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MICHON, Michel (1739-1823)
Date(s) : 1739-10-12 / 1823-6-21
D'origine tourangelle, Michel MICHON (1739-1823), fils d'un scieur de long s'établit à Saint-Aignan sur-Cher où il devient chantre à la collégiale de 1766 à 1790 tout en exerçant le métier de cordonnier. Après le rétablissement du culte, il reprend ses fonctions cantorales jusqu'à son décès.
• 12 octobre 1739, Montrésor [Indre-et-Loire] : Né le 12, Michel MICHON, fils de Michel, scieur de long et de Jeanne Girault, est baptisé le lendemain. Il est le cousin germain d’Étienne BONROY.
• Quelle formation à la musique et au chant d'Église a-t-il reçue ?
• 1766, Saint-Aignan-sur-Cher [Loir-et-Cher] : Il est reçu comme chantre à la collégiale de la ville.
• 24 juillet 1770, Saint-Aignan-sur-Cher : Exerçant aussi la profession de cordonnier, Michel MICHON épouse Marie Trousselet, fille d'un laboureur. Sa sœur Jeanne, domestique, assiste à la cérémonie, ainsi que l'autre chantre de la collégiale Antoine POIRIER et l'organiste, Ours Joseph MICHAU, également maître d'école.
• 1790, Saint-Aignan-sur-Cher : Michel MICHON est toujours en poste comme chantre à la collégiale Saint-Aignan, au côté d'Étienne BONROY.
• 24 février 1791, Blois : Le directoire du département lui fait verser par le district une gratification de 300 livres et le paiement de son quartier d'octobre 1790 soit 60 livres.
• 1793, Saint-Aignan : Michel MICHON est toujours chantre à la paroisse.
• 1798, Saint-Aignan-sur-Cher : Référencé dans un état des "pensionnaires ecclésiastiques", il perçoit encore une pension de 120 livres par an.
• 1802, Saint-Aignan-sur-Cher : Michel MICHON reprend ses fonctions cantorales dès le rétablissement du culte catholique selon Jules Brosset.
• 21 juin 1823, Saint-Aignan-sur-Cher : Devenu veuf, toujours chantre de l'église paroissiale, il s'éteint à l'hospice de la ville.
Mise à jour : 18 avril 2020