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Introduction

Catalogue du petit motet imprimé en France (1647-1789)

Avertissement

Le Catalogue du petit motet imprimé en France entre 1647 et 1789 doit donner à terme naissance à deux objets ou outils de recherche distincts et complémentaires : le catalogue diffusé aujourd’hui sur Internet et une version imprimée que nous préparons actuellement.

La version informatique présentée ici ne comporte que des extraits du catalogue : certaines zones d’informations (voir aussi, attribution, annotations instrumentales, commentaires contemporains, notes autres noms cités, autres sources musicales, source littéraire, comparaison de sources, type de rôle, notes type de rôle, texte, traduction, informations) ne sont pas en libre accès. La version imprimée livrera en revanche l’intégralité des informations réunies et sera assortie d’une étude consacrée au petit motet imprimé en France. Une bibliographie sur le petit motet, réalisée par Catherine Cessac et Sylvie Lonchampt, complète cette première diffusion du catalogue. Pour les personnes qui le désirent, les informations masquées peuvent néanmoins être consultées sur demande au CMBV (nb@cmbv.com).

Remerciements

Nous tenons à remercier ici les personnes qui nous ont aidé à mener à bien ce travail tant par leurs conseils amicaux que par les informations qu’ils nous ont généreusement communiquées : Catherine Cessac, initiatrice du projet et Jean Duron, directeur de l’Atelier d’Études ; Ann Baker, Cécile Davy-Rigaux, Anik Devriès qui nous a très généreusement permis de consulter son ouvrage L’édition musicale dans la presse parisienne au XVIIIe siècle (à paraître), Thierry Favier, Sébastien Gaudelus, Cécile Grand, Laurent Guillo, Albert La France, Thomas Leconte, Philippe Lescat (†), Jean Lionnet (†), Jean-Paul Montagnier, Théodora Psychoyou, Lionel Sawkins et François Turellier ; les étudiants qui ont collaboré aux prémices du catalogage : Florence Cardinal, Agnès Delalondre, Pascal Denécheau, Olivier Diard, Benoît Dratwicki, Fanny Duchet, Sonia Havard, Arnaud Heurard de Fontgalland, Nicolas Lageyre et Erwane Pinault ; l’équipe de gestion de la base de données PHILIDOR : Corinne Daveluy qui a conçu avec Jean Duron et Pierre Chaumont la présentation de la base de donnée sur Internet, Marie-Pascale de Carrara et Sylvie Lonchampt, sans oublier Pierre Chaumont pour son soutien informatique, Christian Sassier qui a patiemment numérisé l’ensemble des incipit et Viviane Niaux qui a acquis pour la bibliothèque du CMBV toutes les partitions dont nous avions besoin et m'a aidé très efficacement à localiser certaines d'entre-elles.

Le catalogue du Petit motet imprimé en France (1647-1789)

Nous présentons dans la base de données  PHILIDOR-ŒUVRES le Catalogue du petit motet imprimé en France entre 1647 et 1789. Par petit motet, nous entendons les compositions latines, pour le culte catholique, mettant en œuvre de une à trois voix solistes, avec ou sans basse continue et « symphonie ». Nous avons écarté du corpus la plupart des pièces pour quatre voix en raison de leur caractère choral (voir notre présentation de la table des effectifs).
La période choisie (1647-1789) débute avec la publication du premier recueil de motets avec basse continue et s’achève à la fin de l’Ancien Régime. Les Pathodia sacra et profana occupati de Constantijn Huygens (1647) sont le premier volume recensé, tandis que les Trois leçons de ténèbres à voix seule de Michel Corrette (1784) constituent le dernier étudié. Pour répertorier ces œuvres, nous nous sommes appuyée sur le dépouillement du Répertoire International des Sources Musicales (R.I.S.M.) ainsi que sur celui des catalogues régionaux. La liste ainsi obtenue a été complétée par le dépouillement systématique des catalogues d’éditeurs recensés par Cari Johansson2, Anik Devriès et François Lesure3, qui attestent de l’existence d’œuvres ou de recueils dont aucun exemplaire n’est pour l’instant répertorié. Nous enrichirons dans les mois qui viennent cette liste d’ouvrages perdus par le dépouillement du Mercure et d’autres périodiques plus tardifs. Le catalogue que nous présentons aujourd’hui sera donc à terme complété par d’autres références, d’autant que nous souhaitons étendre cette étude aux œuvres manuscrites.

