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Musique et musiciens d’Église dans le département des HAUTES-PYRÉNÉES autour de 1790
Au sein de l’enquête Musefrem, le département des Hautes-Pyrénées semble faire pâle figure en raison de la faiblesse de ses effectifs : seulement douze musiciens recensés aujourd’hui comme actifs en 1790. On pourrait être tenté d’expliquer cette situation par la pauvreté du diocèse de Tarbes sous l’Ancien Régime, soulignée par plusieurs auteurs, comme l’historien Jean-Baptiste Laffon (Histoire du diocèse de Tarbes et de Lourdes), si l’on ne savait aussi que la redistribution des richesses bénéficiait principalement au clergé local, ce qui aurait pu constituer un facteur favorable à la pratique musicale.
Il est nécessaire de considérer que le faible effectif relevé peut également être dû pour partie à un effet de sources. En effet, la série L des archives départementales des Hautes-Pyrénées ne permet de repérer que très peu de musiciens figurant dans les listes dressées au début de la Révolution ou ayant constitué des dossiers pour obtenir des secours. Toutefois, comme plusieurs orgues, absents de ces archives spécifiques, pouvaient tout à fait être en activité lors de la Révolution, et comme l’immense travail de numérisation des fonds d’archives du département, notamment les registres des baptêmes, mariages et sépultures (BMS) est encore en cours, la présente synthèse doit être considérée comme une première ébauche destinée à être enrichie.
• • •
I - Les Hautes-Pyrénées au moment de la Révolution
Le département des Hautes-Pyrénées, constitué à l'initiative du député du Tiers État pour la Bigorre aux États-Généraux de 1789, Bertrand Barère de Vieuzac, est composé pour l'essentiel de l'ancien diocèse de Tarbes (à l’exception de quelques paroisses au nord et à l’ouest, rattachées à l'actuel département des Pyrénées-Atlantiques), auquel les députés ont joint quelques communautés au nord et à l’est, issues de l'ancien diocèse d'Auch (une soixantaine de paroisses) et d’une partie de celui de Comminges (103 paroisses à l'est). Sous l’Ancien Régime, l’ensemble de ces espaces relevait de la province ecclésiastique d’Auch, de la généralité d’Auch et du parlement de Toulouse. L’évêque de Tarbes présidait les États de Bigorre qui décidaient des impositions lors d’une assemblée annuelle de huit jours, rassemblant des représentants des trois ordres du pays.
Le nouveau département recouvre pour l’essentiel le pays de Bigorre et l’ancien comté du même nom. C’est une région de piedmont, organisée autour de ses vallées, dont les deux principales sont celles de l’Adour (traversant Bagnères-de-Bigorre et Tarbes) ainsi que la vallée de la Neste. Au nord-est du département, le canton de Magnoac, où l’on trouve le sanctuaire marial de Notre-Dame de Garaison, appartient à l’ancien comté d’Aure (province des Quatre Vallées).
La ville de Tarbes, qui domine le département des Hautes-Pyrénées, compte environ 7000 habitants en 1790. La ville avait prospéré et s’était développée au cours du XVIIIe siècle, après des difficultés liées à plusieurs épisodes militaires aux siècles précédents. Sa population augmente au point de tripler, ce qui occasionne un ensemble de rénovations urbaines (construction de nouveaux quartiers et comblement des fossés de la ville, remplacés par des immeubles d’habitation). Cet essor démographique s’appuie sur une activité commerciale et artisanale (ventes des produits de l’agriculture locale, moulins) renforcée par une situation de carrefour comme par l’utilisation de l’énergie hydraulique. Un pont à six arches de pierre est construit sur l’Adour dans les années 1730 et un haras royal y est établi à la fin de l’Ancien Régime.
II - Le diocèse de Tarbes
Le diocèse de Tarbes n’est pas d’une grande richesse sous l’Ancien Régime avec un revenu de 30 000 livres (La France Ecclésiastique, 1790), contre 80 000 livres pour le diocèse voisin de Comminges. Son chapitre cathédral est composé de quatorze chanoines dont huit dignitaires portant le titre d’archidiacre.
