continuer à remplir leur devoir avec exactitude".
• Lundi 13 janvier 1772, Bourges : Le chapitre lui avance 30 livres qu'il remboursera grâce à des retenues hebdomadaires de 40 sols.
• 29 avril 1772, Bourges : "Avance 12 lt au Sr PÉRIGORD, gagistre [sic] en notre église, soit 2 mois de la gratification de 6 lt par mois que nous lui avons accordée."
• 13 juillet 1772, Bourges : "Avance de 150 lt au Sr PÉRIGORD, gagiste en notre église [...] sa gratification de 72 lt qui lui sera due le 8 janv prochain plus 20 sols par semaine retenus sur ses gages."
• 17 juillet 1772, Bourges : Louis PÉRIGORD figure dans la liste des "vicaires accordati" de la cathédrale établie pour le chapitre général. Il est absent de la liste du 8 janvier 1773.
• 23 février 1773, Bourges : Il épouse, paroisse de Saint-Bonnet, Marie Perpétue Félicité Patault, fille d'un marchand cirier, en présence de Pierre MALIDOR et de Denis PILORGET, ses confrères musiciens. Son père, devenu "garde général des eaux et Forêts du Mans", devenu veuf, a donné son consentement par procuration passée devant un notaire manceau. Le couple ne semble pas avoir eu d'enfants du moins à Tours.
• 13 et 18 mai 1777, Soissons : Louis PÉRIGORD reçoit deux lettres de CONTAT, maître de musique à la cathédrale Saint-Gatien de Tours, l'engageant à venir à en Touraine. Il a entendu du bien de ses talents de basse-taille et de musicien. Le chapitre propose de lui payer son voyage et promet de le garder "quand bien même sa voix viendrait à se perdre au bout de 2 ou 3 ans".
• 6 juin 1777, Tours : Louis PÉRIGORD est reçu à la cathédrale Saint-Gatien en qualité de musicien basse-taille, à raison de 800 livres d'appointements par an, dont la moitié en titre.
• 23 juillet 1777, Tours : Une convention sera passée avec lui et on lui demande de prendre au plus tôt les habits de chœur.
• 28 juillet 1777, Tours : A sa requête, le chapitre lui accorde le dernier mois dans son entier.
• 11 août 1777, Tours : "On peut pointer le sr PERIGORD musicien basse taille s'il continue a ne point aider a la psalmodie et s'il ne devient pas plus resident".
• 19 décembre 1777, Tours : On lui avance la somme de 100 livres qu'il remboursera 20 livres par mois.
• 7 mai 1779, Tours : Le chapitre lui interdit de "tenir ecole".
• 22 octobre 1779, Tours :" Messieurs ont provisoirement reduit le sr PERIGORD musicien a son titre et en attendant que le chapitre ait decidé sur la maniere dont il a traité son père, Mrs ont choisi mr Christiaen [un chanoine] de pourvoir a la subsistance dudit père et d’aviser aux moyens de le faire sortir du dépôt des pauvres et le faire subsister sur le revenu retranché dudit sr PERIGORD". Ce n'est pas souvent que l'on relève ce genre d'intervention de chanoines dans la vie familiale de leurs musiciens.
• 5 novembre 1779, Tours : Sur la réquisition du sieur PÉRIGORD père, les chanoines ont commis le chancelier [dignitaire] "pour travailler a le faire entrer à la Charité par le moyen de mr l'Intendant". Son entretien sera assuré par un retranchement de six livres par mois aux revenus de son fils.
• 9 juin 1781, Tours : La compagnie porte plainte « pour inconduite et scandales donnés dans un jardin qu’il loue du côté de la Riche ». Deux chanoines sont désignés pour mener l’enquête.
• 24 janvier 1785, Tours : « Vu les differens modeles d’ecriture et d’impression pour le livre des oraisons et autres necessaires, MM. ont préféré celui du sieur PERIGORD et ont deliberé que Messieurs de la commission pour le Breviaire s’arrangeront avec lui pour le travail qu’on lui fera faire » et pour en fixer le prix.
• 9 mai 1785, Tours : Le chapitre lui fait verser 6 livres pour avoir noté le nouvel office de saint Gatien.
• 25 mai 1785, Tours : Sur la proposition du chanoine Raboteau, « on prendroit et acheteroit pour servir au chœur dans le cas de besoin un antiphonier et graduel qui joint en plusieurs volumes chacun, et qu’on ne feroit plus faire par le sr LERAT mais avec des caractères par le sr PERIGORD tout ce qui est necessaire pour mettre a la forme de mr le Chantre et donner a l’organiste ».
• 15 juillet 1785, Tours : On lui verse 30 livres pour acheter des caractères.
