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BRÉHAMEL, Nicolas (1789 av.-1792 ap.)
Date(s) : 1789-4-6 av. / 1792-7-27 ap.
En 1790, Nicolas BRÉHAMEL, sur la vie duquel les informations manquent, est employé depuis quelques mois comme clerc laïc de la paroisse Saint-Front de Neuilly-Saint-Front [Aisne]. Il n'est pas avéré qu'il faisait aussi office de chantre.
• 6 avril 1789, Neuilly-Saint-Front : Nicolas BRÉHAMEL signe pour la première fois le registre de la paroisse Saint-Front en tant que clerc laïc ("Brehamel clerc"). Il a succédé au sieur TRICOT.
• 1790, Neuilly-Saint-Front : Nicolas BRÉHAMEL est clerc laïc de la paroisse Saint-Front, Jacques François LAFOSSE chantre. Ils signent la plupart des actes d'inhumation, par exemple le 6 mai. Il n'est pas certain que BRÉHAMEL avait des fonctions cantorales.
• [vers mai 1792] : Nicolas BRÉHAMEL, clerc laïc de Neuilly-Saint-Front, pétitionne afin d'être autorisé à acquérir la maison dite des vicaires de Neuilly y compris le jardin, le mur avec la cour devant, située près de l'église, "par lui soumissionnés".
• 21 mai 1792 : Le District de Château-Thierry estime que l'exposant doit être déclaré non recevable, attendu que le comité d'aliénation a déclaré les vicariats invendables.
• 31 mai 1792, Laon : Le directoire du Département arrête que la pétition sera communiquée au conseil général de la commune de Neuilly pour connaître l'état de cette maison, si elle est habitable, quel pourrait être le montant des réparations et sa valeur actuelle. Ces observations seront communiquées au directoire du District qui rendra un nouvel avis sur lequel le directoire du Département statuera.
• [vers juillet 1792] : Nicolas BRÉHAMEL, clerc de la paroisse Saint-Front de Neuilly, demande à percevoir le traitement dont jouissait le clerc de la paroisse Saint-Rémy, désormais réunie à Saint-Front.
• 12 juillet 1792, Neuilly-Saint-Front : Le conseil général de la commune estime qu'il n’est pas nécessaire de lui accorder un traitement, "attendu que son salaire est déjà assez considérable".
• 18 juillet 1792 : Le directoire du District de Château-Thierry adhère à l'avis du conseil général de Neuilly-Saint-Front.
• 27 juillet 1792, Laon : Le directoire du Département de l'Aisne confirme les deux avis et arrête qu'il n'y a pas lieu de délibérer.
Mise à jour : 25 février 2023