Ce catalogue contient la description de l’ensemble des volumes édités en France, y compris ceux d’auteurs étrangers, tous italiens. Ce sont Paolo Lorenzani et Antonio Guido qui vécurent l’un et l’autre en France et firent paraître chacun un recueil monographique. Les autres compositeurs italiens furent publiés au sein de recueils anthologiques. Nous avons toutefois pratiqué une exception au cadre géographique défini puisque nous avons choisi d’intégrer à notre étude les Novæ sirenes sacræ harmoniæ de Johann Georg Rauch qui forment son premier opus, bien que ce recueil ait été édité à Augsbourg. Ceci tient au fait que les Novarum sirenarum sacræ harmoniæ sive mottetæ, opus II du même compositeur et qui constituent la suite du précédent recueil ont été imprimés en 1690 à Strasbourg, après donc le rattachement de la province et de la ville au royaume de France (1681). Rauch, qui était organiste de la cathédrale de Strasbourg (vouée au culte catholique depuis 1685), dédie son second opus au chapitre de ladite cathédrale ; nous nous devions donc de l’intégrer à notre étude. Dans la mesure où les Novarum sirenarum forment la suite des Novæ sirenes, nous avons estimé qu’il était intéressant d’intégrer à notre catalogue le premier opus du compositeur qui procède totalement du même esprit. Ceci constitue la seule exception concernant les bornes géographiques de notre étude. À l’ensemble de ces recueils, nous avons joint des pièces extraites des messes publiées en France durant la même période.

Le classement du catalogue

Le corps du catalogue est constitué de la description des œuvres recensées, réparties en trois catégories. Chaque pièce porte un numéro spécifique :

– petits motets PM.1-776
– leçons de ténèbres PM.777-847
– litanies PM.848-853

Les œuvres sont classées par ordre alphabétique d’auteur (les anonymes sont rejetés à la fin de chaque section) puis selon l’ordre alphabétique des incipit latins. Lorsqu’un musicien a composé plusieurs motets sur le même texte, ils sont classés si possible chronologiquement, à défaut par ordre d’apparition dans le recueil. Lorsqu’une même musique peut convenir à deux textes, nous avons attribué un seul et même numéro aux deux versions du motet, considérant la musique en tant qu’entité principale. Les deux états de l’œuvre sont toutefois distingués au moyen de lettres (PM.716. a et PM.716. b par exemple).

Les pièces dont nous connaissons l’existence mais dont aucun exemplaire n’a, à ce jour, été retrouvé, sont intégrées au catalogue. Chaque notice comprend la transcription de l’annonce qui atteste la parution de l’édition et, le cas échéant, un commentaire justifiant son appartenance au genre du petit motet.

Bien que les leçons de ténèbres et les litanies répondent aux mêmes pratiques que le petit motet, nous leur avons réservé une rubrique spécifique en raison de certaines particularités, notamment musicales, qui les caractérisent.

Chaque notice œuvre est accompagnée de la reproduction en facsimilé de son incipit.

Chaque recueil porte un numéro PHILIDOR constitué de quatre lettres qui reprennent des mots significatifs du titre.

Répartition des informations entre les notices recueil et œuvres

Les notices recueils rassemblent toutes les éditions recensées d’un même recueil parues aux XVIIe et XVIIIe siècles. Elles sont classées par ordre chronologique et systématiquement comparées. Les différents exemplaires recensés y sont décrits lorsqu’il a été possible de les consulter et, à défaut, signalés au moyen de leur localisation. Pour ce faire, nous avons repris les sigles utilisés par le R.I.S.M.

La source de référence (source musicale A) est toujours la dernière édition parue du vivant de l’auteur, à moins qu’il ait été prouvé qu’elle ait été réalisée sans le concours de l’auteur. Les éditions posthumes ne sont donc jamais considérées en tant que source de référence, à moins bien entendu qu’il s’agisse de la seule source imprimée connue. Afin que le lecteur connaisse la chronologie des éditions du recueil dont la pièce décrite est extraite, les dates d’édition de chacune d’entre elles sont systématiquement rappelées dans le champ « datation » et les notes afférentes.