Au moment de la Révolution, l’évêque de Tarbes est François de Gain de Montaignac, qui avait accédé à la cathèdre en 1782. L’histoire retient avant tout sa profonde opposition aux idées de la Révolution. Il soutient en effet le 17 novembre 1790 son chapitre qui décide de continuer le service divin « car le décret qui supprime les chapitres n’interdit pas aux individus qui les composent la liberté de se réunir publiquement pour se livrer au saint exercice de la prière publique, en se chargeant eux-mêmes des dépenses relatives à ce service » (Laffon, p.106). Le 18 novembre 1790, le Directoire de département blâme l’évêque pour avoir refusé de désigner un conseil de douze vicaires et interdit en conséquence que lui soit versé son traitement. Il part en exil à Saint-Sébastien le 9 décembre. Jean Guillaume Molinier, ancien recteur du collège de Tarbes et auteur du Catéchisme de la Constitution civile du clergé, est élu évêque constitutionnel le 21 mars 1791 et installé le 21 mai suivant. Il poursuit ou tente de poursuivre les cérémonies à la cathédrale, et pour ce faire proroge l’entretien d’un chœur de musique.
En l’état actuel des recherches, peu de musiciens ont été relevés comme étant actifs au moment de la Révolution. Les archives révolutionnaires ne permettent d’en repérer qu’une dizaine. D'autres dépouillements annexes ainsi que des travaux d'histoire locale permettent d'étoffer l'effectif. Par ailleurs, on ne recense que cinq orgues à la Révolution sur l’ensemble du département, les plus anciens construits au XVIe siècle. Trois seulement sont en activité avec certitude en 1790. Les lieux de musique – ou susceptible de l’être – s’établissent à huit.
En effet, si l’activité musicale de centres importants tels que le chœur de la cathédrale Notre-Dame de la Sède à Tarbes ou encore la chapelle Notre-Dame de Garaison, ne fait aucun doute au regard des pétitions envoyées par les musiciens au Comité ecclésiastique, la situation est moins claire pour les abbayes Saint-Savin de Lavedan, Saint-Sever de Rustan (Bénédictins de saint Maur) ainsi que pour la collégiale Saint-Vincent de Bagnères-de-Bigorre.
III - La vie musicale à Tarbes à la fin de l’Ancien Régime
• • • On ne rencontre ainsi qu'un seul corps de musique de taille importante : celui de la cathédrale Notre-Dame de la Sède. La France ecclésiastique en 1790 relève à ce propos que le bas-chœur est composé de « douze prébendés, dont un curé archiprêtre, un diacre et un sous-diacre d’office, un maître de musique organiste, quatre enfants de chœur et deux chantres à gages ». L’enquête nous permet d’affirmer que les enfants de chœur ne sont plus que deux à la fin de 1790, ainsi que le précise au Directoire du département le chanoine Canton le 20 janvier 1791. En plus de ces deux enfants de chœur, le corps de musique du chapitre cathédral de Notre-Dame de la Sède est composé d’un organiste et maître de musique (Paul Bernard GARDEY), d’un serpent (Jacques HAMO), de deux chantres (Mathias BORDENAVE et Joseph FRINGUES), assistés de deux souffleurs et carillonneurs (Jean et Alexis DUPONT). Mis à part les jeunes souffleurs et carillonneurs, les musiciens de Notre-Dame de la Sède sont pour la plupart laïcs, pères de famille et âgés de plus de quarante ans.
Il est par ailleurs frappant de constater que jusqu'à la période révolutionnaire, il n’y a qu’un seul orgue dans la ville, celui de la cathédrale. L'église paroissiale Saint-Jean réussit en 1815, au bout de tractations longues et mouvementées, à obtenir celui de l'abbaye Saint-Sever de Rustan, laissé à l'abandon durant la période révolutionnaire. Il s’agit d’un orgue qui avait été construit dans le courant du XVIIIe siècle par Dom Bedos (Dantin, L’orgue de Saint-Jean…, p. 27).
