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Pour citer Muséfrem
BONNARD, Pierre (1729-1808)
Autre(s) forme(s) du nom : BONARD
Date(s) : 1729-3-15 / 1808-11-20
• 15 mars 1729, où ? : Baptême de Pierre BONNARD. Il est le fils de Pierre, perruquier et Marie Salles [indication dans l'acte de décès].
• [Vers 1740-1742], Montpellier : Il entre au service de la cathédrale Saint-Pierre de Montpellier.
• 7 avril 1750 : Pierre BONNARD y est reçu musicien ordinaire pour haute-contre. Avec cet emploi il obtient également une place dans la musique des États du Languedoc, ce qui lui permet d'augmenter de la moitié ses revenus annuels.
• 19 juillet 1751 : Il reçoit 100 livres de gratification annuelle de la part du chapitre cathédral.
• 18 mars 1754 : Le chapitre cathédral de Montpellier essaye sans succès d'obliger Pierre BONNARD, qui vient d'atteindre la majorité civile, à renoncer à l'engagement qu'il a pris au Concert de Montpellier sous menace de résilier le contrat qu'il avait passé avec ce même chapitre le 13 décembre 1752.
• 1774 : Il chante un des principaux rôles dans l'acte de Bathille et Chloé de L'union de l'amour et des arts d'Étienne Joseph FLOQUET au Concert de Montpellier, aux côtés d'Antoine ou Jacques Antoine ARLABOSSE et sous la direction de Boirac CUPIDON.
• 1790 : Il est toujours musicien chantre journalier de la cathédrale de Montpellier aux appointements de 400 livres par an. Il adresse une demande de pension au Comité ecclésiastique, où il signale qu'il est atteint d'une sciatique et cumule 48 à 50 ans de service. En mai, il signe la pétition collective des musiciens du chapitre cathédral de Montpellier.
• 26 janvier 1791 : Le directoire du département de L'Hérault lui attribue une pension en rente viagère de la totalité de ses appointements, soit 400 livres par an.
• 29 octobre 1791 : Du fait que les services des musiciens de l'ancien chapitre ont continué depuis janvier 1791, ils reçoivent tous une rémunération en plus de leur pension pour les services extraordinaires de l'année. Pierre BONNARD, comme la plupart de ses collègues, touche 48 livres prises sur le budget prévu pour les frais du culte.
• 20 avril 1792 : Sa pension est réduite et fixée à 200 livres annuelles.
• 24 septembre 1792, Montpellier : Le directoire du département de l'Hérault lui accorde à nouveau une pension de 400 livres en rente viagère correspondant à la totalité de ses anciens gages et un supplément de 350 livres pour les sommes qu'il a reçu depuis janvier 1791.
• 24 septembre 1792, Montpellier : Pierre BONNARD, musicien, veuf de Marie Goubier, meurt dans la maison Crouzat, rue Saint-Sacrement à quatre heures de l'après-midi.
Mise à jour : 5 octobre 2017.