Afin d’alléger et de faciliter la lecture des notices œuvres, un seul exemplaire imprimé y a été retenu lorsque le contenu musical ne varie pas d’une source à l’autre. Un renvoi est fait systématiquement vers les notices recueils correspondantes qui, elles, décrivent et discutent ces questions. Toutefois, lorsque deux éditions comportent des variantes d’importance, elles sont décrites et comparées dans la notice.

D’une manière générale, nous avons pris le parti d’alléger au maximum la lecture des notices œuvre, afin que les éléments relatifs au motet décrit soient immédiatement repérables. Nous avons donc préféré expliquer dans le détail les problèmes généraux de datation et d’attribution dans les notices recueil. Les hypothèses retenues sont livrées dans les notices œuvre, et le lecteur est implicitement invité à se reporter aux notices recueil qui comportent les éléments explicatifs.

Le contenu des notices

Les informations se répartissent dans les rubriques suivantes, qui ne sont pas systématiquement référencées :

Auteur de la fiche
Nom de la ou des personnes ayant réalisé la notice.

Pré-sélection
Comporte des informations permettant d’effectuer des tris globaux concernant :
− le type de notice (recueil de recueils, recueil, œuvre) ;
− la nature de la source (complète, incomplète ou perdue) ;

Catalogue AE
Numéro de la notice au sein d’un catalogue d’auteur ou de genre réalisé sur la base de données PHILIDOR.

Catalogues autres
Mention des numéros de catalogues autres que ceux réalisés sur la base de données PHILIDOR (R.I.S.M., Collection Brossard, Catalogue du grand motet français…)

Voir aussi
Permet d’établir des liens entre diverses notices du catalogue. Il peut s’agir d’un renvoi d’un recueil à un recueil de recueils (ou l’inverse), tout autant qu’à une œuvre répondant à une problématique similaire.

Auteurs
Nom du (ou des) auteur(s) de l’œuvre ou du recueil. Plusieurs niveaux d’attribution ont été distingués :
 

BERNIER, Nicolas l’attribution au compositeur est certaine
BERNIER, Nicolas [attr.] nouvelle attribution irréfutable de l’œuvre, auparavant anonyme ou faussement attribuée à un autre compositeur
BERNIER, Nicolas [attr. probable] un faisceau de preuves tend à prouver l’attribution, mais il subsiste un léger doute
BERNIER, Nicolas [attr. possible] des éléments penchent en faveur d’une attribution, mais elle n’est pas démontrée de manière irréfutable
BERNIER, Nicolas [attr. douteuse] des éléments tendent à prouver que l’attribution est erronée, mais aucune preuve ne permet de le démontrer avec certitude
BERNIER, Nicolas [attr. erronée] l’erreur d’attribution a été démontrée

De la même manière, certaines abréviations précisent des actes de composition particuliers :
 

BROSSARD, Sébastien de [arr.] auteur d’un arrangement
BALDRATI, Bartolomeo [d’après] l’œuvre a été composée ou arrangée d’après celle du compositeur dont le nom est indexé

Auteur du texte
Nom du ou des auteurs du texte de l’œuvre ou du recueil. Les niveaux d’attribution sont les mêmes que pour les auteurs.

Attribution
Tous les éléments permettant d’affirmer ou d’infirmer une attribution seront ici exposés et commentés, de manière à argumenter et étayer les choix effectués.

Titre recueil, titre œuvre
Titre reconstitué et normalisé du recueil ou de l’œuvre étudiée. Tous les titres apparaissant dans la notice font l’objet d’une normalisation ; plusieurs titres, parfois ressemblants, peuvent figurer ici. Certains d’entre eux ont été tronqués parce que trop longs ; des points de suspension (…) matérialisent la coupure.

