Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
LAVANDIER, François/Pierre (1788-1792 fl.)
Autre(s) forme(s) du nom : LAVENDIER
Date(s) : 1788-7-24 / 1792-2-9
François ou Pierre LAVANDIER a été enfant de chœur à la collégiale Saint-Martin de Tours deux années avant la suppression du chapitre en 1790 puis deux années encore dans la nouvelle structure paroissiale qui lui succède.
• 24 juillet 1788, Tours: Il est reçu enfant de chœur à la collégiale Saint-Martin.
• 6 novembre 1790, Tours : Sous la direction du maître de musique Julien Élie LEROY, il poursuit son éducation musicale à la psallette de Saint-Martin parmi les dix enfants de chœur au moment de la suppression du chapitre. Ses condisciples sont dans l'ordre d'ancienneté Jean François LEGUAY (1781), Pierre PEROTTIN (1781), Jean François POITOU (1783), René [Louis] TÉNÈBRE (1785), Philippe FOLIAU (1786), Abraham Étienne TARDY (1787), Pierre DAVID, Pierre BOUZIN et André Jean Laurent GAILLOURDET (1789).
• 17 août 1791, Tours : Le directoire du district lui accorde 60 livres de secours provisoire.
• 9 février 1792, Tours : "Il a été remis sur le bureau pour les nommés GAILLOURDÉ, DAVID et LAVENDIER, Enfans de chœur de cette Eglise, une petition par laquelle ils reclament le payement de trois mois chacun echus le 25 janvier dernier montant à quinze livres". Cette délibération des fabriciers de la paroisse Saint-Martin, instituée à l'été 1791, semble montrer que le jeune garçon a poursuivi son service dans la nouvelle structure, paroissiale depuis cette date et sans doute jusqu'à sa suppression au milieu de l'année 1793. Le 16 août 1791, il a été effectivement convenu "qu'en attendant la décision de MM. du directoire du departement, les trois enfans qui sont restés à Saint Martin [seront] provisoirement conservés dans leurs fonctions".
Nous perdons ensuite sa trace.
Mise à jour : 26 juillet 2017