Alpes-de-Haute-Provence
Ardennes
Ariège
Aude
Aveyron
Bas-Rhin
Cantal
Charente
Charente-Maritime
Cher
Corrèze
Côte-d'Or
Côtes d’Armor
Creuse
Dordogne
Doubs
Essonne
Eure
Eure-et-Loir
Finistère
Gironde
Haute-Garonne
Haute-Loire
Haute-Saône
Hautes-Pyrénées
Haute-Vienne
Hauts-de-Seine
Hérault
Ille-et-Vilaine
Indre-et-Loire
Isère
Landes
Loire-Atlantique
Loir-et-Cher
Loiret
Lot
Lot-et-Garonne
Maine-et-Loire
Manche
Marne
Mayenne
Morbihan
Moselle
Nièvre
Nord
Oise
Orne
Paris - Notre-Dame
Pas-de-Calais
Puy-de-Dôme
Pyrénées-Atlantiques
Rhône
Saône-et-Loire
Sarthe
Tarn
Tarn-et-Garonne
Val d'Oise
Vaucluse
Vendée
Vienne
Yonne
Yvelines
Actualité de la base Muséfrem
Vous avez dit prosopographie ?
Histoire de l'enquête Muséfrem
Les fondements de l'enquête Muséfrem
Les contributeurs depuis 2003
Les partenaires scientifiques
Contact
Pour citer Muséfrem
CHEVALIER, Jean-Baptiste Augustin (1724-1798 ap.)
Autre(s) forme(s) du nom : CHEVALLIER
Date(s) : 1724-4-21 / 1798-6 ap.
Actuellement très peu connu encore, l'organiste Jean-Baptiste CHEVALIER exerçait en 1790 à l'abbaye de Beaulieu, appartenant aux chanoines réguliers de Saint-Augustin, sur la rive droite de la Sarthe, au Mans.
• 24 avril 1724, où ? [sans doute Le Mans] : La date de naissance de Jean-Baptiste Augustin CHEVALIER est indiquée dans l'un des documents le concernant durant la période révolutionnaire.
• Au plus tôt en 1744 [et probablement plus tard], Le Mans : Jean-Baptiste CHEVALIER devient organiste à l'abbaye de Beaulieu. En 1744, c'est Étienne ARMAND qui occupe ce poste.
• 31 décembre 1790, Le Mans : Jean-Baptiste CHEVALIER "organiste de MM. les chanoines de l'abbaye de Beaulieu", dépose une requête pour obtenir un traitement de 100 livres "vu son âge et ses infirmités". On peut penser que ce traitement de 100 livres était, peut-être, ce qu'il touchait antérieurement ?
• 2 avril 1791, Le Mans : En réponse à sa requête [non conservée], les administrateurs du directoire du département lui accordent 25 livres à titre de provision alimentaire.
• 1792, Le Mans : Une pension de 300 livres lui est accordée, qui lui est versée au moins jusqu'à prairial an VI (mai-juin 1798).
• [Courant 1794], Le Mans : Un état administratif le dit âgé de 70 ans, touchant une pension de 300 livres… et le qualifie de "paisible", c'est-à-dire non impliqué dans les luttes politiques.
Après le milieu de l'année 1798, on perd sa trace.
Mise à jour : 19 novembre 2016