Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
BRUGES, Jean Nicolas (ca 1759-1832)
Autre(s) forme(s) du nom : BRUGE
Date(s) : 1759 ca / 1832-7-1
Nicolas BRUGES, menuisier de son métier, est employé comme chantre par le chapitre de la cathédrale de Laon [Aisne] en 1790. Par la suite, il continue de servir la paroisse Notre-Dame (l'église ayant perdu son statut de cathédrale) en 1791-1792, en qualité de basse-contre. Il retrouve une place de chantre en la même église sous le régime concordataire.
• [vers 1759] : Nicolas BRUGES, fils de Louis Bruge et de Marie Jeanne Téron, serait né à Saint-Erme [Saint-Erme-Outre-et-Ramecourt, Aisne], si l'on en croit son acte de décès.
• 3 février 1780, Saint-Erme : Jean Nicolas BRUGE épouse Marie Apolline Barbier, fille de feu Jacques Barbier et de Marie Françoise Duterne. Il a 21 ans, elle 19.
• 13 décembre 1780, Saint-Erme : André Bruge naît du mariage de Jean Nicolas BRUGE, menuisier, et de Marie Apolline Barbier.
• 2 février 1787, Saint-Erme : Leur fille Marie Adélaïde Bruge voit le jour. Le père est toujours menuisier.
• [1790], Laon [Aisne] : Nicolas BRUGES, marié, trois enfants, est musicien en la cathédrale Notre-Dame, sous l'autorité du maître de musique Louis Christophe MICHEL. Il signe une pétition collective des musiciens du chapitre demandant que l'administration leur assure un revenu. Ses collègues sont l'organiste Pierre Sébastien HAZARD et les musiciens François ROBIN, Jean Charles THORIN, Claude François Félix MICHELET, Jean Louis LEFÈVRE, Jean Pierre ÉDART, Mathias et Louis SÉQUEVAL.
• 1791-1792, Laon : Nicolas BRUGES signe plusieurs actes d'inhumation en qualité de clerc laïc de la paroisse Notre-Dame (l'église n'a plus le statut de cathédrale), le premier le 3 juin 1791. Le 4 novembre 1791, il est qualifié de "basse-contre de cette paroisse". Il en signe encore un le 29 mai 1792.
• 30 avril 1793, Laon : La municipalité délivre un passeport à Nicolas BRUGE, chantre, allant à Chéry-lès-Rozoy et dans l'étendue du département de l'Aisne. Il est âgé de 35 ans, mesure cinq pieds sept pouces, a les cheveux et les sourcils châtains, les yeux bleus, le nez petit, la bouche moyenne, le menton rond, le front ouvert, le visage rond et coloré.
• 1805-1811, Laon : Nicolas BRUGES est à nouveau employé comme chantre en l'église paroissiale Notre-Dame. En 1811, il est qualifié de sous-chantre et touche 60 livres de gages. Il n'est pas exclu qu'il soit encore actif dans les années qui suivent.
• 1er juillet 1832, Laon : Nicolas BRUGES, ancien menuisier, époux de Marie Apolline Barbier, meurt en sa demeure à l'âge de 73 ans.
Mise à jour : 12 mars 2022