Allier
Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gard
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
CAMUS, François, à Montigny-le-Bretonneux [78] (1758-1839)
Complément de nom : à Montigny-le-Bretonneux [78]
Date(s) : 1758-11-7 / 1839-3-23
L'indice d'une activité musicale de François CAMUS est à vrai dire très ténu. Ce fils de laboureur s'installe lors de son premier mariage, en 1786, dans la paroisse de Montigny-le-Bretonneux : il est alors qualifié d'arpenteur. S'il est bien payé pour cette activité par la paroisse en 1790, celle-ci le rembourse aussi pour une réparation de serpent. Ceci et les liens qu'il entretient avec le chantre François GUY et le bedeau François Michon incitent à penser qu'il jouait du serpent. Par la suite, il apparaît comme cultivateur et comme propriétaire.
• 7 novembre 1758, Beynes [Yvelines] : François CAMUS, fils de Charles Camus, laboureur, et de Marie Anne Brou, voit le jour. Il est baptisé le lendemain.
• 20 juin 1787, Montigny-le-Bretonneux [Yvelines] : François CAMUS épouse Marie Geneviève Féron. Une fille naît de cette union le 15 novembre 1788. Lors de son baptême célébré le lendemain, François CAMUS est qualifié d'arpenteur.
• 16 novembre 1789, Montigny-le-Bretonneux : Louis François Xavier, fils de François CAMUS et de Marie Geneviève Féron, est porté sur les fonts baptismaux par François GUY, journalier [et chantre de la paroisse], et par l'épouse de François Michon, bedeau de la paroisse.
• 1789-1790, Montigny-le-Bretonneux : D'après le compte de fabrique des années 1789 et 1790, il est dû 8 livres au dénommé CAMUS pour remboursement d'une réparation au serpent et vacation d'arpentage, suivant sa quittance. CAMUS joue-t-il occasionnellement du serpent qu'il répare ? Rien n'est moins sûr, mais rien ne l'interdit non plus, pas même la vacation d'arpentage. Les chantres et serpents de paroisse exercent très couramment un autre métier qui leur fournit l'essentiel de leurs ressources.
• 6 février 1804, Montigny-le-Bretonneux : François CAMUS, propriétaire cultivateur, veuf depuis le 12 août 1802, convole avec Nonne Pélagie Geoffroy, de seize ans sa cadette, dont l'acte précise qu'elle est "domiciliée depuis quelques années chez [...] son futur époux".
• 23 mars 1839, Montigny-le-Bretonneux : François CAMUS, propriétaire âgé de 81 ans, s'éteint à son domicile.
Mise à jour : 27 juin 2022
