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COURTOIS, François, à Saint-Quentin (ca 1720-1798)
Date(s) : 1720 ca / 1798-1-30
François COURTOIS, chantre des paroisses Sainte-Catherine puis Sainte-Pécine de Saint-Quentin [Aisne] à partir de 1752, interrompt ses activités en 1788. Il exerçait parallèlement la profession de mulquinier (fabricant de toiles fines).
• [vers 1720] : François COURTOIS naît probablement à Saint-Quentin [Aisne] du mariage d'Étienne Courtois et de Marie Françoise Anet.
• 13 mai 1748, Saint-Quentin [Aisne] : François COURTOIS, 28 ans environ, compagnon mulquinier et chantre séculier de l'église Sainte-Catherine, épouse Françoise Catherine Benoît, fille mineure de défunt Claude Benoît et de Marie Anne Quetelet, de la paroisse Saint-André, où se tient la cérémonie. Les bans ont été publiés à Sainte-Pécine, "paroisse d'origine et de domicile actuel du futur". Claude VILLER, également chantre séculier de la paroisse Sainte-Catherine, est présent.
• 1752, Saint-Quentin : François COURTOIS devient second chantre laïc de la paroisse Sainte-Pécine, succédant à Claude Jérôme LECOCQ. On ne sait s'il travaille en même temps pour la collégiale.
• 1772, Saint-Quentin : François COURTOIS, toujours second chantre, touche 20 livres de gages par an.
• 9 mars 1779, Saint-Quentin : L'inhumation de Richard Thomas Léguillier a lieu en présence de François COURTOIS, chantre habitué de la paroisse Sainte-Pécine.
• 2 octobre 1788, Saint-Quentin : Joséphine Montigny est enterrée en présence de François COURTOIS, "chantre habitué de cette paroisse" (Sainte-Pécine). C'est la dernière fois qu'il signe le registre paroissial en tant que tel.
• 21 octobre 1788, Saint-Quentin : Françoise Catherine Benoît, morte le 20 à environ 69 ans, est inhumée en présence de François COURTOIS, ouvrier mulquinier, son mari, et d'Antoine Louis COURTOIS, son fils, chantre habitué de la paroisse Sainte-Pécine.
• 30 janvier 1798, Saint-Quentin : François COURTOIS, mulquiner, veuf de Françoise Benoît, meurt à l'âge de 80 ans environ.
Mise à jour : 1er février 2023