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BRÉDIF, Pierre François (1767-1820)
Date(s) : 1767-8-11 / 1820-2-20
Fils d'un cordonnier tourangeau, Pierre François BRÉDIF est pendant onze années enfant de chœur à la collégiale Saint-Martin de sa ville natale. En 1789, trois ans après sa sortie de la psallette, il revient chanter dans le chœur de l'église, sans doute à titre temporaire. Il est désigné alors comme haute-contre et musicien amateur. A sa mort, en 1820, il est célibataire et exerce toujours des fonctions de musicien dans un cadre qui nous reste inconnu.
• 11 août 1767, Tours : Pierre François BRÉDIF, fils de Georges, maître cordonnier et de Marie Anne Chaudé, vient au monde et il est baptisé paroisse Saint-Saturnin.
• 12 août 1775, Tours : Le jeune garçon est reçu enfant de chœur à la psallette de la collégiale Saint-Martin.
• 11 avril 1786, Tours : La fabrique lui verse la somme de 140 livres dont 110 pour ses onze années de service comme enfant de chœur et 30 livres pour ses vêtements. Est-il le frère de Georges, autre enfant de chœur?
• 12 février 1789, Tours : Dans la marge du registre capitulaire, on lit "liceat musices amatori decantare": Le chapitre accorde la permission au nommé BREDIF, ancien enfant de chœur de cette église et à présent haute-contre ("alti tenores") musicien amateur, d'entrer dans le chœur de la collégiale Saint-Martin afin d'y chanter.
• 20 février 1820, Tours : Musicien, toujours célibataire, il meurt à son domicile su 13, rue du Cerisier. C'est son cousin Jean-Baptiste, cordonnier, 65 ans, qui déclare le décès.
Mise à jour : 19 décembre 2017