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Pour citer Muséfrem
CHAUDÉ, Georges (1758-ca 1828)
Autre(s) forme(s) du nom : CHAUDET
Date(s) : 1758-1-22 / 1828-3-12 ca
Vincent Georges CHAUDÉ, apprêteur de bas à Pussay, petite localité de l'Essonne située au cœur de la Beauce, à près de 70 kilomètres au sud-ouest de Paris, aux lisières des départements de l'Eure-et-Loir et du Loiret, chante au moins de 1788 à 1791 à la paroisse Saint-Vincent aux côtés de son parrain, le maître d'école BILLERAND.
• 22 janvier 1758, Pussay [Essonne] : Vincent Georges CHAUDÉ, fils de Georges, marchand de bas et de Marie Anne Rabourdin voit le jour et est baptisé le jour même paroisse Saint-Vincent; son parrain est Jean Jacques BILLARAND, maître d'école et chantre paroissial.
• 23 novembre 1779, Pussay : Devenu apprêteur de bas, il épouse Marie Anne Hardy, la fille d'un couvreur en présence de son parrain.
• 1790-1791, Pussay : Georges CHAUDÉ est rémunéré 42 livres par la fabrique de la paroisse Saint-Vincent pour avoir chanté pendant deux années. EN 1788-1789, deux Chaudé/Chaudet sont des fournisseurs de l'église, l'un est marchand de cierges [le 20 novembre 1789, on baptisé la fille d'un apprêteur de bas dont la marraine est Alexandrine Victoire, fille d’Alexandre Chaudé, marchand épicier à Paris, rue Mouffetard]. Jean-Jacques BILLARAND perçoit aussi des gages pour avoir aidé à chanter.
• 9 juillet 1802, Pussay : Devenu veuf mais exerçant toujours le même métier, il se remarie avec la veuve d'un marchand de porcs, Isidore Eulalie Lamirault, en présence de plusieurs amis qui travaillent eux aussi dans la fabrication des bas.
• 12 mars 1828, Pussay : Il s'éteint à son domicile à quatre heures de l'après-midi.
Mise à jour : 9 janvier 2019