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Pour citer Muséfrem
FAUJOUR, François (1780 av.-1792 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : FAUIOUR
FOJOUR
FOIOUR
Date(s) : 1780 av. / 1792 ap.
Chantre en 1790 de la petite paroisse léonarde de Sainte-Sève (trève de la paroisse Saint-Martin de Morlaix), François FAUJOUR est l'un de ces chantres de petites paroisses qui "a vielly au service de [son] église" percevant de modestes gages de la part de la fabrique paroissiale et de celle du Saint-Sacrement.
• 1781 (peut-être 1780) - 1792, Sainte-Sève [Finistère] : François FAUJOUR est chantre de l'église paroissiale. Avant 1780, les comptes indiquent que la fonction de chantre était occupée par des clercs. François FAUJOUR reçoit en moyenne annuellement de la fabrique de l'église une livre et quelques sols pour assister à des nocturnes et aux processions de Saint Marc, de la fête de l'Ascension, des rogations, de la mi-août, les premières fêtes chômées de la Sainte-Vierge, de la fête de Sainte-Sève et celle de Saint Jean-Baptiste. Il reçoit également, par an, une livre et quelques sols de la part de la fabrique de la confrérie du Saint-Sacrement pour un nocturne chanté le second dimanche de chaque mois, les premières vêpres et l'octave du Saint-Sacrement ainsi que la procession. D'après une supplique de 1792, en plus de son traitement, François FAUJOUR effectue une quête annuelle dans la paroisse.
• 11 novembre 1792, Sainte-Sève : La municipalité de la commune fixe le traitement de François FAUJOUR, toujours chantre, à 72 livres par an tandis que les gages du bedeau sont fixés à 150 livres.
• 22 novembre 1792, Morlaix [Finistère] : Le district de Morlaix entérine la délibération de la municipalité de Sainte-Sève mais diminue les gages de François FAUJOUR à 60 livres (une incertitude demeure donc sur la fixation des gages). La délibération ajoute que ses gages sont "d'autant plus meritée qu'il a vielly au service de cette église".
Dans l'état actuelle des recherches, nous perdons ensuite sa trace.
Mise à jour : 20 août 2019