• • • La ville possède également plusieurs établissements religieux mais aucun orgue n’y a été pour le moment recensé. On sait cependant que des cours de chants sont dispensés au sein du monastère des Ursulines. La ville possède également un collège dirigé par les Doctrinaires, mais jusqu’à présent nous n’y avons pas trouvé de preuve d’une éventuelle pratique musicale (pourtant probable).
À quelque sept kilomètres au sud de Tarbes, enfin, le prieuré des dames religieuses de Momères, rattaché à l’ordre de Fontevraud, abrite un pensionnat et offre des cours de chant assurés par Catherine PÉCUNE.
IV - La vie musicale dans le reste du département : chantres et organistes de collégiales, d’abbayes… et de villages
• • • Un autre sanctuaire d'importance fait partie du nouveau département, bien que relevant de l'ancien diocèse d'Auch ; il s'agit de la chapelle Notre-Dame de Garaison.
Longtemps avant les apparitions et le succès des sanctuaires de Lourdes, la chapelle Notre-Dame de Garaison commémore les apparitions de la Vierge vers 1520 à une jeune bergère de douze ans, Angleze de Sagazan, et constitue un centre de pèlerinage. À la fin de l’Ancien Régime, la chapelle est desservie par un corps important de dix-huit chapelains. Elle est dotée d'un corps de musique constitué de trois personnes (le sieur DURAND est maître de musique, Bernard PUJO musicien et Jean-Baptiste SAINT-PAUL organiste) qui, en dépit de sa taille modeste, est néanmoins le second corps de musique des Hautes-Pyrénées par son effectif.
• • • Trois orgues dont on n’a pas trouvé mention (en l’état actuel de la recherche) dans les archives révolutionnaires semblent bel et bien exister en 1790, sans que la présence d’un organiste titulaire puisse actuellement être attestée. Il s’agit des orgues de la collégiale Saint-Vincent de Bagnères-de-Bigorre, de l’abbaye Saint-Sever de Rustan et de Saint-Savin de Lavedan.
• L’orgue de Saint-Vincent de Bagnères a été reconstruit au début du XVIIIe siècle. Les derniers organistes dont on relève la trace sont Jean-Pierre CHABAUD et Catherine MORA au début des années 1780, sans que l’on connaisse leur devenir en 1790. Le traitement d’un organiste et l’entretien de l’orgue ont été souvent problématiques pour les consuls de Bagnères-de-Bigorre tout au long du XVIIIe siècle. Il ne serait donc pas impossible que la tribune de l’orgue soit sans titulaire au moment du déclenchement des événements révolutionnaires, comme cela a été plusieurs fois le cas au cours du siècle.
• À Saint-Sever de Rustan (Saint-Sever est situé au nord-est de Tarbes, la commune est limitrophe du Gers), l’orgue existe dans l’abbaye mauriste à la veille de la Révolution mais les documents jusqu’alors consultés ne permettent pas de savoir qui le tenait. Il sera transféré en 1815 dans l’église paroissiale Saint-Jean à Tarbes. Un siècle après la Révolution (1894), à l’occasion d’un nouveau transfert de l’orgue depuis la paroisse Saint-Jean de Tarbes à l’église de Castelnau-Magnoac, l’abbé Louis Dantin dira de l’orgue que « lui aussi est un survivant des mauvais traitements, lui aussi s’est tu pendant les heures lugubres [de la Révolution], mais sachez-le bien, il n’a jamais apostasié » [Dantin, L’orgue de Saint-Jean…, p. 18].
• Quant à l’orgue de l’abbaye de Saint-Savin de Lavedan (Saint-Savin est au sud-ouest du département et domine la vallée d’Argelès), dont le buffet porte la date de 1557, il est toujours en place au XIXe siècle.
