Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
COURET, André (1766-1831)
Date(s) : 1766-12-15 / 1831-7-15
Fils d'un cordonnier alésien, André COURET exerce le métier paternel, mais il est également choriste laïque à la cathédrale de sa ville natale dans les dernières années d'existence du chapitre.
• 15 décembre 1766, Alès [Gard] : André COURET, fils du cordonnier Jean Couret, voit le jour et reçoit le baptême dans la paroisse de la cathédrale.
• vers 1773-1780, Alès : André COURET est probablement enfant de chœur de la cathédrale.
• 1787-1790, Alès : André COURET est choriste laïque à la cathédrale, aux appointements de 216 livres par an. Bien qu'un document date sa réception du 6 juin 1783, il est précisé qu'il sert depuis 3 ans, ce qui repousse sa réception à 1787.
• 13 avril 1790, Alès : André COURET, cordonnier, épouse Marie Caussignac, fille d'un maréchal ferrant. Il a pour témoins le clerc de la cure et le sonneur de la cathédrale.
• février 1791, Alès : André COURET, Jean BASCOU et Moïse BOUTIN, les trois chantres laïques ayant servi la cathédrale, désormais au service de la paroisse constitutionnelle, s'inquiètent "de savoir par qui et de qu’elle manière ils seront payés". André COURET réclame en outre une pension. La durée très courte de son service et son jeune âge laissent peu d'espoir et l'absence de son nom dans les tableaux de pensionnés du Gard indique qu'il n'a pas obtenu gain de cause.
• 31 janvier 1799, Alès : André COURET, cordonnier, accompagne son ancien collègue Moïse BOUTIN, désormais fabricant de bas, lorsque celui-ci déclare la naissance de son fils Moïse à la mairie.
• 15 juillet 1831, Alès : André COURET, cordonnier, époux de Marie Caussignac, rend son dernier souffle à l'âge de 64 ans.
Mise à jour : 11 mars 2023