• 9 juin 1786, Tours : On lui verse 150 livres sur les revenus du doyenné pour « acompte sur son travail pour imprimer differens offices du chœur ».
• 20 août 1787, Tours : "Sur la demande du sr Perigord musicien, mrs lui ont permis de s'absenter pour ses affaires, et ont ordonné qu'il seroit de retour pour la feste prochaine de la nativité de la Ste vierge".
• 9 novembre 1790, Tours : Il adresse une supplique au directoire du District. Il dit être marié et souffrir depuis 7 ans d'un rhumatisme qui l'oblige à rester couché plusieurs fois dans l'année. Son revenu est le même qu'en 1777.
• 9 décembre 1790, Tours : Au moment de la cessation du culte canonial, Louis PÉRIGORD est toujours musicien basse-taille à la cathédrale Saint-Gatien et perçoit 800 livres par an dont 400 livres en titre et 400 "ad nutum", c'est-à-dire révocables par décision du chapitre en cas d'absence. Il chante alors sous la direction de Sulpice Philippe LEJAY, le maître de musique mais il a connu également Jean Christophe CONTAT et Antoine MERLE.
• 1er février 1791, Tours : Le directoire du district propose de lui accorder 500 livres de traitement.
• 16 janvier 1792, Tours : Les fabriciers de la nouvelle paroisse Saint-Gatien arrêtent "qu'il y auroit habituellement quatre basse contre et deux serpens aux honoraires de deux cent cinquante livres pour chaque basse contre et de cent cinquante livre pour chaque serpent et considerant que mr PERIGORD dont la voix est une taille tres interessante, l'assemblée l'a conservé". Il semble avoir été en place depuis au moins juin 1791, et sans doute dès la fin du chapitre, car on lui verse 125 livres pour six mois de gages depuis la Saint Jean.
• 19 janvier 1794, Montlouis-sur-Loire [Indre-et-Loire] : Louis Périgord est dénoncé au comité de surveillance car il aurait tenu des propos séditieux alors qu’il était chargé d’annoncer publiquement au nom de la municipalité la vente de biens communaux dont l’église, le presbytère (où il loge apparemment) et la maison d’à côté ; ces propos viseraient à les dévaloriser et surtout à récuser le bien fondé de cette vente. Après avoir considéré les dénonciations portées dans le procès verbal dressé « contre Louis PÉRIGORD cidevant chantre de la cidevant eglise de st gatien », le comité de surveillance reconnait que le citoyen Périgord est coupable d’avoir cherché à troubler le repos public excité une révolte que d’ailleurs « Périgord n’a jamais montré que beaucoup d’insouciance pour la raist..publique et pour le succès de ses armes », qu’il se trouve dans le cas de l’article 2 de la loi du 17 septembre dernier qui ordonne l’arrestation de gens suspects. on décrète son arrestation et sa conduite en prison à Tours, on met des scellés sur ses papiers et ses meubles afin de savoir s’il n’a pas eu une correspondance criminelle avec des ennemis de la République.
• 11 février 1794, Tours : Le directoire du département lui verse la somme de 125 livres, montant "pour six mois de son traitement en qualité dechantrede la cidevant paroisse de Saint Gatien a raison de deux cent cinquante livres par an echue du 1er 8bre 1792 jusqu'au 1er avril 1793". C'est à cette date qu'il semble avoir quitté ses fonctions cantorales.
• 26 janvier 1794, Montlouis-sur-Loire : On lève les scellés en présence de sa femme. "Nous n’avons trouvé que des signes de féodalité au caractère de cuivre au nombre de six dont trois marquent une fleur de lys une représentant une croix de marte nie (sic),une représentant les armes du chapitre st Gatien, une autre représentant les quatre (vents) a l’extrémité de laquelle se trouve une fleur de lys, le tout en cuivre jaune", tout a été saisi comme signes contre-révolutionnaires en présence des officiers municipaux.
• 29 avril 1794, Montlouis-sur-Loire : Le comité de surveillance prend des renseignements sur la conduite de Louis PÉRIGORD toujours détenu à Tours. Sont interrogés sa femme et de plus d’une trentaine de personnes de son voisinage : Martin Monmousseau, un des dénonciateurs, semble avoir tout oublié mais reconnait qu’il a toujours monté la garde en qualité de sergent quand on lui donnait l’ordre ; Joseph Douzillé, maçon, dit que PÉRIGORD a toujours été un bon patriote. D’autres l’ont entendu publié au Bas-Rocher mais ne remettent pas en cause son patriotisme ; un caporal de la garde nationale de Tours qui l’a jadis commandé assure de son patriotisme ; le citoyen Danssau, charron, affirme que Périgord n’a fait que publier la vente sur ordre de la municipalité sans aucun propos excitant à la révolte et que pendant deux mois et demi qu’il a été chez lui apprendre à lire et à écrire, il lui a toujours donné des principes d’union républicaine. ; le citoyen François Guichard, marinier au Bas Roché explique que Périgord a instruit quatre de ses petits enfants dans les principes de la Révolution puisqu’ils savent le catéchisme républicain.