• • • Enfin, la ville d’Arreau, qui compte près de 800 habitants en 1790, au sud du département et donc dans un espace frontalier avec l’Espagne, entretient un organiste pour son église paroissiale Notre-Dame, le sieur BADE, lui-même issu d’une dynastie d’organistes.
Un tel investissement peut s’expliquer par la prospérité de la ville qui bénéficie de sa position centrale, à la confluence de deux rivières, la Neste d’Aure et la Neste du Lourron, de foires et de marchés ainsi que d’un rôle institutionnel important (relais de la poste aux lettres, bureau des recettes du droit d’octroi, entrepôt de tabac, etc.) [Ladrix, Considérations…, 1790].
V - Parcours de musiciens des Hautes-Pyrénées : entre recrutement local et itinérance
• • • Outre leur différence de taille, les deux principaux corps de musique du département, que sont Notre-Dame de la Sède et Garaison, ont un mode de recrutement différent.
• Ainsi, les musiciens de Notre-Dame de la Sède sont recrutés dans un cadre étroitement local, ou du moins assez proche. Mathias BORDENAVE a quitté son village d’Adé à une quinzaine de km au sud-ouest de Tarbes pour venir exercer la fonction de chantre. Paul Bernard GARDEY, maître de musique et organiste, dit avoir antérieurement exercé (probablement comme organiste) à Bagnères-de-Bigorre et Saint-Sever de Rustan. Nous sommes toujours dans le cadre de l’ancien diocèse de Tarbes et du nouveau département des Hautes-Pyrénées. Les autres musiciens de la cathédrale semblent originaires de Tarbes même.
• Les musiciens de la chapelle Notre-Dame de Garaison viennent tous au contraire d'un autre diocèse d’Ancien Régime : Bernard PUJO débute sa carrière dans le chœur de Saint-Bertrand de Comminges, Jean-Baptiste SAINT-PAUL a d’abord exercé à Gimont et Lombez [Gers] et le sieur DURAND vient d’Annecy [Haute-Savoie] où il a été enfant de chœur dans la cathédrale Saint-Pierre. Ce recrutement bien plus diversifié et éloigné qu’à Notre-Dame de la Sède est-il à imputer au renom du sanctuaire de Garaison ? Signalons parmi ses maîtres de musique antérieurs le passage d'Antoine FAGUER qui exercera ensuite à la collégiale Saint-Aignan d'Orléans, ce qui confirme l'inscription de Notre-Dame de Garaison dans les circuits de l'itinérance musicienne.
• • • Enfin, la moyenne d’âge des musiciens de ces deux corps de musique est comprise entre 50 et 55 ans, bien que légèrement supérieure à Notre-Dame de Garaison. En 1790, le musicien le plus âgé est l’organiste de Garaison, Jean-Baptiste SAINT-PAUL : il a 70 ans.
Il semble en outre que la chapelle de Garaison fasse le nécessaire pour s'assurer de garder ses musiciens ainsi qu'ils le signalent dans leurs suppliques individuelles au Comité ecclésiastique. Les musiciens employés sont logés et nourris par les chapelains, qui prennent également en charge les frais de médecins en cas de maladie. Tout cela pourrait expliquer la durée moyenne d’exercice en 1790, de 25 ans à Garaison contre 17 ans pour Notre-Dame de la Sède.
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Aux premières heures de la Révolution, c’est bien l’image d’une pratique en dégradation que nous renvoient les archives, notamment avec ces abbayes, possédant un orgue dont rien ne prouve qu’il soit encore utilisé en 1790. Ainsi que cela a été précisé en introduction, il ne peut s’agir que d’une première approche qui appelle à être complétée par de nouvelles découvertes, avant d’aboutir à une vision plus définitive de la pratique musicale dans les établissements ecclésiastiques des Hautes-Pyrénées au moment de la Révolution.
