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ARNOUX, François (1778-1847)
Date(s) : 1778-12-10 / 1847-12-17
Probable fils du sonneur et souffleur d'orgue de la cathédrale d'Alès, neveu du bedeau, François ARNOUX est naturellement reçu comme enfant de choeur de ladite cathédrale, peu avant la Révolution. Évincé en 1792, il reprend le métier paternel de fabricant de buratte et semble n'avoir plus eu de contact avec la musique.
• 10 décembre 1778, Alès [Gard] : François Régis ARNOUX, fils de Jean Amé Arnoux, fabricant de buratte, et de Catherine Sugier, vient au monde. Il est baptisé le lendemain en la paroisse de la cathédrale. Son père est probablement le sonneur et souffleur d'orgue de la cathédrale, car sa signature accompagne de nombreux actes de sépulture, à côté de celle de son frère, Pierre Augustin Arnoux, bedeau de la paroisse.
• vers 1788-1792, Alès : François ARNOUX est enfant de chœur à la cathédrale Saint-Jean-Baptiste. En 1790, il déclare 2 ou 3 ans de service et reçoit 72 livres, ainsi que les trois autres enfants de chœur, César LAFOSSE, Joseph MERCIER et DAUMON, qui peut être identifié à Jean-Baptiste LAVIGNE.
• 10 janvier 1800, Alès : François ARNOUX, faiseur de buratte, épouse Marie Thérèse Coulet, une jeune femme de son âge. Celle-ci s'éteint en 1837, laissant ARNOUX veuf les dix dernières années de sa vie.
• 17 décembre 1847, Barjac [Gard] : François Régis ARNOUX, tisserand, rend son dernier soupir à la maison commune, chez son gendre, secrétaire de la mairie.
Mise à jour : 27 avril 2023