Effectif
Formule permettant de connaître les effectifs nécessaires pour l’exécution, présentée toujours selon l’ordre : voix solistes/chœur/instruments solistes/orchestre/basse continue.Les voix solistes sont désignées par les clés utilisées :
sol1 dessus sol2 dessus ut1 bas-dessus 
ut3 haute-contre ut4 haute-taille fa3 basse-taille ou concordant
fa4 basse

Les formules chorales utilisées sont : ch.1, ch.2 et ch.3
Ces formules sont systématiquement décrites dans les notes sur les effectifs.

Les instruments solistes sont désignés par les abréviations suivantes :
vl violon vla alto vlc violoncelle hb hautbois
bn basson fl flûte bvl basse de violon

À défaut du nom des instruments, nous indiquons les registres :
d dessus t taille p partie intermédiaire bc basse continue

Les formations orchestrales sont codifiées comme suit :
orch.3 orchestre à 3 parties, à la française (d,d,b)
orch.cl. orchestre classique
Les autres formules employées (orch.4, orch.5…) sont systématiquement décrites dans les notes sur les effectifs. Elles s’appliquent principalement aux motets à voix seule et accompagnement de la fin de la période.

Toutes les combinaisons possibles, qu’elles soient suggérées par des indications figurant sur une source ou par des sources contradictoires sont prises en compte.

Notes effectif
Les divers effectifs sont éventuellement décrits (pour les formules non codifiées) et commentés. Dans le cas de sources et d’effectifs multiples, nous mettons clairement en rapport les sources et les effectifs qu’elles préconisent.

Incipit musical codé
Ce champ a pour but de révéler les attributions et les concordances ; il comprend le codage de l’incipit musical de chaque pièce et de chaque section clairement matérialisée par une double barre. La méthode adoptée est celle mise au point par Bruce Gustafson et Matthew Leshinskie : 
– le chiffre 1 correspond à la tonique… et le chiffre 7 à la sensible ;
– il n’est pas tenu compte des modulations ;
– les notes liées à elles-même au sein d’une même mesure ne sont pas répétées ; elles le sont lorsque la liaison enjambe une barre de mesure ;

– les barres de mesures sont matérialisées, le cas échéant, par un espace.

La partie codée est toujours la partie la plus aiguë intervenant dans le passage concerné. Lorsqu’il s’agit d’une section vocale accompagnée, seul l’incipit vocal est pris en compte, à moins qu’il ne soit précédé d’une symphonie instrumentale, auquel cas les deux incipit sont pris en compte.

Incipit latin
Champ destiné à rechercher et à identifier des textes par leurs incipit. L’incipit du début de chaque pièce mais également celui de chaque section clairement matérialisée par une double barre est pris en compte. Lorsque plusieurs d’entre eux débutent de la même manière, l’incipit a été abrégé au moyen de points de suspensions (…) jusqu’au premier mot qui permet de distinguer les deux textes :
Confitebor tibi Domine in toto… quoniam psaume 137
Confitebor tibi Domine in toto… in consilio psaume 110

Dates
Indexation de toutes les dates relatives à un recueil ou à une œuvre (édition, copie, création, reprise, mention dans la presse…).

Notes dates
Toutes les dates indexées sont expliquées et commentées.

Lieux concernés
Indexation de tous les lieux relatifs au document décrit dans la notice (lieu d’édition, de copie, d’exécution…).

Notes lieux
Toutes les lieux indexés sont expliqués et commentés.

Commentaires contemporains
Références bibliographiques et transcription de tous les commentaires antérieurs à 1800 et relatifs au recueil ou à l’œuvre décrits.

Éditeurs, graveurs, libraires, copistes
Indexation de leurs noms pour les recueils ou pour les œuvres lorsqu’elles furent publiées isolément.

Dédicataires
Indexation du nom du dédicataire d’un recueil ou d’une œuvre, le cas échéant.

Interprètes
Indexation de leur nom, le cas échéant.

Autres noms cités
Indexation du nom des personnes d’importance citées dans la notice et ne rentrant dans aucun des cadres définis ci-dessus (commanditaire, propriétaire…).

Notes noms cités
Commentaires et précisions éventuelles à propos des noms indexés dans les champs précédents.

Source musicale A
Références bibliographiques de la source musicale de référence (source A).