Thomas D’HOUR,
CHEC, Université Blaise-Pascal, Clermont-Ferrand (septembre 2015)
Le travail sur les musiciens de ce département a bénéficié des apports de
Guillaume Avocat, François Caillou, Bernard Dompnier, Sylvie Granger, Isabelle Langlois, et Françoise Talvard.
Mise en page et en ligne : Sylvie Lonchampt et Agnès Delalondre (CMBV)
Cartographie : Isabelle Langlois (CHEC, Université Clermont-Auvergne)
>>> Si vous disposez de documents ou d’informations permettant de compléter la connaissance des musiciens anciens de ce département, vous pouvez signaler tout élément intéressant ICI.
Nous vous en remercions à l’avance.
L’amélioration permanente de cette base de données bénéficiera à tous.
Les lieux de musique en 1790 dans les Hautes-Pyrénées
Les lieux de musique documentés pour 1790 dans le département sont présentés par catégories d’établissements : cathédrale, collégiales, abbayes, monastères et couvents, autres établissements (par exemple d’enseignement, de charité…), paroisses (ces dernières selon l’ordre alphabétique de la localité au sein de chaque diocèse).
Diocèse de Tarbes
- Cathédrale
- Collégiales
- Abbayes, Couvents, Prieurés
Diocèse d'Auch
- Abbayes, Couvents, Prieurés
Diocèse de Comminges
- Églises paroissiales
Pour en savoir plus : indications bibliographiques
- François Lesure, Dictionnaire musical des villes de province, Paris, Klincksieck, 1999, 367 p. (une seule entrée pour les Hautes-Pyrénées, sur Bagnères-de-Bigorre, pages 80-82).
- Monique CERTIAT, Guide de recherche aux archives Municipales de Tarbes, Tarbes, 2002, 80 p. (page 39, Le décollage économique du XVIIIe siècle).
- Louis DANTIN (abbé), L'orgue de Saint-Jean à Castelnau-Magnoac, Allocution et notice,Tarbes, Larrieu, 1894, 40 p.
- Norbert DUFOURCQ, La très curieuse histoire d’un orgue bigourdan, Bagnères-de-Bigorre, Paris, H. Hérelle, 1938, 53 p.
- Michel GROSCLAUDE, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées; intégrant les travaux de Jacques Boisgontier; avec le concours du Comitat dera lenga... ; coordination, Bernard Dubarry, Tarbes, Conseil général des Hautes-Pyrénées, Mission culture occitane, 2000, 348 p
- André HAUTEFEUILLE, Promenade au monde de l’orgue, quatre siècles à la tribune de Saint-Vincent de Bagnères-de-Bigorre, Bagnères-de-Bigorre, Association des amis de l'orgue de l'église Saint-Vincent de Bagnères-de-Bigorre, 1988, 68 p.
- Jean-Baptiste LAFFON, La cathédrale de Tarbes, Tarbes : Impr. Saint-Joseph, 1963, 263 p.
- Jean-Baptiste LAFFON (dir.), Le diocèse de Tarbes et de Lourdes, histoire des diocèses de France,Paris : Letouzey et Ané, 1971, 280 p.
Sources imprimées
- LADRIX (avocat au Parlement de Toulouse). Considérations sur la nécessité d'établir des tribunaux dans les provinces frontières. Vues particulières sur la ville d'Arreau... dans le centre des Pyrénées, par M. Ladrix,.... 1790.
- Henri-Gabriel DUCHESNE, La France ecclésiastique, pour l'année 1788, Paris, Duchesne, XII– 472 p.
- Henri-Gabriel DUCHESNE, La France ecclésiastique, pour l'année 1790, Paris, Duchesne, 468 p.
- Jean-Joseph EXPILLY, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules, t. I, Paris, Desaint, 1763, 1068 p. (p. 637 pour la Bigorre).
Bibliographie élaborée par Thomas D'Hour
(septembre 2015)