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Pour citer Muséfrem
RICHET, Jean Pierre (1752-1796)
Date(s) : 1752-4-8 / 1796-3-19
• 8 avril 1752, Seraucourt [petite bourgade au sud de la ville de Château-Thierry, Aisne, alors au diocèse et élection de Noyon ] : Baptisé en l'église paroissiale Saint-Martin, Jean-Pierre RICHET est le fils de Pierre, manouvrier du Hamel et de Françoise Boulanger.
• Quelle formation à la musique a-t-il reçue ?
• 1779, Cambrai : Jean-Pierre RICHET est déjà au service de la collégiale Saint-Géry comme chantre.
• [lieu et date inconnus] : Jean-Pierre RICHET se marie avec Angélique Boulanger [sans doute dans la paroisse de l'épouse car les tables de Saint-Géry ne le mentionnent pas].
• 9 février 1782, Cambrai : Baptême de leur fille Marie Anne Scolastique Joseph en la paroisse décanale de Saint-Géry.
• 11 septembre 1783, Cambrai : Baptême de leur fille Catherine Joseph en la paroisse décanale de Saint-Géry. Jean-Pierre RICHET est toujours chantre en cette collégiale.
• 24 juillet 1783, Tours : Le chanoine Cabarat, procureur du chapitre de la collégiale Saint-Martin est chargé d'écrire à cette basse-contre de la collégiale Saint-Géry de Cambrai de venir servir en Touraine avec promesse de 600 livres de gages par an et remboursement des frais de voyage.
• 30 juillet 1783, Tours : les chanoines lisent en galerie la lettre de DUSSART qui donne des garanties sur la belle voix de RICHET, basse-contre à Cambrai; aussitôt, ils lui écrivent de venir se faire servir le chapitre Saint-martin avec promesse de 1000 livres de gages annuels si sa voix est aussi belle qu"on le dit, mais la compagnie ne s'engage pas encore sur une promesse de titre.
• 18 septembre 1783, Tours : On lui verse 30 livres pour partie de ses frais de voyage.
• 10 octobre 1783, Tours : Musicien basse-contre, il est retenu au service de cette église jusqu'à la fête de la Toussaint lors d'une galerie qui se réunie à l'issue de l'anniversaire et messe des défunts aux gages de 900 livres par an.
• 14 novembre 1783, Tours : Il reçoit le restant soit 60 livres.
• 15 novembre 1783, Tours : Il reçoit à nouveau 60 livres; il a été remercié part le chapitre qui lui accorde un certificat de bonne vie et mœurs pour un service s'élevant à un mois.
• 2 décembre 1783, Poitiers : Jean-Pierre RICHET, du diocèse de Noyon, est reçu musicien basse contre à la collégiale Saint-Hilaire-le-Grand, à 12 livres par semaine, "pour trois mois seulement". Quatre jours plus tard, le chapitre congédie TISSONNIÈRE, lui aussi basse contre.
• 16 mars 1784, Poitiers : Jean-Pierre RICHET obtient du chapitre de Saint-Hilaire-Le-Grand un certificat de service pour trois mois et demie passés comme musicien basse-contre dans cette église.
• 9 juin 1784, Cambrai : Le chapitre Saint-Géry lui délivre un certificat de service et de bonne vie et mœurs. Jean-Pierre RICHET aurait été à son service pendant environ cinq ans, mais alors comment expliquer les deux postes précédents (autorisé à aller se former ? ou plutôt certificat délivré a posteriori, plusieurs mois après le départ de Saint-Géry ?). Cette partie de sa carrière n'est pas très claire.
• 10 décembre 1787, Cambrai : Jean-Pierre RICHET est reçu comme petit vicaire à la collégiale Saint-Géry à 23 sols par jour.
• 21 juin 1788, Cambrai : Inhumation de son fils Barthélémy Joseph, âgé de 14 mois. Jean-Pierre RICHET est bien en poste à Saint-Géry. Le 2 août, c'est sa fille Angélique, âgée de huit ans, qui décède.
• 13 décembre 1789, Cambrai : Baptême de sa fille Marie Anne Scolastique Joseph en la paroisse décanale de Saint-Géry.
• 1790, Cambrai : Jean-Pierre RICHET est toujours en poste comme musicien à Saint-Géry. Il perçoit annuellement 589 livres 15 sols.
• 19 mars 1796, Cambrai : Il meurt à l'hospice de l'humanité. C'est l'homme de service qui remet à l'officier d'état-civil un certificat de décès, on ne mentionne que l'âge du défunt et le nom de son épouse.
Mise à jour : 11 mars 2017