Notes source musicale A
Description matérielle de la source musicale A et des différents exemplaires recensés (détail des paginations, indication du contenu pour les recueils, particularités d’exemplaires…) suivie de la transcription des textes liminaires.

Autres sources musicales
Références bibliographiques et description matérielle des autres sources musicales, hiérarchisées dans la mesure du possible.

Source littéraire
Références bibliographiques et description matérielle des sources littéraires, hiérarchisées dans la mesure du possible.

Dépouillement
Indexation des cotes de chaque exemplaire consulté, ainsi que des localisations R.I.S.M. des exemplaires recensés.

Comparaison des sources
La hiérarchisation des sources proposée est ici argumentée et discutée. Les diverses sources sont systématiquement comparées par rapport à la source de référence. Des liens et des comparaisons peuvent éventuellement être établis entre les « autres sources ».

Genre musical
Indexation du genre musical auquel appartient l’œuvre décrite.

Notes musique
Informations complémentaires relatives à la musique (tonalité, nombre de mesure, structure de la pièce…).

Genre texte
Indexation du genre littéraire ou liturgique auquel appartient l’œuvre décrite.

Notes texte
Commentaires relatifs au texte mis en musique : 
– détail des strophes ou des versets mis en musique et indication des coupures éventuelles ;
– détail des variantes entre le texte littéraire et la mise en musique.

Utilisation du texte
Pour la musique religieuse, indexation des différents temps et occasions liturgiques durant lesquels la pièce décrite peut être interprétée. Seules les occurrences liturgiques clairement spécifiées sur les sources sont prises en compte, car l’utilisation d’un texte peut varier en fonction des lieux et des périodes.

Notes liturgie
Récapitulatif, pour chaque source, des diverses utilisations liturgiques indexées.

Type de rôle
Indexation du nom des personnages paraissant dans l’œuvre :
– normalisation des noms en français moderne ;
– suppression des articles ;
– on distingue un groupe de personnages d’un soliste par l’emploi du pluriel (Pécheurs) ou du singulier (Pécheur) ;
– les noms latins sont francisés lorsqu’ils sont connus (notamment les noms bibliques et ceux des saints), sauf ceux n’ayant aucune traduction française.

Notes type de rôle
Commentaires relatifs aux personnages.

Texte
Transcription du texte mis en musique, à l’exception des textes liturgiques usuels (antiennes, hymnes, psaumes…).
– le texte mis en musique n’a été transcrit que lorsqu’il s’agit d’une poésie qui ne figure pas dans le paroissien romain ;
– dans le cas de fragments de psaumes pris ailleurs qu’au début du texte liturgique, le poème a été transcrit ;
– la comparaison des partitions et du psautier a été systématiquement établie à partir de : LE/ PSEAUTIER/ TRADUIT EN FRANÇOIS./ Avec des Nottes courtes, tirées de/ S. Augustin, Paris, Hélie Josset, 1674 ; 
– les sources littéraires des poésies néo-latines sont toujours indiquées dans la notice lorsqu’elles ont été identifiées ;
– lorsque le texte latin est donné dans les pages liminaires de l’édition musicale, nous l’avons reproduit, sans modification (à l’exception des majuscules, des « oe » et « ae »). Il en va de même pour les traductions.
– la versification a été rétablie lorsqu’elle était évidente.

Traduction
Le cas échéant.

Édition moderne
Le cas échéant.

Cote CMBV
Indexation de la cote lorsqu’une reproduction de l’ouvrage décrit est conservée à la bibliothèque du CMBV.

Informations
Informations et remarques relatives à l’ouvrage décrit, ne rentrant dans aucun des cadres définis ci-dessus.

Notes :

1. On pourra consulter à la bibliothèque du CMBV une reproduction de chacune des sources (éditions ou tirages) décrites dans ce catalogue.
2. French Music Publishers' Catalogues of the Second Half of the Eighteenth Century, Malmö, AB Malmö Ljustrycksanstalt, 1955, 2 vol. 
3. Dictionnaire des éditeurs de musique français : volume I, des origines à environ 1820, Genève, Minkoff, 1979, 2 vol., 203 p. ; 18-219 p.

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