Sa femme Marie Perpétue Félicie Patault est interrogée pour savoir s’ils n’ont pas eu de démêlés avec les dénonciateurs (Monmousseau, Louis Perthuis, Michel Viau). Elle répond que peu de temps avant la dénonciation, elle a eu une querelle avec Monmousseau suite à une conversation sur les prêtres. Elle précise qu’elle savait bien qu’il y avait des gens armés parmi eux mais qu’on devait respecter le curé et le vicaire de la paroisse. Ce dialogue a eu lieu en présence de témoins dont des membres du comité de surveillance. Selon elle, son mari a eu une querelle avec Perthuis sur le prétexte qu’il avait tenu son école le ci-devant jour des rois, et avec Viau car il avait fait de faux rapports à son fils qui allait chez elle. On l’interroge sur les origines familiales et géographiques de son mari, son emploi actuel et d'avant la Révolution. Son revenu était de 800 livres à l'époque où il était employé par le chapitre Saint-Gatien et 1 200 livres depuis qu’il est maître d’école à Montlouis. Elle montre plusieurs pièces justificatives du patriotisme de son mari : un certificat de la municipalité de Tours qui justifie que son mari s’est présenté au conseil de permanence le 6 septembre 1792 pour prêter le serment de fidélité à la nation ; un certificat du capitaine de la garde nationale de Tours, première compagnie, troisième bataillon qui certifie que le sr Périgord a été assidu tout le temps qu’il a été dans cette commune, faisant son service en personne, venant aux assemblées, etc… du 18 ventôse II, signé Fournier ; d’une quittance signée Luce où il reconnait avoir reçu 16 livres pour les deux derniers termes de sa contribution patriotique du 30 juillet 1793. Le tout a été transmis au comité révolutionnaire de Tours, le comité de surveillance pensant que PÉRIGORD fait partie des patriotes opprimés.
• 12 août 1794, Montlouis-sur-Loire : Louis PÉRIGORD, libéré, redevenu instituteur, adhère à la société populaire du lieu. Il en fait toujours partie en novembre 1794.
• 30 décembre 1794 : Un jury d’instruction reconnaît Louis PÉRIGORD apte à exercer la profession d’instituteur.
• 1er janvier 1795, Tours : Le District le nomme instituteur à Rochecorbon.
• 15 janvier 1796, Vouvray [Indre-et-Loire] : Les membres de la municipalité déclarent que le "citoyen Louis PERRIGORD, [...] n'est point détenu pour cause de suspicion ou autre, certifions en outre qu'il nous a présenté en bonne forme 1° la quittance de contribution mobiliaire de l'année 1793 2e celle de son don patriotique. Ledit citoyen Louis PERRIGORD est de la taille de cinq pieds, cheveux et sourcils chatains, yeux gris, nez gros, bouche moyenne, menton rond, front elevé, visage ovale".
• 9 février 1796, Vouvray : Louis PÉRIGORD, instituteur dans les communes de Rochecorbon, Saint-Georges et Parçay, adresse une pétition à l’administration municipale du canton pour être continué dans ses fonctions. Celle-ci, considérant que le citoyen PÉRIGORD a le soutien des habitants de Rochecorbon et qu’il a donné "des preuves de moralité et de probité", arrête qu’il sera proposé et présenté à l’administration départementale, après avoir été examiné par l’un des jurys d’instruction.
• 1er juin 1796 : Un jury d’instruction départemental l’autorise à exercer.
• 29 septembre 1796, Rochecorbon : Il est obligé d’abandonner le presbytère où il faisait classe, celui-ci ayant été vendu.
• 29 octobre 1797, Rochecorbon : Louis PÉRIGORD adresse une pétition aux administrateurs du Département, dans laquelle il leur demande de le confirmer dans ses fonctions, comme cela aurait dû être fait dès l’an IV (son nom a semble-t-il été oublié).
• 6 octobre 1798, Tours : Un arrêté du Département confirme Louis PÉRIGORD dans ses fonctions d’instituteur à Rochecorbon.
• 10 septembre 1823, Tours : Devenu veuf, Louis PÉRIGORD décède au domicile de Martin Dufour, marchand fripier, 49 ans, rue du Grand Marché.
Mise à jour : 24 février 2019